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C’est presque le temps d’épargner… avec le CELI

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22 novembre 2010
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Par Come Simard, Conseiller financier

À moins d'être certain que vous gagnerez à la loterie, aucun autre moyen que l’épargne systématique ne permet d’atteindre vos objectifs de retraite et autres objectifs financiers. Malgré la relative nouveauté du compte d’épargne libre d’impôt (CELI), vous devriez envisager d’y cotiser.

Voici pourquoi :

Vous pouvez placer de l’argent dans un CELI et le retirer en tout temps, peu importe la raison, en franchise d’impôt. 
 
Un CELI est comme l’image-miroir d’un REER. Dans un REER, vos cotisations vous donnent droit à une déduction fiscale, mais tous les retraits sont imposables. Dans le cas du CELI, vos cotisations ne donnent droit à aucune déduction, mais vous ne payez pas d’impôt sur les rendements et retraits futurs. Tous les rendements des placements admissibles du CELI sont entièrement libres d’impôt et n’engendrent pas de réduction des crédits d’impôt (tels que le crédit en raison d’âge et le crédit pour TPS), ni de remboursement des prestations du gouvernement fédéral (tels que le supplément de revenu garanti, la Sécurité de la vieillesse, ou la Prestation fiscale canadienne pour enfants).

Il n’y a aucune limite d’âge pour un CELI ni aucune limite quant au montant de droits de cotisation inutilisés que vous pouvez accumuler. Vos droits inutilisés peuvent être reportés indéfiniment. Vous pouvez faire un cadeau à votre conjoint à des fins d’investissement dans un CELI et transférer l’actif de votre CELI à votre conjoint à votre décès.

Actuellement, la cotisation annuelle maximale à un CELI est de 5 000 $ par personne, par année, sans égard au revenu. 
 
Et voici pourquoi il est presque le temps de cotiser à un CELI : Les droits de cotisation du CELI pour 2011 seront une fois de plus de 5 000 $. Dès le 1er janvier 2011, vous pourrez donc verser un autre montant de 5 000 $ à votre CELI en sus de votre limite de 2010.

Les placements détenus dans un CELI offrent une très grande souplesse d’épargne, car tout retrait s’ajoute à vos droits de cotisation inutilisés de l’année suivante. Vous pouvez investir dans votre CELI n’importe quand, jusqu’à concurrence de vos droits de cotisation inutilisés.

En voici un exemple :

• Vous faites un retrait de 15 000 $ en franchise d’impôt pour rénover votre maison.

• Vous pourrez plus tard verser de nouveau ce montant de 15 000 $ dans votre CELI sans toucher à vos autres droits de cotisation.

• Si vous aviez utilisé vos économies REER pour vos rénovations, vous auriez dû en retirer jusqu’à 27 800 $ pour payer les impôts et couvrir les coûts des travaux (en supposant un taux marginal d’imposition de 46 %) – et vous auriez perdu vos droits de cotisation REER.

Discutez avec votre conseiller professionnel des moyens de tirer profit du CELI et d’autres stratégies d’épargne systématique.

Cette chronique, rédigée et publiée par Services Financiers Groupe Investors Inc. (au Québec, cabinet de services financiers), contient des renseignements de nature générale seulement; son but n’est pas d’inciter le lecteur à acheter ou à vendre des produits de placement. Adressez-vous à un conseiller financier pour obtenir des conseils adaptés à votre situation personnelle. Pour de plus amples renseignements sur ce sujet, veuillez communiquer avec votre conseiller du Groupe Investors.

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