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Cet enfant TDAH qui n’en était pas un

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16 novembre 2015
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Julio Trepanier
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Par Julio Trepanier, Journaliste multimédia

Une mère de famille de la région en a gros sur le cœur après que l’école publique fréquentée par son fils ait fait vivre un cauchemar à celle-ci et son fils après que celui-ci ait été identifié comme ayant un Trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH).

Or, il y a deux semaines, une contre-expertise est venue confirmer ce que cette mère, qui a par le passé évolué dans le domaine de la santé, soupçonnait depuis le début : son enfant n’avait aucun TDAH.

Afin de protéger l’identité de l’enfant, son nom, celui de l’école et celui de la mère ne seront pas dévoilés à la demande de cette dernière. Le but d’une telle sortie médiatique n’est pas de s’attaquer à qui que ce soit au sein de la Commission scolaire de la Beauce-Etchemin (CSBE) affirme-t-elle, mais de sensibiliser les parents face à une telle situation et d’aller jusqu’au bout pour avoir l’heure juste en cas de doute. « Si je n’avais pas eu les moyens et une formation dans le milieu de la santé, mon fils serait aujourd’hui médicamenté sans aucune raison. Il n’aurait pas l’encadrement approprié à son cas, car en médicamentant quelqu’un pour un problème qui n’est pas le sien, on empire la situation », soutient-elle.

L’histoire commence en 2010 alors que son fils éprouve des problèmes de comportement à l’école à la suite d’une non-cohésion parentale entre elle et son ex-conjoint. « On me disait régulièrement de donner du Ritalin à mon enfant […]. Mon ex-conjoint était pour, mais moi j’étais contre cela, car je voulais une investigation plus poussée. L’école s’entêtait toutefois à vouloir étiqueter mon fils TDAH », indique la mère de famille. Pendant deux ans, malgré l'insistance de l’école, celle-ci a choisi de ne pas médicamenter son fils. « Quand on insistait, je répondais que personne d’autre qu’un pédopsychiatre me forcerait à donner des médicaments à mon enfant […]. La médication, ça doit rester un choix de parents. Le rôle de l’école n’est pas de nous forcer à médicamenter notre enfant, mais d’apporter un support au niveau de l’encadrement pédagogique », estime-t-elle.

Toutefois, les choses se sont gâtées l’an dernier alors que l’enseignante du garçon aurait été catégorique en affirmant que celui-ci était un cas de TDAH. « À partir de là, ils nous ont fait des pressions comme quoi si nous n’acceptions pas de médicamenter mon enfant, il se retrouverait dans une classe spéciale […] alors nous avons demandé le diagnostic d’un pédopsychiatre, chose que nous demandions depuis le début », explique la mère. Puis, une rencontre avec un pédiatre a été effectuée à la suite de l’intervention de l’enseignante. Selon la mère, le diagnostic s’est fait en cinq minutes sur le coin d’un bureau. « On a rempli une petite grille et en cinq minutes, ils ont déterminé qu’il était TDAH », déplore-t-elle.

Ayant toujours le doute à l’esprit malgré l’avis du professionnel, la mère dit avoir essayé les pilules quelque temps, mais son enfant devenait agressif, s’isolait et dormait peu. « On parle d’un psychostimulant qui n’est pas sans impact sur le cerveau », explique la dame qui a évolué dans le milieu de la santé. « Il arrivait toujours en crise de l’école. Il se faisait demander devant tout le monde s’il avait pris ses pilules. Il faisait rire de lui. Puis, en lien avec les problèmes du jeune, il y a eu de l’intimidation et mon fils s’est fait frapper par une dizaine d’enfants dans la cour d’école. Quand il s’est plaint, personne ne l’a cru », affirme-t-elle.

Par ailleurs, celle-ci déplore qu’il n’y ait pas eu davantage de services offerts à son garçon en lien avec le diagnostic, si ce n’est que des feuilles de route et des codes de couleurs. L’accumulation de tous les facteurs évoqués aura finalement poussé cette dernière au choix de cesser la médication. « La médication m’avait été imposée […] la peur d’avoir l’étiquette de parent non collaborant et de lui avoir donné des pilules pendant un mois au total allait à l’encontre de mes valeurs », mentionne cette dernière.

« Quand ils se sont rendu compte que je ne donnais pas les médicaments à mon enfant parce que j’avais une vision différente, ils ont choisi de faire des démarches pour l’envoyer dans une école adaptée sans mon consentement », soutient-elle. « Ils n’ont pris en considération que l’opinion de mon ex-conjoint qui était pour la prise de médication. Ils ont en fait pris clairement position pour un des deux parents alors qu’ils ne le devraient pas. Ils ont fait un comité d’expertise sans mon consentement, sans ma présence. On ne m’a jamais demandé pourquoi je ne voulais pas médicamenter mon fils. On me regardait plutôt comme si j’étais une mère terrible », souligne-t-elle.

Un signalement à la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) pour non-collaboration et refus de médicamenter l’enfant a alors été fait contre la mère. Puis, selon le rapport, l’intervenant a finalement donné raison à cette dernière dans sa démarche tout en l’incitant à une meilleure cohésion parentale avec son ex-conjoint pour le mieux de l’enfant. La principale intéressée croit que cette plainte aurait été faite de mauvaise foi alors qu’elle comptait opter pour le secteur privé et ne pas baisser les bras. « Étrangement, le jour du signalement à la DPJ, j’ai posé la question à savoir si le système public était dépassé par le cas de mon enfant à problèmes et que le privé ne pourrait être la solution », maintient-elle.

Par la suite, exaspérée par l’attitude de la direction de l’école, celle-ci a tenté de régler le problème en s’adressant à la CSBE. Cependant, la personne qu’on lui a référé l’aurait littéralement envoyée promener tout en la mettant au défi d’amener ses avocats. Du côté de la CSBE, on préfère ne pas commenter la situation indiquant toutefois qu’il n’est pas dans les habitudes de mettre les gens au défi de la sorte.

