L'afeas et autres 'bibites'.. Une seule observation sur ce genre de service sexiste offert aux citoyens. Ce sont des parasites! Subventionnés à la hauteur de 666,625,581.18 $ en 2007 De quoi nourrir quelques centaines de milliers d'enfants martyrs dans les garderies étatiques. Ou bedon, réparer une centaine de ponts et boucher quelques millions de nids de poules en émergence sur nos routes de la 'belle province'. Ou bedon, aider des milliers de familles à faire un beau voyage au bord de la mère. Pire! La majorité de ces parasites sont des organismes de bienfaisance, cela ne paie pas d'impôt et bénéficie

M. Jean-Pierre vise en plein dans le mille. Mentir pour faire pleuvoir les sous dans la cagnotte et infantiliser les femmes en les traitant de personnes inaptes à s'occuper de leurs propres affaires, voilà le résultat de 30 ans de féminisme extrémiste. Il faut sortir de cette pensée magique et avoir le courage de regarder la réalité à travers autre chose que des lunettes roses. La violence n'a pas de sexe. Et le mensonge féministe est fort lucratif.

Madame Carrier appartient au réseau féministe qui a colporté pendant des années le mensonge des 300 000 femmes battues annuellement au Québec... Elle a fait partie aussi du réseau des CALACS qui prétend que les hommes du Québec agresseraient le tiers des Québécoises, rien de moins! Une série de mensonges basés sur des chiffres frauduleux, tout ça avec la bénédiction des Agences de santé qui ne vérifient ni les chiffres, ni le nombre de véritables victimes. Des milliards en subventions au fil des ans pour des victimes inventées de toutes pièces. Une enquête publique révélerait sûrement que nos féministes professionnelles du genre de madame Carrier ont participé à un scandale financier pire que celui des commandites! Jean-Claude

Madame Carrier perpétue la mouvance féministe des années '80 voulant que toutes femmes soient automatiquement des victimes, incapables même de réaliser qu'elles le sont. Malheureusement cette vision des choses est éculée et littéralement d'une autre époque. C'est nier non seulement l'intelligence des femmes de tous âges mais s'acharner sur des vieux clichés usés afin d'en retirer un avantage monétaire, soit le financement inutile d'organisations inutiles par des programmes gouvernementaux aussi inutiles qu'inutilement coûteux. Le Vérificateur Général du Québec a d'ailleurs sonné l'alarme concernant directement et très spécifiquement ce type de programmes de soi -disant 'aide aux femmes' qui représente plus de $500,000.00 par année versés aux organismes pratiquement 'fictifs' qui ne donnent en retour aucuns reçus ni preuves de services rendus à la population en vertu de règles comptables établies. En fait, on comparerait ceci à un 'bar open' où les féministes se servent à coeur ouvert sans justifier ni l'utilité de leurs salaires ni les dépenses qu'elles font avec leurs comptes de dépenses. Troublant. En attendant, veuillez passer à la caisse Mesdames et Messieurs payeurs de taxes et d'impôts et surtout, n'osez pas protester car vous seriez accusé immédiatement de méchant homme masculiniste alors que vous ne seriez en réalité qu'un contribuable qui saît compter.

Il y a un blocage dans certains milieux proches du pouvoir pour nier le fait qu'au Québec les seuls laissés pour compte sont les hommes. Il s'agit d'une notion certes contraire aux idées reçues. Elles sont les seules admises auprès des classes politique et médiatique. Plus forte est l'illusion que les femmes sont les seules dignes d'attention et plus forte doit être la répression pour l'imposer.

