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Ville de Saint-Georges embauchera un chargé de projet pour redynamiser son centre-ville

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13 juillet 2010
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Le conseil de la Ville de Saint-Georges ira de l’avant dans l’embauche d’un chargé de projet afin de revitaliser le centre-ville de Saint-Georges.  L’embauche devrait se faire d’ici la fin du mois de septembre.  La Ville compte profiter aussi de l’encadrement de la Fondation Rue principale.  L’organisme a accompagné 250 municipalités au Québec dans leurs démarches de revitalisation de leur noyau urbain.  Le conseil a également réservé une somme de 30 000 $ annuellement  sur une période de trois ans afin de permettre de redynamiser le centre-ville.  Précisons que l’un des premiers mandats du futur chargé de projet sera de déterminer où débute et se termine le centre-ville.  Il va sans dire que la volonté du conseil est que celui-ci englobe bien davantage que la seule 1ère Avenue, dans le secteur Est, près du pont.

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  • AV
    alain veilleux
    temps Il y a 14 ans
    M Fecteau avez vous deja oublie que la rue principale est a St Jean De La Lande demander aux citoyens de St Jean ils vont vous dire ou se situe le centre ville et ca ne vous coutera pas un sous!!!!
  • MJG
    Michel J. Grenier
    temps Il y a 14 ans
    Ensemble ! J'ai passé mes premières années dans la 20ième rue, aujourd'hui la 120ième. Je me rappelle où était le centre-ville durant mon enfance. C'était la rue du Café Royal, la route de Saint-Prosper, la rue du moulin Brochu, la rue de la ' shop ' de laine, la rue du ' Coke ', CKRB, Poulin Grondin, barbier, etc... Il n'y avait même pas de viaduc, à l'époque, ni d'Église L'assomption, ni de boulevard Lacroix, ni d'avenue de la Chaudière. Il n'y avait que la première avenue, la deuxième et la troisième. Au delà, c'était les puits d'Arthur Grenier, mon grand-père, la Baby Bear Shoe, avec ses cages de planches, la butte du Séminaire, où nous allions glisser et faire du ski, les cages à renard de Louis Poulin, où se situe maintenant la maison de Roger Doyon. Plus bas, c'était la laiterie Saint-Georges, le Garage National, la ' Dow ' , le manège militaire, Drouin automobiles, le Café Paris, Jos S, l'abattoir Labbé, la Plomberie Brousseau, Jos Saint-Hilaire, sur la deuxième avenue, etc... Le pont arrivait en face du Magasin Gagné. Il y avait le restaurant Plaza, le salon de coiffure Lauretta, le Dr. Maheux, le Dr. Coutier, la bijouterie Gosselin, etc..., sur la première avenue, à deux voies, et la rivière Chaudière passait tout juste en arrière des bâtisses de la première avenue. En fait, la 20ième rue divisait la ville en deux : vers le sud, c'était le Village Morency, avec le moulin d'Isaïe Gilbert et, vers le nord, la Station, avec la gare et la Villa des Sapins de Paul-Émile Provost. Les limites nord de la ville arrêtaient à la petite rue de l'autre côté de l'aréna. De l'autre côté de la rue, c'était la cour à bois de Louis Drouin, puis une petite forêt avec la maison de Rose Tawell, où se situe le ' Père Nature ' actuel. Le centre-ville, c'était l'espace proche de la 20 ième rue, compris en l'Hôtel Hermandi, l'Hôtel National, l'Hôtel Continental, l'Hôtel de ville et le poste de police et de pompiers, le restaurant Monaco, sur la deuxième avenue, et les Chevaliers de Colomb, le Centre Social, le Magasin Gagné jusqu'à l'Hôtel Morency, sur la première avenue. Les temps ont bien changé !!! Je vous dirais que le Centre-Ville s'est déplacé et que la route actuelle, menant vers Saint-Prosper, serait la nouvelle route ou rue qui divise la ville, entre le nord et le sud, au lieu de la 20ième rue d'autrefois. D'ailleurs, on y retouve la Caisse Populaire, le Burger King, Wall Mart, Scores, Canadian Tire, et plein d'autres restaurants, bureaux, garages et commerces. Même si je n'habite plus Saint-Georges depuis 1995, j'observe son développement avec intérêt. Les récents événements m'amènent à penser qu'il faudrait peut-être s'adapter aux nouvelles réalités et voir plus grand que l'espace de mes jeunes années. Sans négliger le centre-ville d'autrefois, il faudrait peut-être regarder le centre-ville d'aujourd'hui et de demain en perspective avec la nouvelle sortie de l'auto-route 73, justement, sur la route de Saint-Prosper. Pourquoi ne pas bâtir le Complexe Culturel à proximité de la sortie de l'autoroute ? Saint-Georges a tous les architectes, ingénieurs, constructeurs et compétences nécessaires pour y aménager complexe culturel, musée et, peut-être, une seconde glace. Il ne faudrait pas oublier que Saint-Georges est aussi la ville de la bicyclette, avec Procycle, CCM, Peugeot, etc..., le siège nord-américain de marques prestigieuses de bicyclettes. Pourquoi pas, du même coup, acquérir la collection impressionnante de plus de 3 000 bicyclettes antiques uniques qui ' dort ' actuellement dans des entrepôts de Saint-Georges ? Ce nouveau complexe pourrait accommoder à la fois la population actuelle et future du Grand Saint-Georges, les paroisses et villes avoisinantes, de même que les besoins non comblés de l'Aréna, du CEGEP et de la Polyvalente, situés pas très loin. Je crois qu'il faut un projet nouveau, à coût abordable, facile d'accès, tant pour les citoyens et les visiteurs que les artistes et producteurs de spectacles, projet qui ralliera la population du Grand Saint-Georges et ses amis des alentours, plutôt que de les diviser. Qu'on se rappelle les forces vives qui se sont mobilisées lors de la construction de l'aréna et du Centre de ski. Ensemble !
  • P
    Patrice
    temps Il y a 14 ans
    Bonne idée d'avoir un chargé de projet afin de revitaliser le centre-ville. Mais il me semble qu'on peut facilement trouver et mettre en place des éléments immédiatement. Ça urge! Premièrement de refaire le Quai Pinon, prolonger la piste cyclable, mettre de la verdure, arbres, parcs, etc. Refaire les rues et trottoirs, mettre de beaux lampadaires et bancs. Bref, faire un lien bien aménagé entre l'Aréna et le bout de la Promenade Chaudière au sud. Ça sera déjà plus attrayant. Pas besoin de grandes études pour faire ça.
  • D
    Daniel
    temps Il y a 14 ans
    Ayant déjà travaillé pour la Fondation Rues principales, je peux vous dire qu'ils s'y connaissent en terms de revitalisation de centre-villes. Regarder le Vieux-Lévis, Ste-Marie, Drummondville pour ne nommer que ceux-là. Enfin la Ville prend une initiative majeure dans le dossier. Par contre il va falloir avoir le courage d'aller jusqu'au bout cette fois-ci. L'ancienne administration avait commencé un projet avec Fondation Rues principales mais avait arrêté après un an. La revitalisation d'un centre-ville prend plusieurs années et requiert la participation de la Ville, de la communauté d'affaire et de la population. Il faut applaudir ce geste!
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