Hé oui, il y a déjà eu un restaurant Mikes à Saint-Georges il n'y a pas si longtemps. La photo date de 1993. Il était voisin du magasin de la mercerie Andréa Thibaudeau, en face de l'ancien Bureau de Poste, ce qui signifie qu'il serait aujourd'hui en face du Salon de billard Dooly's. Vous rappelez-vous en quelle année il a fermé?
Mikes est une chaîne canadienne de restaurants basée principalement au Québec et spécialisée dans les pâtes, les pizzas, les sous-marins et les déjeuners. Le premier a été fondé à Montréal en 1967 par les frères Marano. En 2017, la chaine comptait 69 établissements, dont 68 dans la seule province de Québec et 1 en Ontario. Depuis 2018, les Restaurants Mikes font partie du groupe alimentaire montréalais d’alimentation MTY, qui gère entre autres les bannières Pizza Delight, Scores, Bâton Rouge et Ben & Florentine.
Dommage qu'il ait quitté Saint-Georges, la bouffe était bonne et variée. Si vous vous en ennuyez trop, sachez qu'il y en a un, très populaire, sur le Boulevard Vachon à Sainte-Marie.
Photo du fonds Richard Poulin. Texte et recherches de Pierre Morin.
Fondée en 1992, la Société Historique Sartigan est un organisme à but non-lucratif, financé par les dons, dont la mission est la protection, l'interprétation, la valorisation et la diffusion du patrimoine de Saint-Georges et de ses environs.
La question de la confiance à l’égard de la justice revient fréquemment dans l’actualité. Idéalement, on veut nous convaincre que tout le monde est égal face à la loi. J’ai bel et bien écrit «idéalement», tout en sachant que le monde idéal n’existe pas.
Au cours des derniers mois, des sentences rendues par certains Juges dans des causes diverses ...
LA SOCIÉTÉ HISTORIQUE SARTIGAN
Ce «moulin à scie» comme on l'appelait autrefois, appartenait aux frères Fernand et Léopold Rancourt. Avant toute construction à cet endroit, à la jonction de l'avenue Chaudière et de la première avenue, ce terrain appartenait à M. Napoléon «Pit» Bérubé qui y cultivait ...
S’il y a une chose dont le Parti Libéral du Québec (PLQ) et son nouveau chef, Pablo Rodriguez, n‘avaient pas besoin de ce temps-ci, c’est bien d’une crise à l’interne. Et, comme si une crise ne suffisait pas, le PLQ se retrouve aux prises avec trois crises.
Les libéraux feraient mieux d’attacher solidement leurs tuques, car la turbulence promet ...