André Côté demeure le président du PQ de Beauce-Sud
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09h16
29 novembre 2010
Il occupe ce poste depuis 2006. M. Côté a été le candidat aux deux dernières élections générales soit en mars 2007 et en décembre 2008.
Outre Côté, les membres du comité exécutif du PQ de Beauce-Sud est composé la première vice-présidente est Danielle Grondin de Saint-Georges, Paula Poulin de Saint-Georges, deuxième vice-présidente, Guy-Noël Vachon de Saint-Prosper trésorier, André Beaupré de Saint-Georges, secrétaire. Les autres administrateurs sont Micheline Saint-Laurent de Saint-Zacharie, Emmanuel Bourque de Saint-Georges, et Hélène Morin de Saint-Jean-de-la-Lande.
Les Québécois floués
André Côté a dénoncé le gouvernement libéral de Jean Charest qui a décidé de refiler l’effort pour revenir à l’équilibre budgétaire aux contribuables québécois. « En effet, le gouvernement de Jean Charest avait promis de faire 62 % de l’effort financier, mais seulement huit mois après le budget, il ne s’engage plus qu’à faire 54 % de l’effort en refilant plutôt aux citoyens du Québec, y compris aux Beaucerons, une facture additionnelle de 1,1 milliard $ et aux entreprises une nouvelle facture de 300 millions $ », a affirmé le président Côté.
Par ailleurs, M. Côté rappelle que vendredi dernier, le ministre des Finances, Raymond Bachand, a renouvelé sa promesse de verser 4 milliards $ au Fonds des générations d’ici 2013-2014. « Cependant, le jovial ministre qui a maintenant perdu la face, a omis de mentionner qu’au cours de la même période, son gouvernement ajoutera plus de 50 milliards $ à la dette québécoise », a critiqué M. Côté.
Importance de l’histoire
Dans un autre communiqué de presse, André Côté a aussi voulu rappeler l’importance de l’enseignement de l’histoire nationale dans les établissements scolaires du Québec parce qu’un «peuple qui n’enseigne pas son histoire est un peuple qui perd son identité ».
Rappelons que le PQ a adopté le Plan d’action sur la gouvernance souverainiste au printemps 2008. Dans la proposition principale du Parti Québécois actuellement en discussions, il y a une section spécifiquement dédiée à l’enseignement de l’histoire nationale. Celle-ci a pour but de revoir le programme d’enseignement de l’histoire au secondaire et même au collégial. Cela comprend aussi l’implantation d’un nouveau centre d’étude à l’Institut national de recherche scientifique dont le mandat consistera à nourrir et soutenir une connaissance accrue de l’histoire politique et nationale du Québec.
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