La mère de famille a donc choisi de faire une plainte auprès du Protecteur de l’élève. « J’ai fait l’erreur de faire ma plainte verbalement et elle n’a eu aucun impact.  Je conseille aux parents de toujours formuler les plaintes par écrit. Mon dossier n’a pas été traité à cause de cela. J’ai même dû prendre un avocat pour qu’il parle à cette personne référée par le comité des parents », affirme-t-elle.

Alors qu’elle indique que son fils a été privé de service scolaire pendant un mois et qu’elle a dû payer une orthopédagogue de sa poche à la suite d’une décision du comité d'expertise, la mère de famille a choisi d’envoyer son enfant dans le secteur privé à la rentrée 2015.

Au total, le coût des démarches dans toute cette aventure se situe dans les cinq chiffres en frais divers pour l’obtention d’un deuxième avis de professionnel quant au TDAH de l’enfant, ainsi que pour finalement avoir la tranquillité d’esprit. Cela aura pris deux ans avant qu’aboutisse la demande de la mère compte tenu de la longueur de la liste d’attente pour obtenir les services d’un pédopsychiatre dans la région.

« Il y a deux semaines, le diagnostic de TDAH a été défait. Il s’agissait plutôt d’un trouble d’anxiété amené par le milieu. On parle d’une fragilité attentionnelle. Il n’est plus question de médication », exprime la dame avec soulagement. « Pendant tout ce temps, tout le monde jouait au médecin et émettait des hypothèses alors qu’ils n’en savaient rien. À l’école, ils ont empiré la situation de mon fils. Ils n’ont pas été des agents facilitants », exprime-t-elle.

« Maintenant, mon enfant va au privé et il fonctionne comme un enfant normal. Il n'est pas dysfonctionnel, il est bien traité et a de très bonnes notes. Il est très bien encadré », affirme-t-elle.

Bien que celle-ci dise être répugnée par le système d’éducation public à la suite de cette expérience, elle ne compte pas pour autant poursuivre qui que ce soit pour tout le mal causé. « J’ai fait une croix sur la Commission scolaire et tout ce qui vient autour. Maintenant, nous respirons mieux au privé. Dans des cas comme celui-là, l’école privée peut sauver les enfants de la marginalité », croit-elle fermement.

Une course aux diagnostics

Selon cette mère qui s’est battue pour donner un meilleur environnement à son fils, il existe au Québec une certaine pression pour faire médicamenter les enfants. D’ailleurs, selon un document obtenu par le journal La Presse au début 2015, le gouvernement du Québec estimait que les commissions scolaires se livrent à une « course » pour obtenir des diagnostics d'élèves handicapés ou en difficulté d'adaptation ou d'apprentissage (EHDAA) et ainsi toucher plus de subventions (voir texte : « Course » aux diagnostics dans les commissions scolaires »).

Les chiffres fournis par le ministère de l’Éducation vont en ce sens puisqu’en 2013-2014, le nombre d’élèves en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage dans le réseau public s’élevait à 182 162, alors qu’en 2004-2005, ce nombre se situait à 147 981. Il s’agit d’une augmentation approximative de 23 % en dix ans.

D’un autre point de vue, le Collège des médecins se disait récemment préoccupé par les nombreux diagnostics de TDAH émis au cours des dernières années et reconnaissait que ses membres étaient parfois mal outillés selon un autre article de La Presse publié en février 2015. (Voir article : Le Collège des médecins préoccupé par les nombreux diagnostics de TDAH).

