L’heure de la revanche a sonné pour les Dragons
Les Dragons de la Beauce-Etchemin croiseront le fer pour une deuxième année consécutive contre les Hornets de Sun Youth en demi-finale de la Ligue midget de football du Québec. L’an dernier, les Hornets ont éliminé les représentants de la Beauce, et ce, à domicile. Ce match tant attendu aura lieu samedi à 13 h.
L’entraîneur-chef, Yannick Lacroix, soutient que ses joueurs ont la mémoire longue de la défaite crève-cœur de l’an dernier au compte de 21 à 17 contre les Hornets. Sa troupe travaillera fort cette semaine afin faire payer le prix aux Hornets. La motivation chez les joueurs sera à son meilleure. Mais pour que le scénario de l’année dernière ne se reproduise pas, Lacroix dit que ses protégés ne doivent pas sous-estimer l’adversaire. « L’année dernière, on se voyait déjà en finale. Aujourd’hui, c’est étape après étape soit un jour à la fois », commente M. Lacroix.
L’entraîneur n’apportera aucune modification importante à sa formation. Il misera ainsi sur le même désir de vaincre de ses joueurs. Il s’attend à toute une rencontre contre les Hornets qui possède une équipe forte défensivement. Pendant la saison, les Hornets avaient été défaits 47 à 11 par les mêmes Dragons. Sun Youth n’a alloué que 115 points en 10 rencontres. Le coordonnateur à l’offensive décrit les Hornets comme une équipe au style conservateur à l’offensive, mais qui mise sur sa défensive et ses unités spéciales pour rafler la victoire. Une formule qui a réussi sept fois cette saison. Pour se rendre en demi-finale, les Hornets de Sun Youth ont eu raison des Warriors de LaSalle
Belle victoire contre les Rebelles
Rappelons que les Dragons ont infligé un cuisant revers aux Rebelles de Saint-Hubert samedi dernier au compte de 43 à 0. La défensive n’a rien donné et le plan de match à l’offensive a été suivi à la lettre. L’attaque au sol a encore été une fois dévastatrice et les Dragons ont limité les revirements.
Les partisans sont bien entendu invités à cette partie demi-finale qui sera disputée au terrain de la Polyvalente St-Georges. « On a besoin de chaleur humaine, puisqu’il faisait froid cette fin de semaine», lance l’entraîneur-chef.
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