La violence faite aux hommes Par : Jean-Marc Bessette N.D.L.R. Nous publions ci-dessous une lettre ouverte adressée à l’Aféas ( Association féminine d’éducation populaire et d’action social ) à la suite de la dénonciation par cette dernière de la violence faite aux femmes, dans le journal : Le Rimouskois. (J’ajoute que cette lettre n’a jamais eue de réponse de leur part, même si elle fût aussi adressée à ses membres de Rimouski à la maison !) Dois-je comprendre que votre position, selon laquelle vous êtes contre toutes les violences faites aux femmes, aux personnes âgées et aux jeunes, laisse de côté la violence dont les hommes et certains pères sont victimes ? Celle-là est-elle plus acceptable ? En tout cas beaucoup moins critiquée ! Car d’après moi, toutes les violences, sous quelques formes que se soit, sont inacceptables. Pour avoir eu, moi-même, un pénible et très déchirant conflit en Cour Supérieure (C.S,) pour la garde partagée de mon fils adoré. Sa mère quant à elle, cherchait à m’éliminer et de durant des années, je vous confirme qu’en tant qu’homme j’ai été très violenté ! Et c’est très souffrant dans mon for intérieur. Pour commencer, j’ai été, entre autres, accusé d’être un danger pour l’intégrité physique et mentale de mon enfant, à tort. Mon ex-conjointe a même déclaré en C.S. que j’étais trop pauvre pour recevoir mon enfant. Quoi ? Les lois ne me permettent-elles pas, à moi aussi, d’avoir de l’aide sociale, ma part des allocations familiales ainsi qu’une pension alimentaire pour notre enfant ? Est-ce du sexisme ? Une seule et unique femme séparée s’est-elle déjà fait accuser de la sorte en C.S. ? Tout ce marasme, ce « bourbier », ces accusations mensongères…durant si longtemps. Très inutilement. Évidemment qu’elle m’ont blessé dans ma personne, brisant mon cœur, me laissant presqu’entièrement démoli. J’étais diminué dans mon intégrité parentale, dénié dans ma paternité, dénigré dans mon être tout entier, Minimisant pas le fait même mon Amour paternel. Et ce faisant, mon cœur a été très décimé, peinant ma personne jusque dans mes moindres pensées, m’atteignant dans l’âme jusqu’au tréfonds des plus intimes. Pourquoi faire fi de la sorte, de l’essence même de cette belle « paternitude » ? J’ai été décrié, insulté, angoissé. À maintes reprises, seul, j’ai pleuré, pour moi, pour mon fils, en grave danger de perdre ca que nous avons de si beau, de plus précieux ; le « lien » ; la relation qui nous unit depuis bien avant sa naissance…Oui, parfois si déchiré, le visage détrempé, je n’ai trouvé le sommeil que très difficilement… Et j’en ai encore les yeux rouges, mouillés. Mais j’ai aussi un jugement, car jamais je n’ai cessé de focaliser sur l’essentiel…Et il précise très bien que « Toutes les craintes de Mme ne reposent sur aucun fait en particulier » ! Ce procès en lui même était toute une insulte, qui n’aurait même jamais dû avoir lieu. Quel beau respect de la fragilité d’un enfant en si bas âge, de sa dignité…victime incontournable de ce qui devait justement protéger son mieux-être. Car aujourd’hui, en effet, j’en ai une garde conjointe officielle et reconnue…Et l’enfant, notre enfant, s’en porte très bien merci. À l’égard des enfants, seulement leurs meilleurs intérêts devraient dicter notre ligne de conduite à nous les parents, les adultes. Au nom de qui, de quoi, les intervenants de première ligne poussent-ils donc tant ces mères à agir ainsi ? Puisque mon « ex » s’est fait dire par l’un de vous, d’après sa déclaration en C.S. sous serment en bonne et due forme : « Juste a demander la garde exclusive…les juges la donnent toujours aux femmes… » Et c’est archi-faux ! Comme si le statue de parent n’était qu’un adage strictement réservé à la gent féminine…Définitivement votre rôle, le plus grand dans de telles et si déplorables circonstances devrait être de défendre le meilleur intérêt de l’enfant. Non aux stéréotypes sexistes, non à la vengeance, non à la violence, car celle-ci atteint le cœur innocent de nos enfants, telle une empreinte…De grâce, SVP, aider ces parents à focaliser sur le mieux-être des enfants, c’est à dire à défendre leurs droits les plus élémentaires et plus particulièrement celui d’avoir ses deux parents. Et c’est en leur nom que je vous écris à vous les intervenants et intervenantes de premières lignes. Ce faisant, c’est aussi de la prévention qui vous sauvera, peut-être d’autres interventions dans 5, 10 ou 15 ans…j’espère. Quant à vous, L’Aféas, ne prétendiez vous pas, dans votre texte, être contre toutes les violences faites aux jeunes ? Or, il serait illusoire de croire que ce conflit si long, si pénible, n’a pas atteint mon enfant de façon directe ou indirecte durant ces années…Je crois qu’il est impossible aujourd’hui, dans notre société de vouloir défendre les enfants contre la violence et de passer outre à cette même violence qui cible les hommes, mais qui pourtant atteint indifféremment ces même jeunes, par ricochet, infailliblement. Et tous, nous avons de très grandes responsabilités à cet égard…Ne sont-ils pas notre avenir ? Et finalement ; je vous demanderai, tout concerné, qui que vous soyez par respect, n’encouragez jamais à tort, une personne à commettre, ce que j’espère sera reconnu un jour, comme étant un crime contre l’humanité ; car il s’agit bien d’un génocide émotif, de priver ainsi un jeune de son autre parent… Et puisqu’il y a une chance, très petite, j’en conviens, mais tout aussi réel, que ce jeune, disons un garçon qui a perdu à tort, son autre parent, soit un jour aux études avec l’unes de vos propres filles… NON…Assurément… Je ne veux prendre aucun risque, car garçon ou fille, ils auront tous un jour à apprendre à composer avec « l’autre sexe » * Assurément… *Car l’expression « sexe opposé » est toujours erronée, ici, comme toujours, puisqu’il s’agit en fait du sexe complémentaire… Jean-Marc Bessette N.B. : Le Clsc de l’Estuaire a aussi eue une copie de cette lettre qu’ils ont laissée sans réponse également.