commentairesCommentaires

51

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  • VEPN
    victime e plainte non-fondé
    temps Il y a 8 ans
    les plaintes à la DPJ se font trop facilement de la part des écoles... plusieurs sont non-fondés pour en avoir été victime. Mon enfant a été étiquetté sans raison... elle en subi toujours les conséquences aujourd'hui
  • S
    Sami
    temps Il y a 8 ans
    Bravo à cette maman!
  • MDT
    Maman d'un TDAH
    temps Il y a 8 ans
    Je vous lève mon chapeau Madame. Vous avez tout mon admiration. Mon fils a été diagnostiqué TDAH également et j'ai accepté de le médicamenter durant au moins 1 an. Le pire enfer de ma vie! Il était encore plus agressif. Et moi aussi depuis que j'ai cessé la médication il fonctionne bien et a des notes "normales". Mais ouf que l'école n'était pas en accord. Ils ont été longtemps à me répéter que je devrais recommencer. Tout comme vous je leur ai tenu tête. L'école est loin d'être facile pour les enfants qui sortent du "moule" du petit élève modèle non perturbant. Faute de moyens? Manque de formation du personnel? Un bon mixte des deux je dirais. Encore une fois bravo pour votre courage et votre histoire va servir d'exemple c'est certain.
  • J
    Jean
    temps Il y a 8 ans
    La réponse est simple, les écoles et Commission Scolaires obtiennent plus de subventions donc plus de fonds pour gérer leur écoles, donc c'est dans leur avantage de diagnostiquer le plus d'enfants possible. Pour eux c'est l'argent qui compte, pas les enfants. Le gouvernement devrait couper ces subventions a zéro, et vous verriez vite comment il y a peu d'enfants qui souffrent de TDAH. C'est le même problème dans toute les provinces ou presque.
  • K
    Kat
    temps Il y a 8 ans
    Bravo Madame vous avez eu bien du courage les affronter!
    moi mon enfant est dysphasique et lors d'une rencontre parent enseignant et représentant de la commission scolaire j'ai demander si mon enfant pouvais changer de classe car il étais avec des enfants TDAH et mon enfant c'est tout le contraire et a été 3 ans a stagné au même niveau (3e année) je me suis fait répondre (votre enfant est dans le système il va aller ou on décide qui va aller vous avez plus un seul mots a dire c'est tu claire!) depuis ce temps je n'ai plus aucune confiance en la commission scolaire mais j'ai pas le choix de le laisser y aller fautes de moyens pour l'envoyer au priver.
  • T
    tweety
    temps Il y a 8 ans
    L'école de mon fils a voulu faire pareil me conseiller de faire voir mon fils par un médecin parce qu'il avait un supposé trouble d'attention. Diagnostic posé par une conseillère en orientation soit dit en passant. Vu par un psychologue suite à mes démarches problème avec min fils: le prof était un mauvais prof pas capable de capter l'attention de mon fils. Deux ans plus tard, mkm fils ba très bien et ce, sans aucune médication.
  • J
    Jeff
    temps Il y a 8 ans
    BEAUCOUP trop d'enfants sont médicamentés seulement a cause qu'ils sont des enfants!!!
  • I
    Isabelle
    temps Il y a 8 ans
    Non mais quel article bourré de désinformation ! Je n'en reviens tout simplement pas... Premièrement, je comprends la mère d'avoir vécu tout cela avec un très haut niveau d'émotivité, il s'agit de son fils, la prunelle de ses yeux... Mais je ne comprends pas le journaliste qui l'a écouté de n'avoir pas davantage vérifié ses sources... D'abord, sachez qu'au Quebec, aucun enseignant, aucune direction ne peut poser de diagnostic de TDAH. Leur devoir n'est que de proposer aux parents de voir un médecin qui pourra voir avec l'enfant ce qui ne va pas. Il est clair que cet enfant posait des gestes démontrant qu'il n'était pas bien, qu'il souffrait... Cela pouvait être à cause d'un TDAH, d'une anxiété ou autre chose... C'est probablement ce que l'école voulait que la mère aille vérifier chez un spécialiste... C'est clair que l'école n'a jamais diagnostiqué son fils, elle a peut-être soupçonné un TDAH mais n'a pu le diagnostiquer. De plus, sachez qu'une école ne peut pas non plus prescrire et imposer une médication à un enfant... Les médecins seuls détiennent le pouvoir de prescrire un médicament, les parents sont les seuls à pouvoir décider de l'administrer ou pas... Finalement, une école ne peut, en aucun cas, imposer la classes spéciale à un enfant ! Ça prend obligatoirement l'autorisation parentale pour le faire. Que la mère ait senti une certaine pression, Ça se peut... Mais que la mère se soit fait imposer tout cela... C'est impossible ! Vérifiez vos sources... Au lieu de vous fier à une maman qui aime son fils de tout son coeur et qui raconte l'histoire avec toute l'émotivité qu'elle y a ressenti (qui est pourtant loin d'être objectif)...
  • FV
    Fait vévu
    temps Il y a 8 ans
    Enfin quelqu'un qui ose dénoncer ce que nombreux parent vivent mais qui n'osent pas trop parler pour éviter les répercussions sur leurs enfants
  • PDET
    Parent d'une ex-TDAH
    temps Il y a 8 ans
    Chèr Isabelle, j’ai vécu une situation semblable avec mon enfant il y a quelque années. Avant d’accuser les gens de désinformation où avez-vous lu que l’enseignant a diagnostiqué un TDAH? Ces’t le pédiatre qui a fait le premier diagnostic. Et vous croyez que certains enseignants n’hésitent pas à faire des menaces aux parent pour prendre de la médoc? Haha je crois que vous n’avez pas d’enfants à problèmes pour dire des conneries de la sorte. Des enseignants jos-connaissants, il y en a, c’est la réalité. Je rêve du jour où les profs vont arreter de se prendre pour des docteurs. Avec l’expérience que j’ai vécu ce récit se rapproche beaucoup du mien. Je comprend que la CSBE envoie ses sbires pour protéger son image mais gardez-vous une petite gêne quand même!
  • JB
    Johanne B.
    temps Il y a 8 ans
    Bravo à cette mère, mais pas sûre que tout le monde aille les moyens de livrer une bataille comme celle-ci...
  • L
    lise
    temps Il y a 8 ans
    bravo a cette dame qui a su tenir debout pour le bien de son enfant
    difficile de tenir tete a ce système
    vive l ecole privee avec ses profs competents
  • FP
    Frédéric Poulin
    temps Il y a 8 ans
    «Puis, selon le rapport, l’intervenant a finalement donné raison à cette dernière dans sa démarche tout en l’incitant à une meilleure cohésion parentale avec son ex-conjoint pour le mieux de l’enfant.»

    « Il y a deux semaines, le diagnostic de TDAH a été défait. Il s’agissait plutôt d’un trouble d’anxiété amené par le milieu. On parle d’une fragilité attentionnelle. Il n’est plus question de médication »

    Finalement, si j'ai bien compris, ce n'est pas seulement la faute d'enseignants et de la CSBE cette histoire...
  • L
    Lyse
    temps Il y a 8 ans
    C'est vraiment n'importe quoi cet article! 1) Seuls les médecins ou pédiatres ou pédopsychiatres (des professionnels de la santé) poser un diagnostique et peuvent prescrire les médicaments. 2) l'école ne peut pas donner des médicaments. 3) c'est très évident que la mère a rapporté l'information avec une version très personnalisée et avec une perception très confuse de la réalité ou pour avoir l'air très drammatique... Quand, depuis 5 ans, les enseignants disent tour à tour qu'il y a des gros problemes de comportement avec l'enfant, on vérifie aupres d'un professionnel! Tdah ou fragilité attentionnelle... On s'en fou, on va aux sources. Les médicaments (surtout ceux pour tdah) ça se gere en collaboration avec des professionnels de la santé car c'est tres long à faire les ajustements. Si on a l'impression qu'on prescrit facilement, sachez que ca se gere pas si facilement... Un beau mélodramme cette histoire.
  • L
    Lyne
    temps Il y a 8 ans
    @Lyse C'est vraiment n'importe quoi ton analyse. 1) " Puis, une rencontre avec un pédiatre a été effectuée à la suite de l’intervention de l’enseignante. Selon la mère, le diagnostic s’est fait en cinq minutes sur le coin d’un bureau" - où il est écrit que les profs ou la direction a fait le diagnostic??

