L’unité d’hémodialyse de L’Hôpital de Saint-Georges traitera six nouveaux patients
Le Centre de santé et de services sociaux de Beauce (CSSSB) a obtenu l’autorisation de traiter six personnes de plus à son unité d’hémodialyse. Cette nouvelle ravit les patients qui doivent être traités loin de chez eux et la direction de l’établissement qui est consciente des difficultés vécues par ces patients. Au total, ce sont 22 personnes au lieu de 16 que l’unité pourra traiter. Le recrutement et la formation du personnel débuteront dès janvier 2015. L’unité pourra donc accueillir ses six nouveaux patients dès mars.
« Le conseil d’administration et la direction générale du CSSSB sont particulièrement fiers de ce dénouement. Nous ferons tout en notre pouvoir pour accueillir les nouveaux clients dans les meilleurs délais », explique Marie-Claude Bélanger, directrice générale du CSSSB.
Depuis l’annonce de l’ouverture de six nouvelles places, cinq personnes ont déjà manifesté leur intérêt pour obtenir les services de l’Hôpital de Saint-Georges dont l’unité d’hémodialyse offre des services surspécialisés. « Grâce à une technologie de pointe, les néphrologues de cet hôpital assurent le suivi des clients traités en Beauce. Une équipe d’infirmières spécialement formées accompagne les clients sur place. L’unité compte huit chaises de traitement. Les personnes admissibles sont référées au CSSS de Beauce par leur néphrologue, en tenant compte de certains critères spécifiques liés à leur condition », mentionne l’Hôpital de Saint-Georges dans un communiqué.
L'organisation des services cliniques est sous la responsabilité de l’Agence régionale de la santé et des services sociaux de Chaudière-Appalaches. « Partager les ressources est un mandat qui exige une bonne connaissance des besoins et un grand sens de l’équité. On doit avoir à la fois une vision régionale et des préoccupations pour les communautés locales et envisager toutes les alternatives cliniques possibles. Ça prend du courage et du leadership. Je salue le président-directeur général, monsieur Daniel Paré, pour son savoir-faire », mentionne madame Bélanger.
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