Dix leçons pour le bonheur en entreprise
Dans le cadre de sa 16e édition de la Soirée des sommets, qui s’est tenue le 22 octobre dernier à l’Hôtel National à Tring-Jonction, le fondateur et président-directeur général de Systèmes Stekar inc., Raynald Doyon a partagé aux gens d’affaires participants son histoire comme entrepreneur.
Lors de son discours, Raynald Doyon a discouru sur son parcours en affaire qui a été parsemé de grands bonheurs, mais aussi de grandes déceptions. Plusieurs leçons et constats en ont été tirés par l’entrepreneur qui reconnaît que « le bonheur est fragile en entreprise ».
Raynald Doyon est dans le domaine des affaires depuis plus de vingt ans. Pour la communauté beauceronne, il s’agit d’un exemple significatif d’un homme d’affaires persévérant, audacieux, visionnaire et déterminé.
« Raynald Doyon incarne le bonheur ! Quoiqu’il ait pu être fragile à certains moments dans sa vie, nous avons aujourd’hui un homme et un entrepreneur accompli, inspirant et fier devant nous. Je suis très heureux qu’il ait accepté de nous livrer son témoignage, une réelle source d’inspiration pour chacun d’entre nous » a mentionné Édouard Jacques, président du CLD Robert-Cliche.
Raynald Doyon a ainsi partagé, en toute humilité son histoire entrepreneuriale et les constats qu’il en a tirés :
1. Faire sa place et découvrir sa passion
2. Avoir de l’audace
3. Essayer vaut mieux que de dire « J’aurais donc dû »
4. Vivre sa passion
5. Oser innover
6. Connaître et respecter ses limites
7. On ne juge pas une personne pour ce qui lui arrive, mais pour ce qu’elle fait avec ce qui lui arrive
8. Savoir s’entourer
9. L’engagement de tous vers une vision commune
10. Le bonheur est fragile en entreprise
L’entrepreneur en est finalement venu à la conclusion que chacun doit être l’acteur de son propre bonheur. Selon lui, lorsque l’on devient entrepreneur il faut avoir des objectifs ambitieux, réalisables et stimulants. Raynald Doyon souligne cependant que le bonheur ne doit pas être dans le but lui-même, mais dans le trajet parcouru et les défis réalisés pour atteindre ce bonheur. Selon les conclusions tirées par l’homme d’affaires, « Il ne peut y avoir de réel succès sans bonheur et il ne peut y avoir de réel bonheur sans succès ». Il est de la responsabilité de l’entrepreneur de faciliter les conditions Le gestionnaire a donc la responsabilité de faciliter les conditions de ce bonheur au travail. Pour ce faire, il doit veiller à la qualité de ces relations et créer une dynamique de projet. Monsieur Doyon mentionne également que parfois, il faut faire des choix déchirants pour parvenir à ce bonheur.
À titre d’exemple, Raynald Doyon explique son propre défi chez Systèmes Stekar inc. qui est d’obtenir l’engagement de tous pour développer l’autonomie et atteindre l’excellence dans leur mission, et ce, dans un environnement harmonieux, efficient et innovateur où règne un fort sentiment de fierté. « Plus on se rapproche de cette vision, plus c’est le bonheur ! », commente l’homme d’affaires.
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