    2) où avez-vous lu que l'école a donné des médicaments??

    Avez-vous lu, savez-vous lire, êtes vous tdah, où est-ce que vous vous contentez de répéter ce que l'ecole vous à demander de dire?
  • L
    Laurent
    temps Il y a 8 ans
    On a fait la meme chose il y a quelque années,et je vivais la meme sitation,j ai
    refusé la medication de mon fils aujourdhui devenu adulte .Il a une vie tres normal et n avait pas besoin de cette médication.J ai du le changer d école a l époque pourque sa vie redevienne normal et de la il s est mis a fonctionner et a réussir tres tres bien a l ecole.
  • P
    Paix
    temps Il y a 8 ans
    Voilà à mon tour de répondre à cet article, félicitation madame. Moi aussi j'ai vécu une expérience avec mon enfant à l'école (voilà dejà quelques années). Ce qui nous a bouleversé pour quelques semaines (et ce sur des informations non fondées). Mais moi je veux donner mon opinion sur votre article. Dans votre cas (comme le mien, mais pas à la csbe), c'est pas compliqué; l'école, les autoriés, la csbe (appelez ça comme vous voulez) a pris un parent dans ce cas le père (je ne le blâme pas du tout, il était pris dans le système). Et la mère (mauvaise mère, otage), à partir de ce moment; plus le droit de paroles pour la mère. Désolé ça marche de même. Qu'est-ce que je déplore il y a sûrement eu un petit manquement à quelque part et ça il ne s'excuseront jamais (la perfection dans notre monde n'existe pas, ça se peut un erreur). C'est plus facile de porter le blâme sur un des deux parents. Lorsque que la DPJ débarque chez-vous c'est un grand choc que tu garde à vie, (j'en sais quelque chose). Madame vous avez parlé avec votre coeur de maman et un coeur de maman ce n'est pas de la "business" point final. (P.S. il y a peut-être des fautes de français, désolé.)
  • B
    Bea
    temps Il y a 8 ans
    N'en déplaise à Jeff, les cadres enseignants se gardent parfois () d'informer un parent de son droit d'opposition lorsqu'ils veulent se débarrasser d'un enfant "encombrant" pour le mettre en classe spéciale. C'est vrai aussi en France et j'ai déjà entendu lors de conseils de classes, des enseignants proclamer qu'il faudrait "mettre tel élève sous Ritaline", sous prétexte de turbulence, comme s'il s'agissait d'un petit traitement anodin et comme s'ils étaient spécialistes du diagnostic. Je dis bravo à cette maman d'avoir réussi à faire ce que je n'ai pas pu faire dans la même situation. C'est le père qui a eu le dernier mot, après des menaces et des horreurs. Lui souhaitait pouvoir garder mon fils après notre divorce mais avec une allocation pour enfant handicapé. Il y a réussi et mon fils, qui a eu des épisodes pendant son traitement où il voulait se suicider (un des symptômes chez lui les plus insupportables), est à présent tellement accro qu'il a demandé à ce qu'on lui prescrive "son" psychostimulant (pourtant classé parmi les stupéfiants) une fois majeur, malgré les effets secondaires qu'il subit (maux de tête, insomnies, crampes musculaires, muscles qui bougent seuls, burn-outs, manque d'appétit, asociabilité,...). Sa vie n'est plus comme avant, il fait de la peine à voir. Mon avocat m'a dit ne rien pouvoir faire car il semble que ce soit l'avis du "spécialiste" local, qui ait gain de cause, alors que c'est celui-là même qui fait du prosélytisme pour le traitement -qui justifie son poste- et qui a "diagnostiqué" mon fils à la hussarde (questionnaire simpliste, désinformation et manque d'écoute), à la demande de son père. L'histoire est trop longue pour la détailler ici, mais je dis bravo, Madame. Je suis heureuse que vous ayez pu sortir votre enfant de là. Puissent les autres parents concernés lire votre témoignage en temps utile.
  • M
    maximuss
    temps Il y a 8 ans
    Nous avons vécu la même chose, il s'est avéré que mon enfant turbulait d'ennui vu ses capacitées d'apprendre très vite. Nous avons découvert qu'il avait aussi des problèmes de glande thyroide, qui donnaient ldes symptômes similaires au t.d.a.h. Si je n'avais pas eu de pédiatre et l'argent pour une bonne évaluation digne de ce nom. Mon fils aurait pris du ritalin au lieu du synthroide. Parents soyez vigilants!
  • F
    Fred
    temps Il y a 8 ans
    Une minute ... Anxiété provoquer par le milieu et fragilité de l'attention

    1:Anxiété provoquer par le milieu .... Quel milieu?? .... Sa mère ? .. L'école ? ..Son père?

    2: Fragilité de l'attention .... Le TDHA n'est-il pas un problème d'où la personne a de la fragilité avec son attention ? ... Non ?

    3 . Arrêter des médicaments avant le deuxième diagnostique !? ... À se que je sache elle non plus n'est pas médecin.

