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Trapper, c’est un art selon Pascale Martel

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21 janvier 2008
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Pour répondre à une demande grandissante venant des trappeurs, Pascale Martel et Simon Jacques, de l’entreprise les Fûts PSJ tiennent une « Journée de dépiautage et d’apprêtage des peaux ». Elle se tiendra le 26 janvier prochain de 9h à 16h au Centre des Loisirs de Saint-Joseph. La trappe et le dépiautage constituent de vraies passions pour elle et son mari. Ils pratiquent ce loisir, vont à des encans et en en ont créé leur compagnie en 2003, Fûts PSJ. Ce couple passionné souhaitait avec cette première édition faire découvrir et démystifier le domaine du piégeage auprès de la population en général et des amateurs de ce loisir.

Sous un concept différent, le thème de l’activité « C’est vous qui pratiquez ». Les nombreux professionnels du domaine présents apporteront leur aide et prodigueront de judicieux conseils. Les trappeurs pourront ainsi apporter leurs animaux à dépiauter, leurs fourrures, leurs outils et leurs fûts. Ils auront ainsi la chance de pratiquer, d'avoir l'avis des experts et connaître les défauts de leurs fourrures d’après Mme Martel.

Cette journée selon Mme Martel permettra à certains trappeurs de pouvoir apprendre à bien apprêter leurs peaux. Certains sont bons trappeurs Toutefois, ils n’ont pas la patience et accorde peu de temps au dépiautage de l’animal. Pourtant, il s’agit d’un non-sens de ne pas prendre le temps de bien préparer la peau après avoir soigneusement préparé sa saison de trappe. Cela a un effet direct sur le prix de la fourrure à l’encan. « Plus la qualité de la peau est belle, plus la valeur du marché augmentera », explique Mme Martel.

Les visiteurs auront aussi la chance de rencontrer des commerçants d’article de piégeage et de fourrures, une tannerie, un taxidermiste, les représentants des deux maisons d’encan. Ils pourront notamment assister à des techniques de dépiautage et d’apprêtage des peaux. Les participants verront et pourront faire l’aiguisage des couteaux par un professionnel et bien plus. Alors que pour plusieurs faire la trappe est un art qui requiert notamment de la patience, de la minutie et une bonne connaissance de son milieu. Le dépiautage constitue aussi un travail physique qui requièrent de la dextérité, de bons fûts et une bonne technique. 

Des passionnés du dépiautage seront là, dont un jeune trappeur reconnu pour ses talents, Sébastien Brisebois, 26 ans. Certaines associations dont la Fédération des trappeurs gestionnaires du Québec sera présente à l’événement. Un dîner sera disponible sur place ainsi que des rafraîchissements et diverses collations.

Pour plus d’informations sur la « Journée de dépiautage et d’apprêtage des peaux », communiquez avec Pascale et Simon Jacques au (418) 397-4133 ou visitez le site Web au www.futspsj.com.

Saine gestion de la biodiversité
Souvent les gens se méprennent le piégeage avec cruauté des animaux. Toutefois, Mme Martel, un trappeur conscient de son environnement fera une gestion de son écosystème et du territoire. « D’ailleurs si mon mari attrape deux femelles renard par exemple dans un secteur. C’est fini, il ramasse ses affaires puisqu’il veut en avoir l’an prochain », explique-t-elle.

De plus, la trappe permet de contrôler la prolifération de certaines espèces telles la mouffette et le raton par exemple. Les espèces protégées diffèrent par territoire selon leurs populations. Ici ce sont généralement, les coyotes, les renards, les ratons, les castors, les ours et d’autres espèces qui sont piégées.

Une activité en perte de popularité
Le piégeage est donc une activité économique et professionnelle, assure la gestion, le développement ainsi que la perpétuation dans le respect de la faune et de ses habitats d’après la Fédération des trappeurs gestionnaires du Québec (FTGQ). Celle-ci regroupe plus de 2000 trappeurs rassemblés en 13 associations régionales. La Fédération a lancé un projet en septembre dernier pour séduire la relève. De moins en moins de jeunes pratiquent ces activités. Au Québec, le piégeage est une activité commerciale, encadrée et effectuée par des professionnels reconnus par la Fédération.