M. Jean-Pierre vise en plein dans le mille. Mentir pour faire pleuvoir les sous dans la cagnotte et infantiliser les femmes en les traitant de personnes inaptes à s'occuper de leurs propres affaires, voilà le résultat de 30 ans de féminisme extrémiste. Il faut sortir de cette pensée magique et avoir le courage de regarder la réalité à travers autre chose que des lunettes roses. La violence n'a pas de sexe. Et le mensonge féministe est fort lucratif.

Ne pouvant croire qu'au lieu de critiquer le mouvement féministe, vous ne vous investissiez dans votre regroupement dont j'ignore le nom, dans créer vous aussi une sensibilisation 'positive' à la réalité de votre condition . On peut se battre pour sa cause, ce qui est légitime, mais si on le fait en se battant contre les autres,ca donne une bien mauvaise impression.

Si l'envoi massif de commentaires, pour paqueter les lignes, comme on disait dans mon jeune temps lorsque j'étais impliqué en politique, est la meilleure stratégie pour améliorer votre sort. Si de chialer contre des gestes pour protéger une partie de la population et de tout mettre dans le même panier, en taxant de tous les péchés les mouvements de protection des femmes battues ou les victimes d'agressions sexuelles. Si vous pensez que vous allez régler quelque chose ainsi, au lieu d'essayer de vous regrouper afin de vous entraider… Vous vous trompez, C’est plus de facile de se braquer contre les autres dans vos généralisations stériles, ce n’est pas une preuve de courage et ce n’est pas agir pour vous non plus.. Bien j'espère que vous n'êtes pas représentatifs de vos regroupements, sinon vous êtes pas sortis du bois. Vous êtes des nuisances à l'avancement de la cause des hommes, des femmes, des enfants et de l'humanité en général - c'est à cause des intolérants et machos au trop plein de testostérone comme vous, prêt à marquer un territoire qui n'appartient pas qu'à vous que bien des problèmes persistent. J'ai un frère qui a été victime d'agression sexuelle dans son adolescence, il a aussi violenté sa conjointe une fois ces dernières années: force est de constater qu'il n'a jamais eu le support dont il avait besoin - et ce n'est pas à cause de l'Afeas, ou des Calacs ou des organismes communautaires. Mais là actuellement il essaie de s’en sortir sans accuser la terre entière de ses problèmes, c’est ça du courage. Sortez donc de votre paranoïa et vous commencerez peut-être à vous sentir mieux, et des organismes d'aide au masculins pourraient peut-être s'activer. Vous reprochez aux Afeas et autres de faire de la victimisation et de la martyrisation, mais c’est vous en vous plaignant et attaquant de la sorte, en tirant sur des ennemies imaginaires qui faites de la martyrisation, Jean de Brébeuf ça fait au moins 300 ans qu’il est mort à cause des méchants Indiens, arrêtez donc de vous cacher la face en attaquant les autres. Vous ne l'admettrez jamais pas mais vous avez beaucoup à apprendre des femmes là dessus.

