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Rentrée scolaire

Les Québécois veulent investir dans l’éducation des élèves en difficulté d’apprentissage, révèle un sondage

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17 août 2020
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Par Salle des nouvelles

La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) a dévoilé dimanche les résultats d'une étude d'opinion confirmant la volonté des Québécois d'investir en éducation, prioritairement auprès des élèves en difficulté d'apprentissage.

Menée par la firme CROP du 22 au 29 juillet 2020 auprès de 1000 personnes par le biais d'un panel web, l'étude aborde sous plusieurs angles le niveau d'appui à différentes mesures favorisant la réussite éducative, notamment dans le contexte de la pandémie de la COVID-19.

Parmi les résultats figurent notamment plusieurs données confirmant que le gouvernement doit investir pour soutenir les élèves, particulièrement ceux éprouvant des difficultés d'apprentissage.

64 % des personnes interrogées estiment que le gouvernement du Québec doit investir prioritairement dans les services publics (santé, éducation et services de garde). Un autre 66 % des répondants s'avouent inquiets de l'impact de la pandémie sur la réussite scolaire des enfants.

Presque tous les répondants (90 %) se montrent d'accord à l'effet que les élèves en difficulté d'apprentissage seront davantage pénalisés par la pandémie et presque autant (92%) se disent en faveur du déploiement de moyens supplémentaires pour aider les élèves en difficulté d'apprentissage suite à la pandémie. Finalement, 83 % des personnes sondées se disent favorables à la diminution de la taille des groupes d'élèves.

Pour la présidente de la CSQ, Sonia Ethier, les Québécoises et les Québécois interrogés confirment l'urgence pour le gouvernement d'annoncer des mesures structurantes pour soutenir les élèves, particulièrement pour ceux éprouvant des difficultés d'apprentissage.

 « Depuis les premiers jours de la pandémie, nous martelons qu'il est essentiel que le gouvernement injecte de nouvelles ressources financières pour soutenir les élèves vulnérables avec des services auxquels ils ont droit. À quelques jours de la rentrée, la cloche a sonné et le ministre de l'Éducation est déjà en retard. », explique Sonia Ethier.

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