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Deux Congolais racontent l’expérience d’un pays dévasté par la guerre

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5 avril 2011
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Mgr Nicolas Djomo, président de la Conférence des évêques de la République démocratique du Congo, et sœur Marie Bernard Alima, secrétaire générale de la Commission épiscopale Justice et Paix étaient de passage à Saint-Georges ce week-end dans le cadre d’une invitation de l’organisme Développement et Paix,

Dans le cadre des célébrations dominicales des paroisses L'Assomption et Saint-Georges, les invités ont pu décrire la situation de leur pays et les actions réalisées par leur organisation pour reconstruire la paix grâce au fonds versé par Développement et Paix. Cet organisme de solidarité internationale soutient financièrement des projets dans les pays pauvres et en voie de développement par des campagnes d'éducation, la population d'ici aux réalités des populations du Sud.

À l'invitation de Développement et Paix, l’évêque et la religieuse séjourneront au pays jusqu’au 11 avril afin de prononcer plusieurs conférences et de rencontrer des candidats des différents partis politiques canadiens afin de les interpeller sur leur vision des politiques canadiennes d’aide au développement.

Un pays frappé durement par les affrontements
La République démocratique du Congo a été impliquée dans une guerre sanglante de 1998 à 2003. Malheureusement, les luttes armées pour le contrôle des richesses minières du pays ont toujours lieu sur la RDC. Près de 5 millions de morts, plus tard, ces guerres continuent de miner le développement du pays.

La conférencière, Marie Bernard Alima est reconnue mondialement pour son travail en faveur des femmes au sein de la Commission Justice et Paix. Cet organisme apporte son aide par l’entremise d’activités de maintien de la paix, d’éducation civique et de réinsertion des victimes et des soldats dans les communautés.

 « D’innombrables atrocités ont été commises lors des guerres successives que le Congo a vécues. Les pires ont été et demeurent l’utilisation de la violence sexuelle. Les femmes ont été massivement violées. Tous les groupes armés du Congo ont utilisé le viol comme arme de guerre », a déploré la religieuse.

 « Il faut que justice soit faite, que la vérité soit rétablie et que les coupables de ces crimes soient identifiés et punis », demande Marie Bernard Alima.

 

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