Le CEB amorce sa saison en parlant financement étranger
Le Conseil économique de Beauce a entamé hier sa nouvelle et 9e saison de déjeuners-conférences à l’hôtel le Georgesville. L’honneur d’amorcer la saison est revenu à la Banque Scotia. Le sujet de la conférence portait sur le financement du commerce international chez nous, mais particulièrement à l’étranger.
Le directeur général du CEB, Claude Morin, se dit satisfait de ce premier déjeuner qui a regroupé 89 gens d’affaires. « Ça amorce bien nos déjeuners puisque le CEB maintiendra le rythme d’une activité mensuelle jusqu’à Noël », souligne-t-il.
Soulignons que le prochain déjeuner thématique aura lieu le 18 octobre à 7h30 à l’Auberge Benedict Arnold. L’invité de marque sera le président-directeur général d’Investissement Québec, Jacques Daoust. Une conférence qui sera prisée par les gens d’affaires de la région selon M. Morin.
La conférence
Pour l’occasion, le CEB a invité le conférencier, Paul Latendresse, directeur principal des ventes. Il a dressé un portrait de la Banque Scotia qui existe depuis 175 ans. En 2007, l’institut bancaire possède des actifs de 383 milliards $, près de 60,000 employés, 12 millions de clients et 2200 succursales et bureaux établis dans près de 52 pays.
Pendant sa conférence, M. Latendresse tout en décrivant les services de la Banque a suggéré aux entrepreneurs d’exporter vers d’autres marchés que les États-Unis. L’appréciation du dollar canadien rend les entreprises d’ici moins compétitives sur le marché américain ce qui force certaines entreprises à se tourner vers le Mexique. « On sait qu’au niveau du marché américain on y rentre moins bien. Certaines entreprises de chez nous ont déjà le regard sur le Mexique. Il s’agit de la plus internationale des banques canadiennes. Elle offre des services au Mexique et en Amérique latine », commente M. Morin
Parmi le type de transactions offertes par la Scotia, l’ouverture de compte en deux semaines, le financement pour l’acheteur situé dans le réseau de pays de la Scotia, le financement destiné à supporter les ventes à l’étranger et le financement local impliquant les lois locales, devises locales et sans retenue à la source.
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