Ce que l'article concernant l'invitation et la chronique ci-haut ne disent pas, c'est que M. Lévesque illustre pendant 2h15 des situations où des gens peuvent en venir qu'à se suicider. Propos parfois réalistes, mais plus souvent moralisateurs et culpabilisants, M. Lévesque dénote que du négatif sur la génération des jeunes de 2012 en plus de culpabiliser ouvertement les mères. D'ailleurs, le sujet de l'avortement était non seulement cru, mais irrespectueux pour les femmes qui effectuent ce choix. Les femmes sont devenues des cimetières disait-il! Il aborde les sujets avec force en criant littéralement au micro. Je m'étais déplacée pour entendre des trucs pour contrer le suicide, non pour entendre crier sur la société d'aujourd'hui. Quant aux outils pour contrer le suicide, M. Lévesque a abordé le premier à 21h15 (notons que la conférence avait débuté à 19h) et c'était par la lecture d'un passage de la bible. Les outils suivants étaient exactement du même ordre. D'ailleurs, à la sortie, des piles de bibles étaient étalées sur les tables. Pourtant, outre le message de madame Lépine sur vidéo en début de soirée qui disait avoir surmonté les obstacles liés au suicide par la prière, il n'a pas été question de religion dans l'invitation, ni à l'entrée, ni directement pendant les premières heures. Pourquoi être sournois à ce point? Cette façon de faire, sans aucune transparence envers les gens, m'apparaît irrespectueuse. Si l'on voulait transmettre un message religieux à ce point, pourquoi ne pas le dire dans l'invitation et surtout dès le départ? Je suggère que les gens qui voulaient des outils d'intervention pour démystifier le suicide, savoir comment accompagner les gens ou avoir des outils concrets sur le sujet contactent les organismes du milieu spécialisés... et transparents! Je n'ai rien contre la religion, si cela à permis de sauver les personnes qu'il mentionne avoir sauvées, je ne peux qu'en être reconnaissante. Toutefois, le manque de transparence est une abération inacceptable.

J'ai bien aimé la soirée de Monsieur Réjean Lévesque,de nos jours la moralité en a pris un bon coût...C'est même ridiculisé... On vit dans une société très permissive ou « y'a rien là» et «y'a pas de mal à se faire de bien»... C'est bien de prendre conscience que chacune de nos actions ont des répercussions qui peuvent être parfois désastreuses...Il a parlé de l'avortement qui est un sujet très chaud et je sais en connaissance de cause que cela peut être un facteur qui amène au suicide... Ma soeur l'a vécue;elle a prise cette décision qui l'a amené plus tard à la dépression et à avoir des pensées suicidaires...Elle a tellement regretté son geste,mais il était trop tard...C'est plus facile de pardonner aux autres qu'à soi-même... Il a dépeint le côté noir car ce sont des situations de ce genre et bien d'autres qui peuvent créer ce mal intérieur...Le suicide n'est pas une solution;la vie mérite d'être vécue...Je connais des gens qui sont allés faire une oeuvre humanitaire et ils en sont revenus émerveillés de voir ces enfants radieux avec la joie de vivre;alors qu'ils n'ont rien,qu'ils vivent dans des taudis une seule pièce pour 8 occupants...Ici nous sommes dans l'opulence posons nous des questions et les bonnes!!!!!!!

Je connais M. Lévesque, c'est un homme que je respecte énormément. J'aimerais qu'il communique avec moi. Micheline (418 234-1363)

nous savons tous que la vie est précieuse mais suffit d'un rien et tout chamboule, c'est un moyen pour s'échapper de la souffrance mais au faite et après la mort pour un suicide c'est l'enfer là ce sera pire que ici ou le paradis!