Des phénomènes importants tels que la rage, présente chez certaines espèces, incite la Fédération à redoubler d’efforts auprès des jeunes pour que l’activité se perpétue. De plus, cette dimension donne à notre activité un caractère social, relié directement à la santé publique.


Le dépiautage de l'animal sera mis en valeur lors de cette activité.

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  • LS
    Lucie Savard
    temps Il y a 17 ans
    Quelle désolation. Il y a certainement d'autres façons de se divertir que de piéger des animaux. J'espère que ces images deviendront pour les générations futures des vestiges d'une époque retardée en matière de protection animale. Pour certains, la seule relation qu'il est possible d'entretenir avec les animaux sauvages est de les tuer pour leur prendre leur peau et s'en revëtir ou encore fabriquer des objets grotesques. C'est une ironie que des chasseurs se posent en protecteurs de la faune. Les gens doivent évoluer au-delà de ces comportements d'un autre siècle. Le désir d'aller en forêt pour tuer un animal devrait être assimilé à une maladie mentale. Les animaux devraient être protégés et il ne devrait être interdit pour quiconque de décider de leur vie ou de leur mort. La nature se régulera bien d'elle-même, comme elle l'a toujours fait, sans l'intervention humaine. Que les humains peuvent être arrogants quand il est question des animaux!
  • DG
    Denis Goulet
    temps Il y a 17 ans
    Bonjour, il y a 100000 ans l'homme des cavernes faisait la même chose, plus ça change plus c'est pareil. Il me semble que ce serait beaucoup aimable de tenter de se faire un ami plutôt qu'un chapeau pour mettre sur une tête sans cervelle. Denis Goulet
  • MA
    Massacre animal
    temps Il y a 17 ans
    Non mais c'est quoi l'affaire? Vous allez me dire que ce monde de la ville qui suivent des cours pour enlever la fourrure des animaux le font pour leur survie? ACHETER DE LA FOURRURE C'EST CRUEL!!!! Il y a d'autres façons de se vêtir en 2008? Évoluons un peu, on est pu dans le temps des cavernes. Et celui qui porte de la fourrure en se pensant beau est inconscient et il ne pense qu'à son nombril!!!
  • CG
    Carl Gilbert
    temps Il y a 17 ans
    Pour me permettre de repondre le cuir de vos bottes,souliers, manteaux, ceintures sont faites en quoi ???? Tuer un animal attacher aux bout d`une chaine pour te faire manger est encore bien pire.
  • CB
    Chantale Blais
    temps Il y a 17 ans
    Le piégeage, sans cruauté ? Tous les animaux tués pour leur fourrure ne viennent pas d'élevages. Certains sont piégés en pleine nature. Cette réalité, même les industriels la reconnaissent. D'après leurs propres chiffres, 15% des animaux tués pour leur fourrure ont été piégés. Et encore ce chiffre ne porte-t-il que sur les fourrures commercialisées. Or, un piège attrape ce qui passe au dessus de lui, il ne fait pas de détail. C'est ainsi que des centaines de milliers d'autres animaux meurent. Les trappeurs leur ont trouvé un nom : les 'déchets'. Ours polaires La liste des animaux concernés est très large. Elle émane des trappeurs, eux-mêmes. La société de la faune et des parcs Québec publie ainsi le résultat des ventes de fourrures d'animaux sauvages entre le 1er janvier 2001 et le 30 août 2002 : Belettes (14 047), Castors (69 023), Coyotes, (4 285), Écureuils (5 394), Loups (353), Loutres (4 438), Lynx du Canada (3 579), Martre d'Amérique (39 497), Moufette rayée (132), Ours noirs (1 531), Ours polaires (23), Pékans (7 383), Rats musqués (70 118), Ratons Laveurs (13 645), Renards argentés (86), Renards arctiques (26), Renards croisés (591), Renards roux (18 434), Visons (9 573). Interdiction Les campagnes menées par les protecteurs des animaux, qui ont dénoncé sans relâche l'utilisation de pièges et notamment de pièges à mâchoires ont abouti, finalement, à leur interdiction en Europe, dès 1991. Cette interdiction devait