Je trouve très intéressante et opportune l'initiative de l'AFEAS décrite dans l'article de M. Fecteau - quel plaisir en passant de voir un homme couvrir un dossier qui aurait été laissé aux femmes il y a une décennie. Les aîné-es et les jeunes filles sont en effet des objectifs prioritaires pour qui veut traquer l'abus de pouvoir auprès des clientèles les plus vulnérables parce qu'isolées et encore trop souvent sous-informées et retenues par la culpabilité d'exprimer ce qu'elles ressentent face à la violence d'un-e aidant-e, d'un fils, un père, un ami ou un 'chum'. Les intervenantes en violence interpersonnelle nous disent depuis longtemps que ce n'est qu'une mobilisation de l'ensemble de la collectivité qui peut mettre fin une fois pour toutes au privilège des agresseurs. L'AFEAS avec sa longue tradition de rapports de confiance, tissés au sein de la collectivité, est sans doute le réseau qui est le plus en mesure de propager de tels messages pour aider aîné-es et jeunes de tenir tête aux discours culpabilisants et misogynes dont les commentaires précédents donnent un triste aperçu. Une opposition concertée En effet, le mouvement qui lutte depuis déjà trente ans pour mettre fin à la violence sexiste a permis de révéler que les agresseurs ne sont pas isolés, eux. Ils disposent d'organisations où quelques forcenés - toujours les mêmes - organisent des coups d'éclat, se mêlent de donner des conseils judiciaires mal avisés, poussent de malheureux incompétents aux recours les plus injustifiés et 'agonisent' les journaux de lettres d'insultes dès qu'on ose aborder ces questions de violence et dénoncer la tolérance sociale dont jouissent trop souvent les agresseurs. J'espère qu'En Beauce saura reconnaître la griffe de ce lobby des hommes violents et ne pas se laisser intimider dans vos efforts pour briser la loi du silence. Il importe de soutenir les victimes dans leur quête du respect et des organismes comme l'AFEAS dans leur travail essentiel à l'avenir d'un Québec sans violence. ***850 femmes et enfants tué-es par des hommes (ou par des inconnus) au Québec du 6 décembre 1989 à décembre 2007 - http://sisyphe.org/article.php3?id_article=2682

Je viens de me payer la traite d'une lecture de commentaires des plus sexistes que je n'ai pu constater. Pauvre petits choux, petits trésors laissés pour contre. Vous êtes rempli d'amertume, d'agressivité, et de rancoeur. Vous avez vécue des situations difficiles mais cela n'empêche pas que plusieurs femmes par semaine sont tuées, pas par des femmes mais bien par des hommes. Plusieurs sont victimes quotidiennement de violence sexuelle, psychologique et verbale.Vous ne comprenez pas la situation parce que vous êtes aveuglé de douleur. Reconnaissez l'existence de la violence faite aux femmes et vous pourrez peut-être reconnaître aussi, que vous avez un problème de compréhension, ce qui vous fait dire n'importe quoi ou presque. Vous ne lisez pas les mêmes journaux que la pluopart de la population et ne regardez pas les nouvelles dans le même pays, pour affirmez que la violence faite aux femmes n'est que mensonge. Au lieu de cracher du vénin comme de vilain petits boas, prenez-vous en main. La mentalité des québécois chiâler et ne pas agir convenablement, constructivement, positivement. Je vous souhaite la paix intérieure et le courage de vous regarder le nombril. Une Membre de l'Afeas