    Pour ces trois raisons de suis en désaccord avec la manière d'agir de la dame

  • E
    EV
    temps Il y a 8 ans
    J'ai trouvé cet article sur Facebook.
    D'abord, félicitations à la maman! Alors pour moi, c'était il y a 5 ans. Pour résumer brièvement, soit mon fils était déclaré autiste, soit ils ne l'acceptaient plus à l'école. Il venait d'entrer en maternelle. Disons que ça a été avant tout le cpe de mon fils qui l'a déclaré comme tel. Voyant que nous n'y croyions pas, ils ont téléphoné à l'école et le processus s'est enclenché. Il faut savoir qu'aucun examen/qu'aucune évaluation avait été passée.
    Nous sommes partis... à l'étranger. Mon fils n'a jamais eu ce diagnostic après maintes vérifications. Par contre, et ça je le souligne, il avait à l'origine des problèmes de vision qui étaient plus graves que ce qui avait été dits. A cause de cette histoire, nous avons pris deux ans de retard dans sa prise ne charge. Pour nous, c'est une éducatrice qui a fait le diagnostic et qui a été prise au sérieux! Pas nous les parents! Nous savions malheureusement que ce cpe était malsain. Nous en avions connu d'autres très bien avant celui-ci. Je me suis rendu compte de l'insuffisance des connaissances des écoles dans les problèmes que vit mon fils. Je ne les blâme pas, mais quand même "attraper" un enfant de 5 ans en 4 jours et lui faire un dossier scolaire de délinquant! Il y a des limites. Grâce aux dizaines de milliers de dollars dépensés, nous avons rétabli la situation plus que correctement. Nous avons d'ailleurs quitté la province, parce que nous savions que ce dossier allait le suivre. Ce sont les ophtalmos et les optométristes qui étaient compétents dans notre domaine, pas les lologues ou les enseignantes qui comme d'habitude ont outrepassé leurs droits. Je me pose encore des questions sur le destin réservé aux enfants qui ont les mêmes problèmes que mon fils!
  • A
    Alix
    temps Il y a 8 ans
    Je suis intervenante à la DPJ, j'ai déjà travaillé dans le milieu scolaire, j'ai 3 enfants et j'ai moi-même déjà reçu un diagnostic de TDAH en 5 minutes dans le bureau d'un médecin. De plus, l'un de mes enfants s'est déjà fait elle aussi diagnostiqué un TDAH par la psychologue scolaire, diagnostic qui a ensuite été défait par une audiologiste car il s'agissait en fait d'un trouble de l'audition centrale... Alors je vais vous parler de mon cas. Je ne peux pas généraliser, mais je crois être bien placée pour vous dire que le milieu scolaire fait énormément de pression sur les parents pour la médication. Et je comprends les parents d'être méfiants face à cela car, quoi qu'on en dise, cela reste des amphétamines. J'ai pris du Concerta, même pas la dose maximale, pendant quelques mois. En 2 mois, j'ai perdu 30 lbs et je me suis mise à faire des crises d'angoisse incroyables, ainsi que des migraines. Jamais je n'avais fait cela avant! J'ai arrêté le jour où le médecin et le pharmacien m'ont dit que ces symptômes n'avaient rien à voir avec la prise de ces comprimés. Bizarrement, c'est reparti instantannément lorsque j'ai arrêté d'en prendre... Alors prudence!! Et svp, arrêter de juger sans l'avoir vécu!
  • A
    Anger
    temps Il y a 8 ans
    Sa mettone pas l ancien école de mon fils a fait pareil j ai même du fuire déménage av mes enfants pour les sauver du sixtement
  • J
    Jeff
    temps Il y a 8 ans
    C'est normal pour un enfants de bouger et de ne pas être attentif au maximum! C'est les professeur qui devrait prendre certain médicament car ils ne sont pas capable d'endurer qu'un enfant soit un enfant!! Oui je suis d'accord qu'il y a certain cas plus extrême, mais pour la plupart des enfants, il ne sont pas TDAH, ils sont seulement des enfants et ça ce n'est pas une maladie. (PS. pour plusieurs enfants, faite juste couper le sucre qu'il prennent et vous allez voir une grosse différence!!!)
  • M
    martin
    temps Il y a 8 ans
    je vous soutien pleinement moi je n ai plus l énergie pour continuer mon combat contre cette machine monstrueuse qu est l éducation le systeme est en faillite a tout les niveaux tout doit etre rasé et recomancé d une maniere différente avec du nouveaux personnel compétent et ce qui n est pas le cas .
  • M
    Mico
    temps Il y a 8 ans
    Madame! Pourquoi avoir attendu si longtemps de votre côté avant de faire évaluer votre fils sachant le désaroi des intervenants scolaires et du papa? Vous avez, de ce fait, grandement contribué au problème d'anxiété de fiston. Je parle en connaissance de cause pour avoir été exactement dans votre situation, à la différence que j'ai, dès les premières communications de l'école, immédiatement fait les démarches qui s'imposaient. L'école a suivi méticuleusement les directives de l'équipe multidisciplinaire (pédopsychiâtre, psychologue, neuropsychologue). Mon fils s'est senti compris et appuyé ainsi que les enseignants et moi-même. Nous avons tous changé nos approches et cela a été fructueux. Vous lancez la pierre à l'école et, quoi que vous soyez le parent et que vous connaissez bien votre enfant, vous n'êtes pas médecin non plus. Mon grand pourrait témoigner de ce que je vous raconte. Il est maintenant à l'université et souffre toujours de cette état, mais il met toujours en application ses trucs et ses maîtres sont au courant de sa situation.
  • E
    EV
    temps Il y a 8 ans
