Une nouvelle entente pour les employés de bureau à Ville Saint-Georges
L’Assemblée générale des employés de bureau de Ville de Saint-Georges de même que le conseil municipal ont accepté le 14 octobre dernier les recommandations de leur équipe de négociateurs respective d’accepter le renouvellement de la convention collective concernée pour la période de 2007 à 2013.
Le maire Roger Carette se réjouissait de cette dernière entente négociée dans un « excellent climat ». Il a remercié les deux équipes de négociation et a dit son appréciation du respect qui a empreint toute la négociation. « Il s’agit d’une belle convention que celle de nos employés manuels (cols bleus) », commente le maire.
La nouvelle convention comprend des augmentations salariales de 2,5 % (2007), 2,5 % (2008), 3,3 % (2009), 2,5 % (2010), 2,5 % (2011), 3 % (2012) et 3 % (2013). Il y aura le retrait de 2 jours de caisse de congé maladie en 2009; réinstallation d’un de ceux-ci en 2012 et un autre en 2013. Chose intéressante, cette nouvelle entente comprend des améliorations accordées aux employés de comptoir de la bibliothèque municipale par l’introduction d’une échelle salariale. « Nous avions des provisions budgétaires pour assurer une augmentation salariale de tous nos employés de 2,5 %. Il n’y aura aucune incidence sur le compte de taxes » assure M. le maire.
Après les pompiers, les cols bleus et maintenant les cols blancs, Ville Saint-Georges doit aussi venir en terme avec ses policiers et ses cadres. Pour les cadres, ce sera par une politique du conseil. Les élus en demandent également davantage. « Les élus demandent une augmentation de 2,5 % aussi, mais on n’est pas rendu là », a ajouté M. Carette.
Pas de hausses de taxes significatives
Le prochain budget de Ville Saint-Georges tiendra compte des pressions économiques sur le milieu. Le maire Roger Carette a signifié que le budget qui sera préparé prochainement conservera au minimum les hausses d’impôts fonciers. « Avec la crise économique, ce n’est pas une bonne année pour augmenter les taux de taxes. Nous nous ajusterons selon l’IPC (Indice de prix à la consommation) », a évoqué M. Carette.
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