Il y a eu de l'ingérence étrangère de «petite ampleur» lors du scrutin fédéral


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Par La Presse Canadienne, 2025
OTTAWA — Un nouveau rapport d'un groupe de travail fédéral sur la sécurité indique que les activités d'ingérence étrangère lors des dernières élections générales étaient de «petite ampleur» et souvent difficiles à attribuer à un acteur étranger.
Le Groupe de travail sur les menaces en matière de sécurité et de renseignement pour les élections est composé de représentants d'Affaires mondiales Canada, du Service canadien du renseignement de sécurité, de la GRC et du Centre de la sécurité des télécommunications, l'agence canadienne de cyberespionnage.
En vertu d'un protocole fédéral, un groupe de hauts fonctionnaires avait le pouvoir d'avertir le public pendant la campagne électorale s'il estimait qu'un ou plusieurs incidents menaçaient la capacité du Canada à tenir un scrutin libre et équitable.
Aucune annonce de ce genre n'a été faite pendant la campagne de 2025, qui s'est terminée par l'élection d'un gouvernement libéral minoritaire dirigé par Mark Carney.
Le groupe de hauts fonctionnaires comprend le greffier du Conseil privé, le conseiller à la sécurité nationale et au renseignement, le sous-procureur général et les sous-ministres de la Sécurité publique et des Affaires étrangères.
Connu sous le nom de «groupe des cinq», il a reçu des mises à jour régulières du groupe de travail sur la sécurité pendant la campagne électorale.
Jim Bronskill, La Presse Canadienne