    M. Mico, même si votre fils est TDAH, cela ne signifie pas que tous les enfants le sont. Or, si une école demande d'évaluer un enfant pour un TDAH (comme ça arrive souvent), elle affirme que c'est la raison du comportement dérangeant (ensuite, il faut savoir vraiment ce que signifie comportement dérangeant). Vous ne pensez pas alors que l'école joue aussi au médecin et que ce n'est pas son rôle. Avez-vous pensé aussi qu'un comportement dérangeant peut avoir pour origine un autre problème : problèmes visuels, auditifs, maladie non détectée (tyroïde par exemple) ou encore une dyspraxie ou dyslexie? Moi, je suis persuadée que les écoles vont souvent dans la mauvaise direction! On soigne une dyspraxie ou une dyslexie au ritalin? Non, c'est l'ergo et l'orthophoniste (et les accommodements pédagogiques qui ont le plus de résultats). Soigne-t-on un problème visuel au ritalin? Non, ce sont les lunettes, cher monsieur, avec une rééducation visuelle et autres adaptations scolaires! Vous avez, parmi les commentaires, des gens qui vous ont exprimé que leur enfant va parfaitement bien, alors qu'on voulait le médicamenter. D'autres ont des problèmes non détectés qu'on essayait à l'école de faire passer pour un TDAH. L'expérience me montre, cher monsieur, que dans de nombreuses familles, ce sont effectivement les parents qui savent mieux que les autres. La déresponsabilisation des parents aura toujours des effets nuisibles. D'ailleurs, j'attends que certaines écoles puissent répondre de leurs actes... même si la grand majorité des enseignants sont des gens consciencieux!
  • ME
    marie-eve
    temps Il y a 8 ans
    Il y a certes de la TRES grande pression sur les parents. Notre enseignante de 2e année m'a prévenue que mon fils serait probablement en échec à la 2e étape suite à une note disant que j'attendrais pour une évaluation via l'école car notre fils n'est pas en difficulté d'apprentissage...Il a toujours eu une moyenne de 85%, aucun probleme ailleurs que dans sa classe...et je vous épargne l'annonce d'un TDAH fait par mme au téléphone, sa résistance face aux approches stratégiques et son insistance face à la médication... Il faut se tenir solidement droits et garder en tete le bien-être de nos petits; pas facile devant les institutions...
  • M
    Minifleur
    temps Il y a 7 ans
    L'on vient de me partager cet article... Mon fils et moi vivons actuellement cet enfer. La loi impose d'envoyer nos enfants à l'école mais l'école n'est pas un milieu d'accueil adapté. Quand elle devient limité, elle pousse ça dans la cour du parent... Et suggère le diagnostique et le miracle de la petite pilule. Çà fait 4 ans que je me bat pour que fiston ait des services. Il entre en 6 e à l'automne. J'ai bien peur du secondaire... Et la question qui me revient sans cesse est : pourquoi en famille et à la maison, en dehors de l'école il fonctionne comme un p'tit gars bien normal ? Les conflits et les problèmes arrivent directement de l'école et de l'enseignante qui souhaitent ardemment l'uniformité des enfants afin que le moule établi fonctionne. Mon enfant a reçu les diagnostiques de douance. Avec ça le TDA avec trouble d'opposition et provocation, trouble de modulation sensoriel auditif, tactil et visuel, anxiété et disgraphie, disorthographie... Tous on été émis par psy, T.S, ergo et ortho... De la CSBE... Je n'ai pas les moyens financier d'envoyer mon garçon au privé. Ni de payer une expertise spécialisé. En attendant, lorsque je décide que ce qui ce passe à l'école reste á l'école je suis perçu comme cette mère qui ne collabore pas...
  • H
    Helene
    temps Il y a 7 ans
    Je vis qq chose de similaire et j'essaie de me trouver de l'aide On mets mon fils dehors de l'école deux jours concevutifs sans m'aviser Je dois quitter mon travail qui est à 45 min de distance alors qu'il y a 1 semaine à la réunion de parents l'éducatrice me disjait n'avoir aucun problème avec mon fils D'ailleurs quand je lui ai donné des trucs pour aider à gérer ses crises d'impulsivité ses commantaires laissaient sous entendre que le problème vient de la maison. Le CLSC n'aide pas trop en plus que l'on nous oblige à être assidu à nos RV l'intervenante précédente à manqué 4 fois les RV dont un Plan intervention scolaire. On m'a transféré d'intervenante la nouvelle est arrivée 40 min de retard sur un RV sans aviser . La semaine dernière j'ai contacter dès lundi le CLSC pour remettre mon RV du jeudi car ma mère était hospitalise... On m'averti que je dois respecter mes RV si non je perdrai mon suivi !? Elle insiste pour contacter le père qui ne voit plus les enfants depuis plus d'un an et que nous sommes en procédures judiciaires. Je dois répéter sans cesse que je lui ai demandé de s'abstenir pour ltemps des présurés légales... Mon fils a probablement le syndrome de l'autisme du à la grande prématurité de mes jumeaux. Je ne semble avoir de la collaboration qu'avec là médecin.... Mais tant qu'un diagnostic n'est pas posé on ne s'occupe pas de lui. Il a un trouble d'opposition. Pourtant il h à trois classes spécialisés dans notre école... Je demande une étude en neuropsy et on me dit qu'il n'est pas une priorité!? Nous sommes le 23 septembre le 8 nous avons eu une réunion de parents depuis il y a eu deux journées pédagogiques et aujourd'hui une troisième hier et avant hier on me l'a retourné avec du travail à faire à la maison. Ah oui j'oublie de mentionné que la crise a été parce qu'il ne voulait pas chante dans la chanson de groupe de la classe. Il a changé d'idée et on l'a refusé... Évidemment trouble oppositionnel la situation a dégénéré... On l'avait expulsé la veille. Mon fils me dit déjà qu'il. E peut pas être lui-même a ll'ecole je ne suis pas capable maman de dire à mon cœur d'écoute mon cerveau. Ensuite je me sens gêné puis je ne veux pas me faire chicaner j'ai juste le goût de partir. Je suis pas fin à la maison parce que mon cerveau est fatigué de retenir mon cœur à l'école puis chez toi je sais que tu vas m'aimer quand même... Qu'est-ce qu'ils sont en train de faire à mon enfant! Il a seulement 6 ans Je suis vraiment outrée et je cherche de l'aide ... De la vraie aide Votre cas me redonnés espoir et je vais contacter le même département que vous mais par écrit comme vous le recommandé. Si vous avez des suggestions svp n'hésitez pas à me le faire savoir
  • B
    bellecloe
    temps Il y a 7 ans
    Honte à vous les profs qui se prennent pour des médecin!!!