s'assortir de la non importation de peaux prélevées de cette manière dans les pays extérieurs à l'Union. Il va de soi que le Canada, les Etats-Unis et la Russie, les plus importants pourvoyeurs de fourrure sauvage se sont alarmés de cette décision, très pénalisante financièrement. Traditions Ils ont, habilement, fait valoir que pour certaines tribus, le piégeage fait partie des traditions. Mettant en avant les Amérindiens ou les Inuits, ils oubliaient de dire que ces peuples n'effectuaient pas et de loin, les prises les plus importantes. Mais l'argument humanitaire a joué à plein. Résultat, il a fallu attendre décembre 1997 pour qu'un accord soit enfin signé avec le Canada et la Russie, et août 1998 avec les Etats-Unis. Ces accords prévoyaient que les exportations de fourrure pouvaient se poursuivre, à la condition que les pièges à mâchoires soient bannis à compter de 2001. Soit dix ans de gagnés pour les piégeurs. 'Sans cruauté' Cet accord, dit 'accord sur des normes internationales de piégeage sans cruauté', prévoit aussi la création de nouveaux modes de piégeages, plus 'humains', qui devraient être utilisés au plus tard en 2007. Donc, de l'aveu même de ce texte, le piégeage actuel est cruel. De surcroît, le document n'est pas terriblement contraignant pour les trappeurs. Il y est ainsi indiqué : 'Même si le bien-être peut varier considérablement, le terme «sans cruauté» est appliqué uniquement aux méthodes de piégeage qui maintiennent le bien-être des animaux à un niveau suffisant, bien qu'il soit admis que, dans certaines situations, dans le cas de pièges destinés à la mise à mort, le niveau de bien-être peut être bas durant un court laps de temps.' Expérimentation Au fait comment crée-t-on des pièges 'sans cruauté'? En les testant sur des animaux. C'est ainsi que le programme de recherche et de développement des pièges de l'Institut de la fourrure du Canada mené aux installations de l'Alberta Research Council Vegreville a coûté un million de dollar. L'Institut précise 'Les animaux servant au programme de recherche et de tests des pièges sont traités selon les exigences du Conseil canadien de protection des animaux, qui régit l'utilisation des animaux expérimentaux'. Certes, des expériences logicielles sont aussi menées. Mais on en arrive au paradoxe de tuer des animaux pour en tuer 'humainement' d'autres. Comprenne qui pourra. Limites En outre, la recherche a ses limites. Le même Institut note : 'de nouveaux pièges ' rembourrés ' ont récemment été mis au point pour les prédateurs de plus grosse taille : renards, coyotes et loups, pour lesquels on n'a pas encore inventé de pièges entraînant la mort rapide'. Automutilation Que se passe-t-il pour l'animal piégé par la patte ? Certains arrivent à se délivrer en se rongeant la patte et survivent. D'autres se mutilent également et meurent un peu plus loin en raison de l'hémorragie. Une étude américaine a montré que 27 % des visons, 24 % des ratons-laveurs et 26 % des renards s'auto-mutilaient. Par ailleurs, des autopsies menées sur des renards arctiques ont permis de retrouver dans leurs estomac des morceaux de leur propre corps : des parties de pattes, des griffes, des bouts d'os et surtout de dents car elles éclatent très souvent sur le métal lors des tentatives de libération. Les trois-quart des animaux meurent donc prisonniers du piège. Mais pas de façon rapide. Ils meurent de faim ou de soif, dévorés par un autre animal sauvage. Ils ne sont tués par les trappeurs que si ces derniers ne tardent pas trop. Agonie Il ne faut pas en conclure que les autres pièges soient plus doux. Des expériences ont montré que même un piège qui broie sous l'eau (à mâchoires aussi, mais également les modèles dits 'en X' ou 'livres de messe') ne réussit pas à supprimer l'agonie : pour les visons, la perte de conscience prend en moyenne, deux minutes trente, et entre trois et quatre minutes pour un rat musqué. Les