Nous joindre
X
Rechercher
Publicité

Texte commandité

À quel point l'anglais est-il important au travail ?

durée 20h12
3 octobre 2018
ici

commentaires

ici

likes

 

vues

imprimante
email
Par Texte commandité

Aujourd’hui, cela ne fait plus aucun doute : l’anglais est la langue de référence pour les affaires, et même dans d’autres secteurs. Selon l’économiste Brahim Boudarbat, 40% des candidats aux entreprises québécoises sont directement rayés de la liste s’ils ne parlent pas l’anglais. Dès lors, à quel point l’anglais est important pour le travail ? L’est-il d’autant plus pour le Québec que d’autres provinces du Canada ? Retour sur ces facteurs d’accès au marché de l’emploi.

 

L’anglais, c’est la langue universelle

 

C’est presque devenu une condition sine qua non : parler anglais dans la province du Québec, c’est comme parler français, c’est indispensable. Pour quelles raisons ? Parce que le Canada est, par essence, francophone et anglophone. Pourriez-vous travailler à Montréal, dans une entreprise ou une organisation non gouvernementale, sans jamais avoir de lien avec Toronto ou Ottawa ?

 

Dès lors, parler anglais, et comprendre l’anglais, c’est aussi offrir de nouvelles opportunités professionnelles. L’anglais, c’est aussi la langue universelle : quelle que soit la partie du monde où vous voyagez pour vos affaires, l’anglais vous sera toujours d’un grand secours !

 

L’anglais, c’est donc aussi bien utile au Québec, que dans le reste du monde.

 

Parler l’anglais, c’est bien, parler un bon anglais, c’est mieux

 

En général, chaque entreprise dispose d’un jargon bien spécifique et technique. Connaître ce vocabulaire, se l’approprier et savoir le transposer en anglais est un atout non négligeable pour mener des présentations à une haute échelle.

 

Il existe en effet deux façons de parler anglais :

  • Parler anglais couramment, au sens du quotidien : vous vous débrouillez dans toutes les situations, vous savez vous exprimer sur n’importe quel sujet (niveau requis pour exercer au Québec)

  • Parler anglais couramment, au sens du bilinguisme

 

Cette compétence linguistique, il faut donc la développer au quotidien et en accord avec votre secteur d’activité, en choisissant par exemple de prendre des cours d'anglais en entreprise avec l’Institut Linguistique ou d’autres centres de formation.

 

Cela vous permettra d’apprendre, en équipe, toutes les ficelles de la conversation anglaise de votre milieu professionnel. Cela servira vos volontés de développement et de travail à l’international, en plus de conforter votre quotidien.

 

Développez votre réseau et votre entreprise à l’international

 

Il faut aussi voir que votre maîtrise de l’anglais doit être mise en comparaison avec les autres candidats. Au Québec, de nombreuses personnes sont bilingues de naissance, ce qui constitue un fort atout sur le marché du travail. À défaut de pouvoir se distinguer, il faut donc au moins pouvoir assurer et se mettre au même niveau, puisqu’un recruteur québécois (lui-même bilingue) n’en attendra pas moins !

 

Sans oublier que 87% des entreprises québécoises travaillent à l’international, et 94% d’entre elles avec d’autres villes du Québec. Si vous faites le calcul, dans les deux cas, l’anglais vous sera nécessaire. Dans le premier cas, c’est un tremplin vers la conclusion de nouveaux contrats et/ou contacts, dans le second cas, cela permet de gérer un flux de travail quotidien. Par exemple, certaines instances de dialogue ne se trouvent qu’à Ottawa ou Toronto, et là, pas le choix : il faut parler anglais !

 

 

Parler un anglais courant est un avantage indéniable pour exercer dans les affaires, mais il devient indispensable pour exercer au Québec : en raison de sa proximité avec d’autres provinces canadiennes, la proximité culturelle est ici immanquable. Si l’importance de l’anglais au travail (et notamment au Québec) est essentielle, il faut cependant entretenir cette compétence en se mettant régulièrement à niveau, grâce à des cours particuliers. C’est un bon moyen de conclure des affaires probantes, et de développer son business.

RECOMMANDÉS POUR VOUS


Publié hier à 16h30

Le 24DH Saint-Georges Ford amasse 66 000$ pour la Fondation Santé Beauce-Etchemin

Les organisateurs du 24DH Saint-Georges Ford, Carl Breton, Louis Larochelle, François Bégin, Vincent Doyon, François Dupuis et Maryse Rodrigue, ont remis un montant de 66 000 $ à la Fondation Santé Beauce-Etchemin.  C'est lors d'une conférence de presse tenue à l'hôpital de Saint-Georges que ce chèque a été remis en présence du conseil ...

Publié hier à 15h00

L’Association bénévole Beauce-Sartigan a fêté ses 45 ans

L’Association bénévole Beauce-Sartigan (ABBS) a célébré ses 45 années d’existence en organisant une grande journée de reconnaissance, le vendredi 12 septembre, au Centre de congrès Le Georgesville à Saint-Georges. Cet anniversaire était alors l’occasion de rendre hommage à celles et ceux qui, par leur implication, sont la véritable force vive de ...

Publié hier à 8h00

Une soirée-bénéfice rapporte 51 000 $ pour l’organisme Le Sillon

La 8e édition de la soirée-bénéfice au profit de l’organisme Le Sillon s’est tenue ce samedi 13 septembre à Saint-Georges et a permis d’amasser un montant record de 51 000 $. Plus de 165 convives ont participé à l’événement organisé par Mario « Poker » Roy et Bernard Gilbert, propriétaire de La Cage – Brasserie sportive de ...

app-store-badge google-play-badge