Vous devez avoir plus de 60 ans pour vous souvenir de cette illustration: les fameux panneaux de policiers faisant signe de ralentir dans les zones scolaires. C'est la compagnie Coca-Cola qui a conçu, fait fabriquer et distribué des milliers de panneaux semblables dans tous les États-Unis et le Canada dans les années '50.
Ici même à Saint-Georges, le distributeur de Coca-Cola la Maison Arthur Grenier a distribué sur son territoire, la Beauce et les environs, plus de cent panneaux de ralentissement, dans presque toutes les zones scolaires. Ils espéraient ainsi conscientiser les automobilistes à faire preuve de prudence et à prendre toutes les précautions qui s'imposent en de tels endroits. Une publicité à ce sujet a paru dans l'Éclaireur du 18 septembre 1959 (photo 2).
Wow, une initiative vraiment louable de la part d'une entreprise commerciale. Ces enseignes ont disparu depuis longtemps de la circulation, mais celles qui ont survécu valent aujourd'hui plusieurs centaines de dollars auprès des collectionneurs. Des souvenirs «vintages» rares.
Cliquez sur l'image du policier en couleur pour la voir au complet.
Photo 2 du fonds Éclaireur-Progrès. Texte et recherches de Pierre Morin.
Fondée en 1992, la Société Historique Sartigan est un organisme à but non-lucratif, financé par les dons, dont la mission est la protection, l'interprétation, la valorisation et la diffusion du patrimoine de Saint-Georges et de ses environs.
LA SOCIÉTÉ HISTORIQUE SARTIGAN
Ce n'est pas d'hier qu'on entend le nom de la cordonnerie Fiset, Vézina en parlait déjà dans son livre sur l'histoire de Saint-Georges publié en 1935. Même auparavant, dans une publicité parue en 1922, le premier Fiset qui s'est annoncé spécifiait que son atelier était ...
Au moment d’écrire ces lignes (dimanche matin), nous n’avons pas encore eu l’occasion de sortir nos pelles. Mais, à Ottawa, mardi dernier, ce ne sont pas les pelles que l’on a sorties, mais plutôt une gratte d’une dimension jamais vue qui servira à pelleter par en avant des milliards de dollars de déficit.
Un déficit jamais vu
Je n’ai pas ...
LA SOCIÉTÉ HISTORIQUE SARTIGAN
Contrairement aux autres usines de l'époque qui conservaient toutes leur nom anglais, on a toujours nommé celle-ci «la manufacture de talons». On fonda d'abord la manufacture «St-George Shoe Co Ltd» en 1932 (photo 1), mais on réalisa rapidement que c'était un problème de ...