Au cours de l’été dernier, l’école Aquarelle a fait l’objet d’importants travaux d’aménagement, qui touchaient principalement la cour d’école. Près de 300 élèves bénéficient maintenant d’un terrain de soccer synthétique, de terrains de basketball et de ballon, de modules de jeux supplémentaires, de jeux adaptés pour la clientèle handicapée, d’aires de repos et d’un immense carré de sable.Des arbres ont également été ajoutés afin d’assurer aux élèves un environnement plus agréable.

Le réaménagement de la cour d’école a été réalisé au coût de 80 000 $. Tout cela a pu être réalisé grâce aux contributions financières du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, de la Commission scolaire de la Beauce-Etchemin (CSBE), de la Caisse Desjardins du Sud de la Chaudière, de Ville de Saint-Georges, de divers donateurs et d’entreprises, par exemple le Groupe Pomerleau.

Depuis plus de deux ans, toute l’équipe école est impliquée dans ce grand projet. « Le service de garde, le personnel, les élèves et la direction, tous ont travaillé à cette réalisation qui dynamise notre milieu. Bravo à tous! » indique le directeur de l’école, M. Mario Bolduc.

Le directeur général de la Commission scolaire de la Beauce-Etchemin, Normand Lessard, est fort satisfait de constater que les élèves de l’école Aquarelle de Saint-Georges «ont plus que jamais la possibilité de se changer les idées et de dépenser leur énergie dans leur cour d’école». Évoquant son passé de professeur d’éducation physique, il rappelle que les bienfaits de l’activité physique pour la santé sont bien connus. « Il me semble aussi évident que des élèves qui ont été actifs durant la récréation pourront mieux travailler à leur retour en classe », affirme M. Lessard.

Le président de la Commission scolaire de la Beauce-Etchemin, M. Charles-Henri Lecours, est lui aussi enchanté de ce qui s’est fait à l’école Aquarelle de Saint-Georges. « Ce qui me fait particulièrement plaisir, c’est de voir que les gens du monde scolaire, de la municipalité et du secteur privé se sont unis pour le bien de nos élèves », conclut-il.