Ville de Saint-Georges a embauché la firme Génivar et les architectes Odette Roy et Isabelle Jacques pour analyser trois emplacements pour l’aménagement de la future deuxième glace. Deux résolutions à cet effet ont été approuvées par le conseil municipal lundi dernier. D'après le compte-rendu des rencontres avec les usagers, un comité responsable de l’implantation d’une deuxième glace suggère à la Ville de Saint-Georges d’étudier deux emplacements près du Centre sportif Lacroix-Dutil et l’autre sur le terrain des prêtres dans la Cité étudiante.

Ainsi, Architectes Odette Roy & Isabelle Jacques ont obtenu le mandat d’étudier de préparer les estimations de coût pour réaliser la deuxième glace à ces trois emplacements. La firme d’ingénieurs, Génivar, collaborera en réalisant une analyse mécanique et structurelle pour l’implantation de cette même infrastructure à ces trois mêmes emplacements.

Soulignons que ces deux mêmes architectes ont aussi reçu le mandat pour la réalisation des plans et devis de la réalisation de la deuxième phase de construction du garage municipal. Il s’agit d’un contrat de 129 806,25 $.

Un permis pour Maxime Gagné
Le conseil municipal a finalement octroyé le permis de rénovation au propriétaire de l’édifice 12220, 1re Avenue, Maxime Gagné. Manon Tousignant, s’est ralliée à la voix du conseil, mais a tout de même indiqué que la Ville se devait de comprendre l’importance du Plan d’implantation et d’intégration architecturale du centre-ville pour permettre l’embellissement du centre-ville. Cette dernière rappelle que le PIIA consiste essentiellement d’animer les façades des bâtiments tant l’avant sur la 1re Avenue que l’arrière sur la Promenade Chaudière.

Il y a deux semaines, on reprochait à M. Gagné de n’avoir pas prévu d’aménagements pour cacher les poubelles et les bacs de récupération. L'émission de son permis avait été retirée à la dernière minute de l’ordre du jour. Pour cette première demande au PIIA, la commission d'urbanisme a passé l'éponge. « Je comprends que la commission d’urbanisme a choisi quand même d’approuver la demande... Je n’ai pas envie d’aller en bataille là-dessus… », indique Manon Tousignant.

Il pourra donc revamper ce bâtiment défraîchi comme il a prévu. Cependant, Mme Tousignant espère qu’il se conformera ultérieurement au PIIA. « Il est de bonne foi et il veut faire quelque chose de bien. Je lui fais confiance », accorde la conseillère.

Le projet de raccordement va de l'avant
Alors que les travaux de l’autoroute 73 s’amorceront à Saint-Georges sous peu, les élus ont adopté le projet de règlement d’emprunt de 1 199 084 $ pour des travaux de construction des réseaux d'aqueduc, d'égouts et de voirie d'une partie de la 25e Avenue. En février dernier, Ville de Saint-Georges a reçu une aide financière conjointe de 1 179 832 $, accordée en vertu du Fonds Chantiers Canada-Québec, volet Collectivités pour le prolongement de la 25e avenue afin de la raccorder à la 74e rue projetée dans le cadre du projet de prolongement de l’Autoroute 73. La réalisation de ce projet nécessite un investissement total de 1 769 747 $.

Les gouvernements du Québec et du Canada accordent chacun 589 916, alors que la Ville de Saint-Georges y injectera un montant de 589 915 $. Rappelons que les travaux comprennent la construction d'une chaussée d'environ 800 mètres linéaires incluant la mise en place des services municipaux d'aqueduc et d'égout ainsi que l'installation de bordures de béton sur environ 200 mètres. En plus de favoriser le développement économique des PME de Saint-Georges et du parc technologique, ce prolongement permettra d'améliorer la desserte routière industrielle tout en désengorgeant le boulevard Lacroix.

Le secteur de Saint-Jean-de-la-Lande reconnu
Il y a deux semaines, une citoyenne du secteur Saint-Jean-de-la-Lande, Simone Quirion, a déposé une pétition de 420 signatures, demandant à la Ville de Saint-Georges de les appuyer afin qu’il puisse de nouveau inscrire le nom Saint-Jean-de-la-Lande sur leur adresse postale. Ville de Saint-Georges a adopté une nouvelle demande de modification des adresses du secteur Saint-Jean-de-la-Lande. Si la demande est acceptée, les gens du secteur pourront écrire Saint-Georges (secteur Saint-Jean-de-la-Lande). Cependant, cette demande du conseil municipal ne change en rien l’attribution des récents codes postaux. Cette demande a été envoyée à Postes Canada et au député fédéral, Maxime Bernier.

Lors de la période de questions, Mme Quirion était satisfaite que le secteur de Saint-Jean-de-la-Lande soit reconnu, mais elle aurait souhaité que l’on revienne à l’ancien code postal.

Saint-Georges en bonne position dans l’IRB
Le second palmarès cumulatif IRB des villes les plus heureuses place la municipalité de Saint-Georges au 5e rang parmi les 35 villes sondées.  La ville de Repentigny occupe pour une deuxième année d’affilée la tête de classement. Un total de 45 431 répondants ont participé à ce sondage. Saint-Georges a aussi amélioré sa position dans le palmarès 2010 des villes où il fait mieux vivre au Canada de la revue Moneysense. Elle se situe au 43e rang au pays, soit quatre positions de mieux que l’année précédente. Toutefois, Saint-Georges a été relégué au 8e rang au Québec, soit deux de moins qu’en 2009. « Ce sont là, des indications et des constats intéressants qui nous permettent de nous comparer avec d’autres villes. En résumé, Saint-Georges se positionne avantageusement sur les scènes provinciale et nationale. Nous pouvons être fiers de ces résultats, mais nous devons poursuivre nos efforts à améliorer ses classements pour les prochaines années », a fait remarquer le maire François Fecteau.

Des exercices du 25 au 28 mai
Des hélicoptères du 430e escadron tactique effectueront des exercices au-dessus de la municipalité du 25 au 28 mai prochain. Ces exercices se produiront de jour comme de nuit.