  • K
    Kevaudaloc
    temps Il y a 7 ans
    Quelle tristesse de constater ces manières de faire...Je désire aussi témoigner de notre histoire, si cela peut aider, ne serait-ce qu'un seul parent, j'en serais heureuse. Notre fils a vécu la même chose et si je n'avais pas écouté mon instinct il aurait été gravement malade. Je savais en mon for intérieur qu'il n'était pas tdah et nous avons découvert qu'il avait des problèmes de thyroïde( qui donnent des symptômes pareis au tdah si non traité). Avoir écouté tout ce beau monde mon fils aurait pris du ritalin au lieu de prendre le médicament pour régler ses problèmes de thyroide. Cela aurait pu être très grave et on aurait attribué les symptômes de son problème de thyroïde aux effets secondaires du ritalin car ils sont très similaires. J'ai eu l'air de la mère qui était trop protectrice/en déni/qui nuisait à son enfant etc etc En bout de ligne c'est moi qui l'ai protégé de tous ces soi-disants spécialistes bien intentionnés.
  • G
    Glad
    temps Il y a 7 ans
    Je vis une situation similaire à celle ci
  • R
    Rouge
    temps Il y a 7 ans
    Mon fils à 5ans, il est en maternelle et ça ne va vraiment pas bien à l'école. Il a des problèmes de comportement et lui aussi va devoir subir une expertise à l'école et on est en attente de rencontrer un pédopsychiatre. Je me sens tellement impuissante dans tout ça, car à l'école il est maintenant étiqueter et on m'a dit que si la situation continuait comme ça, que l'année prochaine il allait être dans une classe spécial. Je trouve que cette article ressemble beaucoup à ce que je suis entrain de vivre avec mon fils. J'aimerais si possible pouvoir discuter avec la maman dans cette article, pour avoir des trucs et savoir un peu comment ça c'est passer pour son fils, parce que moi aussi je crois pas que le mien ait un TDAH, mais l'école en est convaincu.
  • L
    loulou
    temps Il y a 7 ans
    Bravo à cette maman qui a su tenir son bout ! Qui de mieux placé qu,une maman pour connaitre vraiment son enfant ! Je trouve désolant le fait que les enseignants veulent jouer un rôle qui n'est pas le leur et qui peu rendre encore plus un enfant qui se sent mis a part insécure . Faire entrer tout le monde dans le même moule est maintenant la devise scolaire ,mais on ne peu pas limiter tous les enfants par quelques lettres pour trouver leur différence . Le rôle de l'enseignant est d'accompagner l'enfant dans ses apprentissage et non vouloir le diagnostiquer chose que trop essaye de faire de nos jours . Je vis une situation semblable avec un de mes enfants et croyez moi on a le droit de se poser des questions et d'analyser ce qui se passe dans notre système scolaire de nos jours ! Bravo pour votre détermination et pour l,amour d'une maman qui surpasse bien des diagnostiques !! xx
  • C
    Chanie
    temps Il y a 7 ans
    Dès que l'enseignant de votre enfant parle de TDAH, demander une expertise auprès d'un neuro-psychologue. C'est le professionnel le mieux placé pour vous donner l'heure juste. Ne vous fiez pas seulement à l'opinion de votre pédiatre. C'est le meilleur conseil que je peux donner aux parents. Je parle en connaissance de cause.
  • D
    Di
    temps Il y a 7 ans
    100% d'accord avec cette dame Bravo moi aussi j'ai fait pareil j'ai totalement refusé de donner ce médicament à mon fils s'il ne faisait pas des tests neurologique et il a réussi tous ces années scolaires. Aujourd'hui il gagne très bien sa vie.
  • N
    Nancy
    temps Il y a 7 ans
    Nancy.
    Félicitation a la mère pour le courage et le dévouement car moi aussi ma fille vie la même chose avec son enfant dans CSBE.
  • S
    So
    temps Il y a 7 ans
    Malheureusement jai due sortirmon fils de cet comission scolaire aussi...et a entendre dautre parent autour de moi nous ne sommes pas les seuls a avoir vécu presque un enfer ....pour avoir voulu un peu d'aide pour nos enfants sensible !!!félicitation. ..respect!!!
  • B
    BOTHOREL
    temps Il y a 7 ans
    Bonjour je suis une maman d'un enfant de 8 ans je me bat pour faire entendre raison de l'école des psychologue et psychomotricienne plus le papa que mon fils souffre d'une situation qu'il n'arrive pas à exprimer cause de pression psychologique qui est causer par l'entêtement du papa et n'est pas TDAH comme il veulent tous s'en laver les mains. Raz le bol je continue ce combat pénible sans relâche mais c'est pénible au quotidien pour mon fils il a perdu totalement confiance en lui des sérieux problèmes scolaires aidez nous svp. Votre article nous est précieux pour des parents dans le même cas ou similaire à vous MERCI et dans l'espoir d'une réponse ou d'un peu d'aide peut-être cordialement
  • NM
    Nathalie Morrison
    temps Il y a 6 ans
    Bonjour,

