Diane Vincent est candidate pour Québec solidaire dans Beauce-Sud
La candidate de QS veut participer à un débat sur l'agriculture
Dans la circonscription de Beauce-Sud, M. Samuel Poulin, candidat de la Coalition Avenir Québec (CAQ), a annoncé sa volonté, pour la prochaine campagne électorale, de faire de l’agriculture et de la mise en marché de produits québécois des enjeux prioritaires. Ce faisant, il a demandé de tenir une table ronde avec les candidats des différents partis politiques afin de mettre en valeur chacun de leurs points de vue. Pour emboîter le pas au député du Parti libéral du Québec, M. Paul Busque, Mme Diane Vincent, candidate de Québec solidaire dans Beauce-Sud, souhaite participer à cette table ronde.
Au cours des dernières années, la candidate solidaire a participé notamment au 12e colloque international francophone de Villes et Villages en santé et des Villes santé, organisé par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), et au Forum sur la transition énergétique et l'adaptation aux changements climatiques, organisé par le Conseil régional de l'environnement Chaudière-Appalaches (CRECA).
Grâce à ces formations, Mme Vincent est encore plus convaincue de la pertinence des propositions de Québec solidaire de bâtir une vision durable et saine des villes, villages et communautés. De même, elle est persuadée de l’urgence de réaliser une transition vers une agriculture écoresponsable.
« Comme l’agriculture est importante pour les citoyens et citoyennes de Beauce-Sud, ainsi que pour moi-même, j’ai décidé de mettre ce thème au centre de ma campagne électorale », a indiqué Mme Diane Vincent.
Pour les élections générales de 2018, Mme Vincent va avoir l'occasion d’aborder les quatre grandes priorités de Québec solidaire en matière d'agriculture québécoise, soit l’amélioration de la qualité de vie et de la sécurité financière, contrer l'accaparement des terres agricoles, la politique de souveraineté alimentaire et la transition écoresponsable pour une agriculture durable.
7 commentaires
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Maudit l'agriculture est déjà protéger financièrement avec une assurance si une bête meurt, si les récoltes sont pas bonnes et on nous augmente le lait et tous ce qui s'y rattache(fromage, yogourt,,)..... Alors faudrait en revenir.
Plusieurs ont du se réorienter dans d'autres métiers quand leur entreprises ont fermés quand les chinois et cie nous ont rentrer dedans avec la mondialisation et on avait aucun protectionniste pour protéger nos emploi. Personnes est mort suite à se changement et en plus cpersonnes ont sorti pour appuyer nos jobs alors si être agriculteurs est JAMAIS PAYANT À VOUS ENTENDRE DEPUIS DES LUNES ben faites donc comme les autres qui on du changer d'emploi ainsi de mode de vie, changer de job c'est tout. De toute facon, le cochon, le boeuf c'est déja des lunes que le Québec mange des USA parce que l'on veut pas payer cher.... Celui du Qc sont envoyer en Chine, Allemagneet autres qui paye ;-) Alors le lait des États devrait pas plus être mortel que leur viande et on payera le prix normal au lieu d'être taxer pour payer les gros Pick-up des agriculteurs qui bbraillent touours il fait chauf, il fait froid, il mouille trop il mouille pas assez....
La gestion de l'offre ne coûte pas cher, c'est un faux débat de Bernier et de ses disciples mal informés. Lisez les études sur le sujet, il n'y en a aucune qui prouve hors de tout doute que si on abolirait la gestion de l'offre, le lait, les œufs, le poulet nous coûterais moitié moins cher, c'est de la pûr spéculation, un mensonge répété à un point où les gens y croient. Ce qui me coûte cher depuis 12 ans c'est le bœuf et l'essence. Est-ce que notre vaillant politicien a fait des pressions auprès de ces 2 grandes industries dans l'ouest canadien pour leur dire de cesser de nous étrangler? Réponse: NON
vous critiquer M Bernier pour l'essence et le boeuf qui coute cher et qui ne fait rien et bien avec votre compétence de parler de la gestion de l'offre qui coute pas cher et que c'est un mythe urbain, vous devriez aussi savoir que le boeuf et l'essence est des entreprises privés. M.Bernier n'a aucun pouvoir la dessus si ca ne serait que de dire à notre cher gouvernement provinciale de limité les taxes sur l'essence(chose que l'on ne verra jamais c'est la vache à lait comme la gestion de l'offre pour les agriculteurs...)
Ce qui me surprend le plus, c'est qu'il n'y a pas juste M.Bernier qui a oser parler des défaillance de la gestion de l'offre, mais ca vous aller surement M'ostiner à mort comme un bon cultivateur sait le faire car il a appris la lecon ;-)
LA LIBERTÉ ALIMENTAIRE N'EST PAS EN IMPOSSANT UN PROTECTIONNISTE MAIS EN SE DÉMARQUANT AVEC LE PRODUIT. SI C'EST MEILLEUR LE MONDE ACHETERONT SANS AVOIR CETTE OBLIGATION D'ACHETER D'ICI MAIS SUBVENTIONNER HYPOCRITEMENTS PAR SES GESTIONNAIRES. LE LAIT VIENS DE LA VACHE, LES OEUFS DE LA POULE PEUT IMPORTE SI ELLE EST AU USA OU DU QUÉBEC.....
Premier exemple: ailleurs au Canada
La gestion de l'offre s'applique aussi en Ontario et le lait y est beaucoup moins cher. La différence entre l'Ontario et le Québec est qu'ici, il y a un "prix plancher" à la vente au détail. Si vous voulez vous attaquer à quelque chose, commencez par ça.
Deuxième exemple: ailleurs dans le monde
La Nouvelle-Zélande est l'un des plus gros producteurs/exportateurs de produits laitiers au monde. La Nouvelle-Zélande n'a pas de gestion de l'offre. Le lait, en épicerie, coûte plus cher en Nouvelle-Zélande qu'ici. La gestion de l'offre n'est donc pas la seule responsable du prix élevé.
Dernier exemple:
"C'est moins cher aux USA!" Ben oui. Les autos, les vêtements, les produits électroniques et bien d'autres choses sont "moins chers aux États-Unis. Il n'y a pas de gestion de l'offre sur ces produits.
Je ne suis pas agriculteur, je ne suis d'aucun parti politique, je suis simplement tanné d'entendre des commentaires illogiques répétés des centaines de fois. À force d'entendre des mensonges souvent répétés, on pense que c'est la réalité; mais non.
Arrêtez donc de croire tout ce que des politiciens menteurs vous disent juste pour vous faire fâcher et gagner votre vote. Utilisez votre jugement et informez-vous!
Il faut développer des coopératives :
- de livraison de produits alimentaires à des points de chute prédéterminés,
- développer un réseau de commerces ambulants dans le secteur de la boulangerie et de la boucherie,
- et convaincre les élus de locaux de la mise en commun de service pour le mieux vivre de l'ensemble de la communauté.
À fin du compte, favoriser l'émergence d'une économie circulaire : produire, transformer, consommer et recycler, en Chaudière-Appalaches.