@ Mme Blais, et Martin Dufresne, Mentir pour la cause, voilà la seule manière connue d'opérer pour les adeptes de l'idéologie d'État, le féminisme extrémiste. Elles constituent un lobby financé par l'État pour promouvoir l'intérêt des membres de la caste des femmes, excluant la moitié de la population d'office. Une réalité s'impose : la violence n'a pas de sexe. LCN Montréal Une dispute conjugale tourne au drame Mise à jour : 09/03/2008 15h54 En ligne: http://lcn.canoe.ca//infos/faitsdivers/archives/2008/03/20080309-155415.html Une dispute conjugale a tourné au drame samedi soir, à Montréal. Un homme de 29 ans est décédé dimanche matin des suites de blessures à l’arme blanche subies samedi soir, dans un appartement de l’arrondissement d’Anjou. Sa conjointe a été hospitalisée après avoir subi des blessures sérieuses au thorax et aux jambes. Il pourrait s'agir d'un meurtre suivi d'une tentative de suicide. Une fillette de six ans a été témoin de la scène. Elle sera interrogée par les enquêteurs qui tentent d’éclaircir l’affaire. Meurtre d’un homme à Longueuil Sa colocataire est soupçonnée Mise à jour : 08/03/2008 06h43 En ligne: http://lcn.canoe.ca//infos/faitsdivers/archives/2008/03/20080308-064307.html Un homme d'une quarantaine d'années a été assassiné, hier soir, à Longueuil. Alertés par un voisin de la victime, les policiers ont découvert le corps de l'homme dans son appartement de la rue Saint-Georges, dans le Vieux-Longueuil. La victime a été transportée au centre hospitalier Charles-Lemoyne où son décès a été constaté. La colocataire de la victime, une femme de 35 ans, a été arrêtée comme principale suspecte. L'homme aurait été tué à l'arme blanche. Le meurtre aurait été précédé d'une violente dispute Meurtre à Saint-Hyacinthe La conjointe de la victime arrêtée 6 mars 2008 (D’après La Presse Canadienne) - Un homme de 46 ans a été assassiné, hier soir, à Saint-Hyacinthe, en Montérégie. Agressée à l'arme blanche, la victime, Sylvain Dion, a été trouvée ensanglantée dans une résidence de la rue Girouard Ouest, vers 20h. Transporté à l'hôpital, il est décédé une heure plus tard. Les policiers de la Sûreté du Québec ont procédé à l'arrestation de la conjointe de la victime, une femme de 32 ans. Elle doit comparaître aujourd’hui au palais de justice de Saint-Hyacinthe. Il s'agirait manifestement d'une affaire de violence conjugale.

Marin Dufresne est un imposteur à la solde du grand mensonge féministe qu'il s'évertue à diffuser inlassablement sur la place publique. Jugez par vous-même. En voici quelques exemples tirés du texte de l’allocution présentée par Martin Dufresne dans le cadre de la Conférence québécoise sur la violence conjugale, présentée du 26 au 28 mai 2004 à l’Université de Montréal, organisée par le Regroupement provincial des maison d'hébergement et de transition pour femmes et enfants victimes de violence conjugale http://www.maisons-femmes.qc.ca/ Les extraits qui suivent son publiés à: http://www.antipatriarcat.org/cmcs/titre.php?id=1000 'Et cela a réussi à créer un mouvement, un mouvement international très lourd, très efficace, d’hommes qui n’ont rien d’autre à faire que de dépenser tout leur argent en frais d’avocats pour harceler leur ex (...)' 'Avec l’appui de la vieille garde freudienne, ces homme ralliaient déjà il y a vingt ans les conjoints violents, les divorcés-séparés en rogne, les hommes qualifiés d’' en détresse '(...) ' 'Comme beaucoup d’autres hommes, logés ici et là dans le réseau, ces masculinistes de la première heure, les GillesRondeau, Jacques Broué (...)' 'Perte de crédibilité qui vient, entre autres, du travail des masculinistes. En effet, ceux-ci font avancer certains droits pour le moins discutables : le droit à l’inceste, le droit à la garde ou à l’accès des enfants quoi qu’aient fait les pères auparavant, le droit à ne pas payer de pensions alimentaires, le droit de violenter sa conjointe et de se voir offrir les services du CLSC plutôt qu’une peine de prison ou une perte de privilèges parentaux…' ' (...) on a vu des années récentes où tous les budgets provinciaux de prévention du suicide allaient aux hommes.' ' En ce sens, il y a un travail qui s’impose pour reconnaître chez le batteur de femmes le modèle même du masculiniste.Ce n’est sans doute pas un hasard si on trouve autant de conjoints violents dans les rangs des organisations masculinistes.' ' vous allez, par exemple sur le site de L’Aprèsrupture et vous voyez une photo de Paul Martin souriant en compagnie du président de l’Après-Rupture. Clic, clic, vous allez sur une autre page de leur site et vous trouvez une glorification de Marc Lépine' '(...) à finalement tenir tête à leurs diffamations, insultes et manœuvres de sabotage.'

