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Point sur la situation

« Vivre avec le virus, ne veut pas dire de vivre comme s'il n'y en avait plus »

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29 juillet 2022
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Gabrielle Denoncourt
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Par Gabrielle Denoncourt, Journaliste

Le directeur national de la Santé publique, le Dr Luc Boileau, s’est à nouveau présenté devant les journalistes pour faire un point sur la situation actuelle concernant la COVID-19.

Il a débuté en mentionnant qu’il y avait eu dans les dernières semaines une augmentation des cas dans les hôpitaux, mais que la majorité s’était présentée pour des problèmes de santé sus-jacents et qu’en étant testés ils étaient ressortis positifs.

M.Boileau indique que la vaccination est sans doute la raison pour laquelle il y a moins d’hospitalisations en raison du virus.

Toutefois, la vague estivale est beaucoup plus importante que ce qu’avaient anticipé les experts de la Santé publique, mais bien que la transmission demeure élevée, elle tend à se stabiliser.

Les régions comme la Capitale-Nationale et Chaudière-Appalaches font partie des régions où le nombre de cas a augmenté en grande partie causé par les grands rassemblements comme les festivals.

Le directeur de la Santé publique rappelle que même si les Québécois ressentent une fatigue pandémique, il faut poursuivre les efforts et demeurer vigilant.

« Vivre avec le virus ça ne veut pas dire, vivre comme s’il n’y avait pas de virus. Ça veut dire de reprendre certaines activités de la vie normale tout en se protégeant et en protégeant les autres », spécifie le Dr Boileau.

Il ajoute de porter son masque au besoin lorsqu’on ne peut maintenir des distances avec les autres dans des endroits bondés, surtout si on est vulnérable. Il faut privilégier les grands espaces, les endroits qui sont bien aérés, dehors. Au moindre symptôme, il est fortement recommandé de faire des tests rapides et même s’il est négatif en refaire dans les jours qui suivent. L’isolement reste de mise si l’on est malade. D’ailleurs, la contagion est d’une durée de dix jours. Finalement, il est important de tenir sa vaccination à jour surtout pour les 60 ans et plus et les personnes vulnérables.

Vaccination

Depuis lundi, les enfants de 6 mois à 4 ans peuvent dorénavant recevoir la vaccin de Moderna. Juste qu’à présent 10 000 enfants ont été vaccinés ou sont sur le point de l’être. La Santé publique encourage les parents à faire vacciner leurs enfants.

Il est rappelé qu’entre les doses de rappel, il faut attendre cinq mois entre chaque. Par contre, les personnes qui ont été infectées au courant des trois derniers mois doivent attendre un autre trois mois avant de recevoir leur dose. 

Finalement, le directeur réitère que le port du masque obligatoire n'est toujours pas envisagé. 

 

 

 

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