Cette photo du mois de mai 1994 va faire remonter bien des souvenirs aux amateurs de bouffe exotique de notre ville. C'était le restaurant LOTUS sur la première avenue, en face de l'aréna. C'était un édifice bien aménagé, comprenant une terrasse extérieure avec vue sur la rivière Chaudière. On y servait de la nourriture cambodgienne, vietnamienne et thaïlandaise, de même que des sushis. Quelques mets au menu: assiettes pétillantes, rouleaux impériaux, général Tao, poulet pékinois, boeuf kroeung, beignets aux ananas etc... Et les délicieux déjeuners de fin de semaine étaient très populaires. Karine Veilleux y a fait son apprentissage et en fut longtemps la gérante avant d'ouvrir son propre restaurant Chez Karine dans l'Ouest. Wow, quel superbe souvenir, dommage qu'il n'existe plus. Et vous, quel était votre mets préféré?
Photo du fonds Richard Poulin. Texte et recherches de Pierre Morin.
Fondée en 1992, la Société Historique Sartigan est un organisme à but non-lucratif, financé par les dons, dont la mission est la protection, l'interprétation, la valorisation et la diffusion du patrimoine de Saint-Georges et de ses environs.
La question de la confiance à l’égard de la justice revient fréquemment dans l’actualité. Idéalement, on veut nous convaincre que tout le monde est égal face à la loi. J’ai bel et bien écrit «idéalement», tout en sachant que le monde idéal n’existe pas.
Au cours des derniers mois, des sentences rendues par certains Juges dans des causes diverses ...
LA SOCIÉTÉ HISTORIQUE SARTIGAN
Ce «moulin à scie» comme on l'appelait autrefois, appartenait aux frères Fernand et Léopold Rancourt. Avant toute construction à cet endroit, à la jonction de l'avenue Chaudière et de la première avenue, ce terrain appartenait à M. Napoléon «Pit» Bérubé qui y cultivait ...
S’il y a une chose dont le Parti Libéral du Québec (PLQ) et son nouveau chef, Pablo Rodriguez, n‘avaient pas besoin de ce temps-ci, c’est bien d’une crise à l’interne. Et, comme si une crise ne suffisait pas, le PLQ se retrouve aux prises avec trois crises.
Les libéraux feraient mieux d’attacher solidement leurs tuques, car la turbulence promet ...