Les élèves de l’École Jésus-Marie de Beauceville marchent pour la paix dans le monde

Les élèves de l’École Jésus-Marie (EJM) ont pris part à une marche pour la paix dans les rues de Beauceville, en appui aux propos du Pape François premier le 7 septembre dernier : « Que le cri de la paix s’élève avec force pour un monde de paix. Plus jamais la guerre ».
L’activité, qui se déroulait dans le cadre de la semaine Jésus-Marie, est le fruit d’une saine compétition interscolaire entre les différents niveaux d’enseignement. Outre le message porteur d’une telle manifestation, l’objectif était de créer une chimie d’équipe, autant au sein des classes individuelles qu’à l’ensemble de l’école. « Il y avait certains groupes déguisés alors que d’autres avaient des affiches exceptionnelles ou de grands drapeaux. Ça amène une petite compétition dans l’école, mais ça resserre vraiment les liens au niveau des groupes en classe, et ça, je crois que c’est vraiment le but premier », explique Michel Mercier, membre de l’organisation de l’événement.
Avant d’en arriver à la manifestation pacifique, les élèves ont eu deux semaines pour se préparer en compagnie de leur groupe titulaire. Les recherches en lien avec le pays attitré à chaque groupe ne s’arrêtent toutefois pas là. En effet, ce vendredi, les jeunes devront cuisiner un mets du pays en question. Comme le souligne M.Mercier, cela poussera les élèves à approfondir davantage leur recherche sur le sujet.
Une marche pacifique
Le parcours s’est amorcé à l’EJM aux alentours de 9 h. Par la suite, les manifestants ont emprunté la 9e Avenue direction nord, la 91e Rue direction ouest, la 5e Avenue direction nord vers la 97e rue, puis sont revenus au point de départ. De retour au gymnase de l’école, le curé Victor Bernier ainsi que trois élèves ont effectué la coupe du ruban soulignant la semaine Jésus-Marie de Beauceville.
Par ailleurs, les organisateurs de l’événement ont tenu à souligner le comportement exemplaire des élèves, encadrés par des policiers de la Sûreté du Québec, qui ont su respecter le sens du terme « Marche pacifique ».
L’activité a été rendue possible grâce au personnel enseignant, mais aussi grâce à Michel Mercier, Céline Marcoux, Valérie Jolicoeur et Sœur Hélène Pomerleau.
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