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Toute raison est bonne pour miser sur la formation

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19 novembre 2010
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Quelque 135 invités du déjeuner thématique du Conseil économique de Beauce (CEB) sont désormais au courant que, « La formation, ce n’est pas compliqué… et c’est payant! ». À tour de rôle, June Hodgson, du Centre universitaire des Appalaches, Caroline Bouchard du Cégep Beauce-Appalaches et Nataly Blondin de la Commission scolaire Beauce-Etchemin ont détaillé l'offre de formation disponible en région aux gens d’affaires.

La coordonnatrice du  Service de la Formation continue du Cégep Beauce-Appalaches, Caroline Bouchard, a rappelé l’importance de la formation dans le monde des affaires. « La formation, c’est payant », mentionne cette dernière.

Il y a près de quatre ans, elle fait le saut du privé au domaine d’enseignement public dans l’optique de démontrer que l’éducation a sa place dans une économie comme la nôtre. « L’éducation se doit d’être à la base d’une économie solide », pense cette dernière. Elle cite à l’appui que l’éducation a été ciblé comme étant la priorité de développement régionale lors de la tenue du Sommet socioéconomique de Beauce-Sartigan.

La formation peut servir à corriger des problèmes organisationnels, de performance ou à mieux adapter la main-d’œuvre aux changements au sein de l’organisation. Par ailleurs, la formation peut aussi servir à développer une expertise, poursuivre l’innovation, consolider les acquis, préparer la relève et procéder à un meilleur transfert de connaissances. « Toutes les raisons sont bonnes pour commencer une formation. Ensemble, on a uni nos forces. On vous propose un modèle de formation dynamique pour répondre à vos besoins. Un modèle pas compliqué et payant », commente Mme Bouchard.

Nataly Blondin, directrice, Service de la formation professionnelle et de l’éducation des adultes, Commission scolaire de la Beauce-Etchemin rappelant que les trois maisons d’enseignement forment un réseau oeuvrant en complémentarité et en synergie. Mme Blondin a aussi réitéré que les employeurs doivent faire part de leurs besoins afin d’adapter la formation en conséquence des besoins de la région. Elle a aussi expliqué que les travailleurs doivent aussi s’adapter pour augmenter leur employabilité. Par la suite, Mme Blondin a souligné que parfois le monde d’éducation peut s’avérer rapide pour s'adapter aux besoins du marché. Elle a cité un programme de formation à la CSBE créé de toutes pièces en moins de cinq semaines.

Mme Hodgson, directrice du CUA, a quant à elle mentionné les valeurs des maisons d’hébergement afin de mieux accompagner les entreprises du coin. L’une des valeurs de l’offre de formation est sa flexibilité. Par exemple, au CUA, un seul programme de baccalauréat est offert avec un horaire conventionnel, les autres formations sont offertes à des horaires atypiques selon le besoin de la clientèle. « Environ 90 % et même plus de notre clientèle sont des travailleurs en entreprise et qui doivent entreprendre des études à temps partiel (de soir et de fin de semaine). On doit vraiment s’adapter aux horaires des personnes en emploi, parce que cela fait partie de 90 % de notre main-d’œuvre d’affaires », relate la directrice générale du Centre.

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