Saint-Georges se classe 12e parmi les villes où il fait bon de vivre
Chaque année, un classement des villes québécoises où il fait bon de vivre est établi en fonction de l’indice relatif de bonheur (IRB). En tout, ce palmarès regroupe 27 villes, et ce, partout à travers la province.
Rappelons que l’IRB d’une ville est déterminé selon un total de 24 critères, parmi lesquels on retrouve notamment l’accès au travail, le revenu annuel moyen, la qualité des soins de santé et le taux de divorce. Les résultats proviennent de diverses statistiques et de sondages. En d'autres mots, ce que communique réellement l’IRB, c’est la perception du bonheur qu’ont les gens, bien davantage que le bonheur réel de ceux-ci. Néanmoins, il est intéressant de regarder le classement afin de comparer les villes, en fonction des critères.
Les résultats
Cette année, la ville où les gens sont « le plus heureux », en fonction de l’IRB, est la ville de Sainte-Julie, avec un indice de 83,20. À Saint-Georges, l’indice pointe à 76,00, ce qui permet à la métropole beauceronne de prendre le 12e rang, en milieu de peloton.
En général, la Ville de Saint-Georges fait bonne figure au niveau de l’économie et des services offerts. Toutefois, elle perd de précieux points relativement aux critères humains, tels que l’altruiste, l’amitié et l’accomplissement de sa vie personnelle.
Ailleurs en province, la métropole de Montréal connait un mauvais résultat, avec un IRB de 74,10, ce qui lui confère le 25e rang. C’est toutefois à Longueuil où l’indice est le plus bas, avec 73,50.
À l’inverse, les villes de Chambly et de Victoriaville se distinguent avec 81,11 et 79,20, terminant respectivement en 2e et 3e place.
Selon vous, la ville qu’on habite a-t-elle une influence sur notre niveau de bonheur?
1 commentaires
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Si l'on est bien dans sa peau, la ville où l'on habite vient compléter ce bonheur par ses gens, sa beauté, ses services, etc...