Nous joindre
X
Rechercher
Publicité

Les Canadiens de Montréal

Phillip Danault reçut avec classe dans cette victoire des Kings

durée 09h00
10 novembre 2021
ici

commentaires

ici

likes

 

vues

imprimante
email
Par Salle des nouvelles

Le Tricolore avait deux jours de congé après sa défaite contre les Golden Knights de Vegas. Ce mardi soir, la troupe de Dominique Ducharme affrontait Phillip Danault et les Kings de Los Angeles.

Pour sa part, le Québécois ne s’est pas inscrit sur la feuille de pointage, mais demeure l’élément clé de la partie. 

Après quelques huées de la foule, le numéro 24 a eu droit à une ovation méritée et émouvante, sous de belles acclamations des partisans. Par la suite, le Victoriavillois acceptait mieux les huées lorsqu’il touchait au disque.

Si on se concentre sur la partie, il y a exceptionnellement du positif à tirer de cette rencontre dans cette défaite de 3-2. Il s’agissait d’un premier match en prolongation pour l’équipe cette année, période supplémentaire, qui s’est terminée par un but d’Adrian Kempe, sous les yeux étrangement lâches et découragés de Jeff Petry.

Pour les aspects positifs, le CH s’est battu jusqu’à la fin. Jake Allen a joué un solide match, contrairement à sa soirée de travail difficile contre les Knights. Le numéro 34 a réalisé 31 arrêts, dont de sérieuses menaces. Sinon, la combinaison Jake Evans et Artturi Lehkonen a mené l’équipe offensivement et la défensive était beaucoup mieux structurée qu’autrefois.

Il est vrai qu’il s’agit d’une onzième défaite cette saison, mais le bleu-blanc-rouge peut garder la tête haute après cette rencontre, comme c’est le cas samedi contre Vegas. Sans dire que l’équipe a ce qu’il faut pour se tailler une place en séries d’ici le mois d’avril, on constate une certaine évolution, au cours des derniers matchs joués. 

Le club est plus structuré, plus combatif et plus divertissant. Le jour où les Carey Price, Joel Edmundson, Jonathan Drouin et Mathieu Perreault réintègreront la formation, on pourrait s’attendre à du hockey plus intéressant, sans toutefois voir nos Glorieux en séries ce printemps.

La prochaine joute des Canadiens est prévue ce jeudi soir, contre les Flames de Calgary. Honnêtement, si l’équipe poursuit dans la même direction que mardi soir, le négatif pourrait perdre de sa majorité de nos opinions distinctes. 

Avec les nombreux départs, les nombreuses blessures et les nombreux visages neufs dans l’alignement, on constate à quel point l’équipe en a arraché, depuis le début de la saison. Cependant, les matchs contre Los Angeles et Las Vegas n’étaient pas des défaites comme les autres. 

Ces revers ne peuvent être reçus comme de la honte, contrairement aux neuf autres. Il s’agissait de parties à l’image d’un club régulier, comme on l’a vu les années précédentes. Avec beaucoup d’optimisme, on peut croire à des jours meilleurs dans la Belle province, et ce, même si les séries sont désormais une utopie. 

Collaboration de Mathieu Bouchard-Racine

RECOMMANDÉS POUR VOUS


Publié hier à 18h00

Traitement choc à venir

À part l’accession du Député de Beauce-Sud, Samuel Poulin, au Conseil des ministres, le remaniement ministériel annoncé mercredi dernier par François Legault me donne bien peu d’occasions de me réjouir. Une nomination méritée La nomination de Samuel Poulin à titre de ministre responsable de la Jeunesse et ministre délégué à l’Économie et aux ...

Publié le 14 septembre 2025

L'extraordinaire drague d'autrefois à St-Simon-les-Mines

LA SOCIÉTÉ HISTORIQUE SARTIGAN La plupart savent qu'une jeune fille, Clothilde Gilbert, a trouvé en 1846 une pépite d'or «grosse comme un oeuf de pigeon» à Saint-Simon-les-Mines (SSLM). Clothilde et son mari à la photo 5. Son père, Léger Gilbert, l’avait envoyée chercher un cheval et, en traversant la ...

Publié le 13 septembre 2025

Le gaslighting médical (ou minimisation des symptômes) : quand la douleur des femmes est remise en question

De nombreuses femmes qui consultent un professionnel de la santé sortent du cabinet avec un sentiment amer : celui de ne pas avoir été entendues. Trop souvent, leurs douleurs sont minimisées, attribuées au stress ou à « l’imagination ». Ce phénomène porte un nom : le gaslighting médical. Les patientes finissent par douter de la légitimité de leurs ...

app-store-badge google-play-badge