Hermil tu ne comprends rien de rien Je suis la logique de cette personne, il faudrait éliminer l'aide aux femmes violentées, l'aide aux victimes femmes d'agression sexuelles, mais aussi aux hommes violentés par leurs femmes, et aussi aux hommes qui ont été victimes d'agressions sexuelles. Il faudra aussi suivant lalogique implacable de Hermil, éliminer l'aide faite aux enfants victimes d'abus de toutes sortes, et de violence. Parce qu'il donne 3 -4 exemples de meutres d'hommes par des femmes ça veut dire que les aides aux femmes n'ont pas de raison d'être, que les femmes sont privilégiées. Alors je dis que parce que je peux lui donner un ou deux exemples d'enfants qui ont tué leurs parents... alors suivant sa logique il faut donc aussi arrêter l'aide aux enfants qui sont on le sait tous des tortionnaires sanguinaires en puissance. C'est ça la logique de Hermil... C'est du négationnisme primaire et unidirectionnel. Il ne comprend rien d'autre que de d'affronter des groupes avec d'autres. J'ai envie de dire que sa frustration l'aveugle au point d'oublier que d'autres humains peuvent avoir des besoins différents des siens, sans vouloir minimiser les siens. Oui les groupes d'entraide masculine ont des raisons d'être. Ce n'est pas à l'encontre des groupes d'entraide féminine, ni aux supports à des victimes enfants, femmes ou hommes; et vice-versa. Hermil donne 3 -4 exemples qui, je n'en doute pas, sont bien réels, si je donne les exemples de femmes et d'enfants qui subissent des abus de toutes sortes, ma lettre pourrait être très longue. Allume Hermil, arrête de te regarder ton nombril, tu ne fais pas partie du seul groupe qui a des problèmes, et fais preuve d'un peu moins d'égocentrisme.

Quelqu'un m'a référé à votre site. J'ai parcouru les commentaires. Il y a une question que je me pose face à la perception de certaines personnes: quand un individu perd sa maison, son auto, ses REER, son emploi, son compte en banque, ses enfants (quand le parent gardien 'monte' les enfants contre l'autre parent), et qu'en plus on lui demande de garder son calme... je m'interroge fortement sur la perversité de l'intention de l'interlocuteur. ( pourtant, on clame la liberté d'expression à gauche et à droite.) Pour se faire aider dans la société actuelle, un homme doit être soit alcoolique, drogué, violent ou gai. Il doit garder la tête basse, garder le silence pour ne pas indigner l'opinion publique. Il y a l'adage qui dit: 'diviser pour mieux régner', faut-il compartimenter la violence et utiliser le segment qui nous intéresse ou bien la dénoncer 'totalement' ? De plus, la violence verbale, physique et psychologique est aussi utilisée par de plus en plus de femmes, qu'on se le dise. Mais ces dernières se servent du voile d'immunité de mères pour couvrir leurs gestes. Et de l'autre côté, les hommes ne parlent pas de leurs problèmes, il y a un rapport qui le mentionne. Combien de fois ai-je entendu qu'une femme qui parle fort, c'est une femme de caractère, une femme qui s'exprime ! Par contre un homme qui parle fort, c'est un homme violent ! En terminant, je vais évoquer le personnage de 'Césaire', dans Symphorien. J'aimerais bien qu'on fasse une étude des Césaire au Québec, pour savoir combien il y en a qui font face quotidiennement à une femme tyrannique !

En lisant les commentaires, je trouve particulièrement spécial qu'on retoruve face à cet article, un combat de mâles. Où sont les femmes en mesurent de réagir. Est-ce dire que lorsqu'on nous attaques, car c'est bien ce dont il s'agit du style déshabiller jean pour habiller Louis. Je suis femme, féministe et je crois à l'égalité entre les hommes et les femmes, je dis bien égalité et non rapport de force. Ce que vous oublié Messieurs hermit et cie, c'est que les femmes luttes pour leurs droits depuis le début du sciècle, et qu'elles n'ont eu le droit de vote qu'en 1940. S'en est alors suivi une lutte pour avoir des droits égaux. Vous viendrez me dire que la loi sur l'égalité salariale est injuste. Que la reconnaissances des femmes collaboratrices dans l'entreprise du mari est une mauvaise chose. Voyons donc, faites comme nous. Construisez sur des assises de reconnaissance de la condition masculine, batisser pour vous et vos semblables des organismes qui vous correspondent et si vous cessiez de crier à l'injustice vous seriez peut-être mieux entendu. En passant il existe déjà des groupes d'homme qui s'occupent de la condition masculine et qui travaillent fort pour la reconnaissance de leur organisme et ce sans dénigrer les groupes de femmes. En passant pour votre information l'Afeas n'est absolument pas subventionné de quelques manières que ce soit sauf pour un projet comme celui de l'article. Prenez en de la graine, ce sont 12,000 femmes à travers le Québec qui s'engagent bénévolement, paient une carte de membres et revendiquent de par leur force de frappe une égalité pas encore atteinte.