    Mon enfants et moi vivons exactement le même problème que vous,
    Il nous mette de la pression et s’en est harcelant voir épuisent, il sont aussi fait une plainte aux près de la DPJ pour essayer d’opqpetenire ce qu’il veulent mais cela n’a pas fonctionné car la DPJ à choisi qu’il n’était pas nécessaire de garder le dossier ouvert donc il on mis fin à tout ça.

    Je suis découragée de voir à quel point la vie en milieu scolaire soit rendue aussi cruel et compliquée.
  • M
    Marie
    temps Il y a 6 ans
    Dommage qu'on n'aille pas le nom de l'école, comme ça les parents qui ont réellement un enfant autiste pourrait éviter de le placer dans cette école. Quand on lit comment ce pauvre garçon a été traité, je n'ose pas imaginer ce qui aurait pu arriver à un vrai autiste. Sérieux les gens, si vous avez trop la flemme de vous occuper d'enfants qui ne sont pas les vôtres, ne devenez pas enseignant du primaire.
  • MT
    Micheline Therrien
    temps Il y a 4 ans
    oui ,j e me reconnait da dure depuis 30 ans quand il on décider intervenir quand j ai demander un répit pour aider ma fille...il on trouver toute maladie mental...que ma fille sa la détruit et deceder 2017 depuis 17 ans j ai la de sa fille avec la Dpj avec jugement pour garde famille près ..depuis le décès de sa mère ..elle a fait une dépression et je fait les démarches pour ma petite fille par obligation du système.. pas drôle a vivre depuis 30 ans...J espère qu' on va plus aider au parent de ces enfant d on a démolie la vie de plusieurs famille ...d une Mamie 🤗
  • N
    Nathalie
    temps Il y a 4 ans
    Je vous lève mon chapeau. Bravo pour votre persévérance. Les séparations ne sont pas faciles pour personnes ainsi que la vie de tous les jours. C’est dommage qu’on étiquette les enfants dès qu’ils bougent un peu. Disons que la tolérance zéro est en vigueur et s’est bien dommage car c’est le secret de la réussite s’est d’être actif. Plusieurs personnes ont fait les mauvais choix de carrières en pensant seulement aux deux mois de vacances. C’est dommages car se sont nos enfants qui écopent. Persévérance à tous car j’ai passée par la et aucun de mes enfants ont pris de la médication en étant contre moi aussi. Ils se portent très bien aujourd’hui et ils ont une vie très paisible.
  • Y
    Yazmin
    temps Il y a 4 ans
    Je passé un histoire presque similaire à elle avec mon garçon maintenant en 2 secondaire brillant élevé plain de force et détermination sportif nous sommes dans un ecole privé.
  • S
    Sandra
    temps Il y a 4 ans
    Je vous comprend totalement nous on nous envoie au CLSC pis le médecin écoute pas se qu' on lui dit...il se fit au questionnaire remplie ...il j as dit je compte les,point ! J ai été au privé qui m as coûter cher pour finalement avoir le bon diagnostique! Ma fille a besoin d une ordinateur pour écrire et autre sa fait 5 ans que je me bat avec les direction d ecole . IL me répondant sans diagnostique il n y'a pas de plant d intervention!
    Ses drôle en parlent avec d autre parent beaucoup d élève on pas d évaluation faite par un neurophyscoloque mais on des outil pour les aider comme un ordinateur ou des plan d intervention ! Comment la commission scolaire peut exiger pour un mais pas pour ,l'autre?
  • MC
    Marie-Claude
    temps Il y a 4 ans
    J’aimerais beaucoup avoir plus info car moi même je me bat chaques jour entre le système et mon fils qui croire 🥺j’aimerais savoir ou me renseigner pour un bon diagnostic et des références de bonne ecole
  • MA
    Mel-Annie
    temps Il y a 4 ans
    Ma fille fonctionne bien. Elle se prépare le matin pour allé à l'école toute seule, prépare sa collation, se coiffe... mais elle est lunatique. Suite à un test à l'école fait par la psycho-éducatrice, on nous a dit qu'elle avait un TDAH. Nous avons eu beaucoup de pression (pendant 3 ans) pour la médicamenter et je ne suis pas fière de vous dire que j'ai finit par flancher. Je suis allé voir mon médecin de famille. Elle a donc commencé à prendre un médicament et la dose était augmenté à chaque visite clinique. La dernière dose à été trop forte et un soir ma fille à fait une sorte de psychose. Elle était très nerveuse et pleurait. Elle entendait des voix et des sons de cloches et n'arrêtait pas de bouger comme une personne droguée. Ça m'a prit quelques heures pour la calmer tout ça parce que j'ai flanché sous la pression du professeur et de la psycho-éducatrice. Je m'en veut tellement même si tout est entré dans l'ordre. J'ai cessé immédiatement toute médication. Le médecin me disait que pour que la dose soit assez forte et agisse sur le cerveau l'enfant devait avoir de la difficulté à dormir et à manger! Je trouve ça tout de même terrible de faire endurer ça à un enfant qui a pour son seul tort d'être lunatique. Ces notes vont biens et ma fille aussi maintenant. Petit conseil, demandez un 2e avis...
  • R
    rachel
    temps Il y a 4 ans
    Beaucoup de pression !!
    Nous venons de recevoir un diagnostique de la neuropsychologue qui nous dit que le nôtre est TDA. Le CMPP(un organisme public qui aide les enfants qui ont un trouble) nous proposera certainement la médication(dixit la neuropsy). Heureusement, je ne ressens aucune pression vis à vis de cela, et j'ai déjà fait savoir que nous n'en voulons pas. Je ressens plutôt une véritable aide de la part du corps enseignant ainsi que des intervenants extérieurs. Aussi lorsque j'ai évoqué une éventuelle dyspraxie, la neuropsy ne semblait pas contre et m'a proposé de faire des tests supplémentaires. En réalité, j'ai l'impression que l'appellation "'TDA/H" est un peu fourre-tout et que ça arrange bien tout le monde. L'enfant sous médoc se tait et fiche la paix au prof et à la classe.
  • RL
    Raymonde Lessard
    temps Il y a 3 ans
    Je cherche quelqu un qui pourrait m aider pour mes petit enfants qui ont un probeme d apprentissage à l école. J ai contacté comm. Scolaire ministre de l éducation le premier ministre sais plus ou m adressé aidez moi svp
  • KB
    Kathleen Bataille
    temps Il y a 2 ans
    Je vis la même situation que cette mère. J'habite mtl. Puis-je avoir le nom du pédopsychiatre?
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