Voici une photo qui va rendre nostalgiques les plus de 50 ans de St-Georges: Patinoire extérieure au cours d'un bel après-midi de la saison d'hiver 1952-1953 au fameux Parc Bélair du secteur ouest. L'endroit idéal pour prendre l'air, pour socialiser et pour s'amuser. On y entendait provenant des «hauts-parleurs» de la grande musique comme les valses de Strauss au son de laquelle les patineurs et patineuses s'en donnaient à coeur joie. Il y avait des couples patinant bras dessus bras dessous dans un synchronisme parfait.
Remarquez à droite la bâtisse surmontée d'une cheminée, où on pouvait aller pour chausser (ou enlever par la suite) nos patins. À l'intérieur il y avait des bancs tout autour ainsi qu'au milieu sur lesquels on allait se réchauffer pas loin du poêle qu'on chauffait avec du bois d'érable à l'odeur si enivrante. Le responsable fut longtemps Onésiphore Labbé, très gentil monsieur. Je me suis toujours demandé comment il faisait pour tenir dans sa main (manquant un ou deux doigts) des tisons de bois brûlants, ce qu'il faisait à l'occasion pour nous impressionner. Et c'était impressionnant en effet ! Vous vous souvenez de cet endroit ?
Photo Rosaire Gamache. Fonds Claude Loubier. Texte de Pierre Morin.
Fondée en 1992, la Société Historique Sartigan est un organisme à but non-lucratif, financé par les dons, dont la mission est la protection, l'interprétation, la valorisation
et la diffusion du patrimoine de Saint-Georges et de ses environs.
Nous avons tous une santé mentale. Qu’on le veuille ou non, chacun d’entre nous aura à traverser des épreuves difficiles à un moment ou à un autre de sa vie. Ces évènements viennent fragiliser notre santé mentale et nous rendent plus vulnérables pendant une période qui peut varier d’une personne à l’autre. Par contre, ces épreuves ne déterminent pas ...
Dans ma chronique de la semaine dernière intitulée «Il pleut des milliards de dollars», je critiquais nos dirigeants politiques qui présentent des budgets largement déficitaires contribuant ainsi à une croissance inquiétante des dettes publiques.
Poursuivant ma réflexion, je constate que nos dirigeants politiques ne sont pas les seuls ...
Imaginez une femme.
Elle pourrait être votre voisine, votre collègue, un membre de votre famille ou même votre amie. Elle sourit, elle travaille, elle vit sa vie en apparence, normale, mais derrière ce masque, il y a une réalité où les stratagèmes blessants sont monnaie courante.
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