Un déjeuner à saveur technologique
Ce matin, au Georgesville de Ville Saint-Georges, le Déjeuner du président, présenté par le Conseil économique de Beauce, avait au menu trois conférences à saveur technologique. En effet, Régis Drouin, président de CDID Net, David Fecteau, président-directeur général d'Effecto, et Claude Poulin, président d'iClic, se sont exprimés sur les opportunités technologiques qui s’offrent aux entreprises. En plus d’être une activité de réseautage, ce déjeuner, qui autrefois portait le nom de Déjeuner de prestige, a su captiver l’attention des quelque 440 personnes présentes dans la salle.
Avec une touche d’humour qui a su faire sourire les invités, M. Drouin a partagé son expertise en technologies de gestion. Il a présenté différentes façons de gagner du temps en entreprise tout en améliorant les performances de chacun. L’utilisation de tableaux de bord, la réduction de tâches répétitives, l’implantation d’un système intégré et le télétravail ont été des points abordés.
De son côté, David Fecteau a informé le public sur les technologies de production. Son point de départ : l’identification radio fréquence (IRF) qui, selon lui, permet, entre autres, de savoir en temps réel l’évolution de la production, de mieux contrôler la qualité des produits et de mettre en place un indicateur de performance.
Quant à Claude Poulin, il s’est entretenu avec son auditoire au sujet des technologies des communications et de commercialisation. «6,8 MM$ ont été dépensés sur Internet au Québec cette année, a affirmé M. Poulin. De plus en plus de gens font des achats en ligne sur des sites tels que Alibaba.com, DHgate.com, Aliexpress.com ou Amazon», a-t-il précisé. Selon lui, il devient donc important de tenir compte de ces données pour la gestion du budget alloué au marketing d’une entreprise. Pour lui, connaître les nouvelles technologies de communication, telles que Facebook devient nécessaire aujourd’hui à l’évolution de chaque entreprise. «Il s’agit d’un porte-voix, mais également d’une façon de bien écouter les acheteurs qui nous mentionnent ce dont ils ont besoin», a-t-il précisé.
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