La FSBE souligne les 20 ans de communication téléphonique avec la population
La Fondation Santé Beauce-Etchemin (FSBE) souligne dans le cadre de sa campagne annuelle de financement « Nos enfants en santé » les 20 ans de communication téléphonique amorcée en 1996 avec la population de la Beauce et des Etchemins.
La solidarité beauceronne est légendaire et grâce à la participation de la population par le biais du télémarketing, plus de 2,5 millions de dollars en dons ont été investis principalement à l'Hôpital de Saint-Georges, puis dans les CLSC et centres d'hébergement de la Beauce au cours des 20 dernières années.
« Année après année, nous saluons et apprécions l’appui soutien constant des gens de notre région. Que de chemin parcouru ensemble pour prendre soin des nôtres quand on pense, entre autres par exemple, à l’achat du tomodensitomètre, de la mammographie, d’équipements en endoscopie, aux consultations externes, en oncologie, aux services implantés tels la dialyse, la dermatologie ou la réalisation du Centre ambulatoire pédiatrique! Quand chacun participe, le résultat est formidable », indique la directrice de la Fondation Santé Beauce-Etchemin, Luce Dallaire.
Les bons résultats viennent de l'engagement soutenu de nombreux fidèles ainsi que des généreux donateurs qui répondent à l'appel de la FSBE. Il faut également souligner le travail assidu des membres de l'équipe de télémarketing.
Gisèle Bérubé travaille depuis 20 ans à la formation des téléphonistes dédiés aux projets de la fondation. Elle affirme qu'il faut travailler sans relâche pour réussir l'objectif d'amasser des fonds pour la FSBE. « C'est une expérience exigeante, mais très humaine à la fois », déclare-t-elle.
Le télémarketing permet de recueillir des dons tout en demeurant en contact direct avec la population. « Je ne dirai jamais assez merci à toutes celles et ceux qui, au cours des 20 dernières années et qui, encore maintenant, appuient la cause de la santé. Nous avons besoin de vous. Vous faites vraiment une différence et c’est extraordinaire. Encore merci », conclut Mme Manon Veilleux.
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