Les deux premières photos datent du mois de juin 1950. C'était Mme Germaine Beaulieu qui avait ouvert ce magasin appelé «Le Royaume des Biscuits, Bonbons et Chocolats». Il était situé sur la 1re avenue dans le secteur de la 120e rue, voisin du bijoutier G.E Rancourt, presque en face de l'ancienne Papeterie Saint-Georges (donc presque en face du resto Grill-Wok). Les photos semblent avoir été prises le jour de l'ouverture, à juger par l'affluence devant l'édifice. Vous vous souvenez de ce commerce? Vous vous reconnaissez sur la photo parmi les enfants? Si oui, vous devez être âgé d'environ 75 ans, tenant compte de l'année où la photo a été prise!!! Beau nom et belle façade, dommage que ça n'existe plus.
Les marchands rivalisaient d'imagination autant à cette époque que de nos jours. Un autre commerce situé du même côté de la 1re avenue, mais plus au sud (soit le voisin de la sortie de l'ancien pont), le Marché Central de M. Lacasse, célébrait en 1952 le festival du fromage. On ne pouvait manquer de le constater quand on passait devant le commerce. Ils savaient comment attirer notre attention... et aiguiser notre gourmandise. Quelles belles photos nous rappelant deux sites disparus de cette populaire première avenue d'il y a près de 70 ans. Bien sûr, d'autres les ont remplacés, mais on devient quand même nostalgique en voyant les photos de magasins qui ont été fréquentés par les générations qui nous ont précédés.
Photos fonds Claude Loubier. Texte et recherches de Pierre Morin.
Fondée en 1992, la Société Historique Sartigan est un organisme à but non-lucratif, financé par les dons, dont la mission est la protection, l'interprétation, la valorisation
et la diffusion du patrimoine de Saint-Georges et de ses environs.
Dans ma chronique de la semaine dernière intitulée «Il pleut des milliards de dollars», je critiquais nos dirigeants politiques qui présentent des budgets largement déficitaires contribuant ainsi à une croissance inquiétante des dettes publiques.
Poursuivant ma réflexion, je constate que nos dirigeants politiques ne sont pas les seuls ...
Imaginez une femme.
Elle pourrait être votre voisine, votre collègue, un membre de votre famille ou même votre amie. Elle sourit, elle travaille, elle vit sa vie en apparence, normale, mais derrière ce masque, il y a une réalité où les stratagèmes blessants sont monnaie courante.
Il faut donc oublier l’image de la femme brisée, cachant ses ...
LA SOCIÉTÉ HISTORIQUE SARTIGAN
Les plus de 50 ans se souviennent de la pente abrupte que devaient affronter les conducteurs qui voulaient utiliser le pont de fer à cette époque. Sur la première photo, que j'ai choisie pour donner une idée de la situation, on aperçoit un camion de livraison Molson qui ...
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