Il y avait malheureusement pas assez de place à l'information et beaucoup trop de publicité... On aurait dit une circulaire plutôt qu'un journal! Personnellement, il ce trouvait aussitôt au recyclage...

C'est malheureux d'avoir un tas de journaux en Beauce qui nous répètent tous les mêmes nouvelles. Dans notre municipalité nous les recevons tous, du nord et du sud. J'en lis un et les autres je les regarde. J'aimerais mieux en avoir un ou deux seulement et avoir les nouvelles une fois, les finances serais meilleures pour ces journaux que de se battre pour avoir le plus de publicité. Roland

C'est malheureux, encore une fois, un journal est victime de la règlementation qui fait que Québécor avale tout. Quand ils seront fins seuls, les prix de la publicité vont augmenter de façon exponentielle......mais on l'aura voulu......

Très malheureux comme nouvelle... Si nous avons été quelques uns à quitter le bateau au cours des derniers mois pour diverses raisons, il ne fait aucun doute que l'équipe actuelle faisait des pieds et des mains pour garder à flot ce produit beauceron de grande qualité, quoi qu'en pensent les champions de la récupération s'étant déjà exprimés ici. Ce qui me désole ici, c'est de voir que le modèle coopératif n'aura pas fonctionner en Beauce pour ce média, alors qu'il donne de bons résultats ailleurs en province. Peut-être avez-vous, Beaucerons, une réflexion à faire là-dessus. Mes pensées vont maintenant aux employés, mes amies du Journal de la Beauce. Courage les femmes. Message aux autres employeurs de la région: Jettez-vous sur elles, ce sont toutes des perles rares... Pascal Gourdeau, ancien journaliste du Journal de la Beauce

En tant qu'ex collaborateur au Journal de la Beauce, je trouve dommage que cet hebdomadaire puisse connaître éventuellement le même sort que quelques autres journaux qui ont dû fermer leurs portes, comme ce fut notamment le cas pour l'Impact et La Une du matin. Ayant produit 96 reportages pour ce journal, j'ai pris un jour la décision d'offrir mes services à l'Éclaireur-Progrès, et depuis moins d'un an, 23 reportages que j'ai soumis y furent publiés. A maintes occasions, alors que j'oeuvrais au Journal de la Beauce, j'ai fait la suggestion aux personnes concernées qu'il serait peut-être préférable de se trouver un créneau qui serait différent des autres publications, et aller vers quelque-chose de différent. Le lecteur qui prend connaissance de l'article d'un journaliste qui a couvert un accident, un incendie ou une conférence de presse, n'est peut-être pas intéressé à lire la même nouvelle dans deux ou trois journaux sur papier, sans compter ceux publiés sur le web. Qu'on le veuille ou non, la description sera à quelques mots près la même dans tous les journaux. Et nous vivons à une époque où chaque minute compte. Sans vouloir me vanter, je peux vous dire que les reportages que j'ai «pondus» et qui m'ont valu le plus de félicitations, sont ceux qui avaient comme sujet des personnalités beauceronnes qui ont marqué l'histoire, comme ce fut le cas pour les Sept frères Panayotopoulos, l'ex-maire Paul-H. Lacasse, le peintre en hauteur Jacques Thibodeau, le propriétaire du restaurant «Chez Ben» Benoit Bolduc, les nonagénaires Andréa Thibaudeau et Polycarpe Poulin. Sans oublier la série de reportages sur la construction du pont au-dessus de la rivière Famine ou encore celle sur quelques membres de la légion royale canadienne Filiale 249 La Beauce, comme les Vétérans Martin Lévesque ou Léopold Caron. La sélection naturelle fait en sorte que les plus forts survivent, et les plus faibles disparaissent. Malgré la bonne volonté des gens impliqués, et leur désir de survivre dans un monde où la « tarte publicitaire » est de plus en plus divisée, il faut bien en arriver à la conclusion que toute bonne chose a une fin, et accepter le fait qu'avec l'arrivée d'Internet, et de toutes ces nouvelles plates-formes médiatiques, l'avenir ne sera pas rose pour les nouveaux venus dans ce monde où la compétition sera de plus en plus féroce. Bonne chance à tous ceux et celles avec qui j'ai eu beaucoup de plaisir à travailler, particulièrement Pascal Gourdeau et Éric Gagnon-Poulin, qui ont jadis fait en sorte que plusieurs de mes textes soient acceptés. Ces derniers ont décidé, comme je l'ai fait il y a un an, de voguer vers d'autres cieux. Pour ma part, c'est dans le journal l'Éclaireur-Progrès que les lecteurs peuvent désormais prendre connaissance de mes reportages. Yvon Thibodeau collaborateur à l'Éclaireur-Progrès ex-collaborateur au Journal de la Beauce

Trop de publicité, pas assez de contenu. je trouvais qu'il était répétitif du site même. nous sommes à l'air d'internet et non de créer de nouveaux journaux. effectivement, c'est dommage pour les employés...

Très malheureux comme nouvelle... Si nous avons été quelques uns à quitter le bateau au cours des derniers mois pour diverses raisons, il ne fait aucun doute que l'équipe actuelle faisait des pieds et des mains pour garder à flot ce produit beauceron de grande qualité, quoi qu'en pensent les champions de la récupération s'étant déjà exprimés ici. Ce qui me désole ici, c'est de voir que le modèle coopératif n'aura pas fonctionner en Beauce pour ce média, alors qu'il donne de bons résultats ailleurs en province. Peut-être avez-vous, Beaucerons, une réflexion à faire là-dessus. Mes pensées vont maintenant aux employés, mes amies du Journal de la Beauce. Courage les femmes. Message aux autres employeurs de la région: Jettez-vous sur elles, ce sont toutes des perles rares... Pascal Gourdeau, ancien journaliste du Journal de la Beauce

C'est malheureux, encore une fois, un journal est victime de la règlementation qui fait que Québécor avale tout. Quand ils seront fins seuls, les prix de la publicité vont augmenter de façon exponentielle......mais on l'aura voulu......

C'est malheureux d'avoir un tas de journaux en Beauce qui nous répètent tous les mêmes nouvelles. Dans notre municipalité nous les recevons tous, du nord et du sud. J'en lis un et les autres je les regarde. J'aimerais mieux en avoir un ou deux seulement et avoir les nouvelles une fois, les finances serais meilleures pour ces journaux que de se battre pour avoir le plus de publicité. Roland

Il y avait malheureusement pas assez de place à l'information et beaucoup trop de publicité... On aurait dit une circulaire plutôt qu'un journal! Personnellement, il ce trouvait aussitôt au recyclage...

YES ! Malheureusement beaucoup trop de pub dans le journal. Manque d'article intéressant à lire. C'est ressemblait au défunt journal l'Impact des années fin 90. Alain

Journal inintéressant s'en allait direct au bac a récu!