castors se débattent pendant neuf minutes et demi, leur cerveau fonctionne bien plus longtemps et les battements de cœur ne s'arrêtent qu'au bout de 15 minutes, toujours en moyenne. Déjà Darwin Il existe de très nombreuses déclarations récentes de personnalités et de scientifiques qui portent témoignage de l'horreur du piégeage. Mais en 1863 déjà, le célèbre naturaliste Charles Darwin condamna les pièges à mâchoires, indiquant qu'ils menaient 'des milliers d'animaux à une extrêmement douloureuse agonie, probablement pendant une durée de 8 ou 10 heures, avant que la mort n'y mette fin.' Il demanda à ses compatriotes anglais d'agir contre 'une si terrifiante somme de cruauté'. Histoires de bêtes Au Canada, dans la province de Colombie Britannique, des zoologistes chargés par le gouvernement d'étudier la vie de l'ours grizzly, tombèrent sur un piège dans lequel se trouvait un ourson mort. L'examen leur fournit des indices indéniables selon lesquels la mère elle-même avait tué son petit qui se débattait dans d'insupportables douleurs. Il arrive parfois que des animaux soient retrouvés vivants, même au bout de plusieurs semaines. Lors d'une consultation parlementaire, un trappeur de l'Alaska rapporta le cas d'un lynx qui survécut six semaines dans son piège : d'autres congénères lui avaient apporté de la nourriture. ( Source: One-Voice )
  • MJA
    Marjolaine Jolicoeur-AHIMSA
    temps Il y a 17 ans
    La photo de cette femme hilare devant la cruauté est tout à fait pathétique. Il n'y a rien de rigolo à tuer des animaux pour leurs peaux. Cette femme devrait plutôt se cacher et avoir honte. Honte de massacrer des animaux pour faire de l'argent sur leur dos et de détruire des écosystèmes. (Il faut 15 renards pour faire un manteau ou 30 visons) Il est plus qu'urgent que notre conscience s'ouvre à la souffrance des animaux et à notre domination cruelle sur eux. La fourrure est dépassée, archaique et démontre un manque total de compassion envers l'environnement. A celui qui vient parler du cuir, non mes souliers ne sont pas en cuir; il y a maintenant une multitude d'alternatives aux cadavres d'animaux. Il est tout à fait possible de vivre sans être un prédateur, en harmonie avec les animaux. Il suffit d'évoluer un peu. Au lieu de porter un animal sur votre dos, essayez donc pour une fois de le porter dans votre coeur... www.ass-ahimsa.net
  • DJ
    Diane. J
    temps Il y a 17 ans
    Madame Pascale Martel peut bien dire sur son site Web que c'est une obsession pour elle le trappage, avez-vous vu le sourire qu'elle manifeste pendant que son mari écorche le raton laveur? Avoir comme passion la mort des animaux de façon cruel par le piégeage, c'est pitoyable, et de dire que c'est un art! Oui, vous avez l'art de faire souffrir les animaux et vous avez l'art des écorchés, point à la ligne! Les enfants sur la photo rigolent moins! Que faites-vous quand les animaux piégés ne sont pas morts dans les pièges lorsque vous allez les collecter? Vous les frapper à coup de bâton ou vous les étouffer avec vos pieds? Souvent, les trappeurs trouvent des animaux vivants dans leurs pièges. Pour achever les bêtes on les assomme d'un coup de gourdin sur le plat du nez, près des yeux, puis on leur administre un coup avec le plat de la hache entre les épaules. Parfois on les étouffe avec les pieds appliqués sur la gorge de l'animal. On se sert aussi d'armes à feu mais le premier souci du trappeur est de conserver la peau intacte. Cette dame n'a pas trop de compassion pour les animaux, ni son mari, vous former un beau couple du temps des cavernes! Les trappeurs sont de bons gestionnaires de la nature? Non sélectif, le piégeage bouleverse considérablement les équilibres écologiques parce qu'il détruit sans distinction : les femelles qui ont des jeunes à nourrir et des centaines de milliers d'autres animaux, par erreur (appelés 'déchets'). Et en grande quantité : deux fois plus que les espèces visées ! -Les pièges sont les plus sadiques des instruments de torture depuis la roue et l'écartèlement du Moyen-Age - Video sur le trappage: http://www.petatv.com/tvpopup/getvideo.asp?video=Trapping-and-fur-farms
  • L
    Lucien
    temps Il y a 17 ans
    Tout d'abord, je tiens à dire que tout ce que je porte sur moi ne vient d'aucun animal, même les chaussures ou mes ceintures. Ensuite, comment peut-on étre aussi con pour montrer et faire des portes ouvertes pour ce genre de chose, ne sont pas humains ou n'ont pas de coeur, il faut penser que ce sont des êtres vivants et non pas des produits de consommation. J'aimerais bien voir ce genre de personne à la place des animaux qu'ils torturent, leur enlever la peau pour qu'ils comprennent ce que ressent l'animal, ou les faire suffoquer ou les tuer en leur mettant des coup sur le crane. Devrait se remettre en question ces gens la...
  • A
    alex
    temps Il y a 16 ans
    A tous les green gree,je voudrais seulement leur dire qu'il ce frappe plus de raton laveur qu'il y en'a qui meurt pris au piège. Il ce tue 10000 chevreuil de plus par les automobilistes que par les chasseurs. On'est rendu qu'il ce tue des ours dans les villes c'est justement parce que les green green on fait des pressions pour que les tappeurs est doit seulement a un ours au printemps. Salutation au gren au vert au écolo qui mange du boeuf du poulet du poisson et qui pense que ca pousse dans les arbres
  • JM
    Jérémie Masse
    temps Il y a 15 ans
    En tant que trappeur, pêcheur, chasseur, AINSI QUE TECHNICIEN DE LA FAUNE, c'est simplement une activité de gestion de la faune! C'est de NOTRE faute si les humains doivent faire cette gestion. Alors vous êtes aussi responsable que nous! Et ce serait vous qui devriez avoir honte de manger des pauvres animaux qui ont vécu une vie de MERDE dans une cage minuscule, à se faire gaver de cohonnerie et à se faire traitter comme une vulgaire saucisse! Alors informez-vous sur vos propres impacts avant de chialer bande d'inconscient!
  • C
    Christian
    temps Il y a 15 ans
    J'espère que tous ceux qui chiallent contre le trappage sont Végétalien... parce que le trappage est beaucoup moins cruel que d'acheter un gros T-Bone à votre épicerie du coin. Les animaux à fourrures sont une ressources renouvellable. Le prélèvement des animaux empêche la prolifération d'une espèce au détriement des autres... si la gestion des animaux à fourrures n'était pas faite, ceci engendrerait la disparition de certaines autres. Ceux qui disent que c'est cruel ne savent vraiment pas de quoi ils parlent.... informez-vous avant! J'espère vraiment que ceux qui ont écris tous ces messages sont strictement VÉGÉTALIEN, sinon... vous êtes vraiment des abrutis!
  • C
    Christian
    temps Il y a 15 ans
    Savez-vous que la fourrure synthétique est très dommageable pour l'environnement? cela prend une très grande quantité d'énergie pour la produire et de plus, la fourrure synthétique est fait à base de produit pétrolier... la fourrure naturelle est beaucoup plus écologique et respectueuse de l'environnement. Le trappage n'est pas cruel, c'est de la gestion de population animale et meme dans la majorité des cas, le piégeage permet d'avoir une augmentation des reproductions et de la santé des animaux en forêt. Le trappage est méconnu et l'opinion de la population est brainwashé par les organismes de protection des animaux. Vous devriez vous informer avant de parler de quelque chose que vous ne connaissez pas. C'est quand meme drôle de voir comment les gens sont contre le trappage mais que la pêche et la chasse sont acceptés....
  • DC
    Dominique Coussié
    temps Il y a 13 ans
    Totalement répugnant, la mort d'un animal donne le sourire a ces personnes...
  • M
    Mathilde
    temps Il y a 6 ans
    vous êtes d'horribles êtres humains
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