Ma mère m'a toujours élèvé en m'inculquant la valeur d'égalité homme/femme, mais avec du temps et de la maturité, je constate que les hommes sont discriminés dans plusieurs cas. Je me demande comment, dans une société comme la nôtre, les hommes doivent en venir à monter sur les ponts ou faire une grève de la faim afin d'être entendus par les médias. j'ai 3 amis victime de violence conjugale et ils ont aucune ressource . Bravo mesdame ! Belle solidarité sociale ! CONTINUER Mr bessette je vous apuis a 100%.

je recherche un organisme pour les femme ayent subit de la violance conjugale !!!! svp me répondre au plus vite !!!!

En lisant les commentaires, je trouve particulièrement spécial qu'on retoruve face à cet article, un combat de mâles. Où sont les femmes en mesurent de réagir. Est-ce dire que lorsqu'on nous attaques, car c'est bien ce dont il s'agit du style déshabiller jean pour habiller Louis. Je suis femme, féministe et je crois à l'égalité entre les hommes et les femmes, je dis bien égalité et non rapport de force. Ce que vous oublié Messieurs hermit et cie, c'est que les femmes luttes pour leurs droits depuis le début du sciècle, et qu'elles n'ont eu le droit de vote qu'en 1940. S'en est alors suivi une lutte pour avoir des droits égaux. Vous viendrez me dire que la loi sur l'égalité salariale est injuste. Que la reconnaissances des femmes collaboratrices dans l'entreprise du mari est une mauvaise chose. Voyons donc, faites comme nous. Construisez sur des assises de reconnaissance de la condition masculine, batisser pour vous et vos semblables des organismes qui vous correspondent et si vous cessiez de crier à l'injustice vous seriez peut-être mieux entendu. En passant il existe déjà des groupes d'homme qui s'occupent de la condition masculine et qui travaillent fort pour la reconnaissance de leur organisme et ce sans dénigrer les groupes de femmes. En passant pour votre information l'Afeas n'est absolument pas subventionné de quelques manières que ce soit sauf pour un projet comme celui de l'article. Prenez en de la graine, ce sont 12,000 femmes à travers le Québec qui s'engagent bénévolement, paient une carte de membres et revendiquent de par leur force de frappe une égalité pas encore atteinte.

Quelqu'un m'a référé à votre site. J'ai parcouru les commentaires. Il y a une question que je me pose face à la perception de certaines personnes: quand un individu perd sa maison, son auto, ses REER, son emploi, son compte en banque, ses enfants (quand le parent gardien 'monte' les enfants contre l'autre parent), et qu'en plus on lui demande de garder son calme... je m'interroge fortement sur la perversité de l'intention de l'interlocuteur. ( pourtant, on clame la liberté d'expression à gauche et à droite.) Pour se faire aider dans la société actuelle, un homme doit être soit alcoolique, drogué, violent ou gai. Il doit garder la tête basse, garder le silence pour ne pas indigner l'opinion publique. Il y a l'adage qui dit: 'diviser pour mieux régner', faut-il compartimenter la violence et utiliser le segment qui nous intéresse ou bien la dénoncer 'totalement' ? De plus, la violence verbale, physique et psychologique est aussi utilisée par de plus en plus de femmes, qu'on se le dise. Mais ces dernières se servent du voile d'immunité de mères pour couvrir leurs gestes. Et de l'autre côté, les hommes ne parlent pas de leurs problèmes, il y a un rapport qui le mentionne. Combien de fois ai-je entendu qu'une femme qui parle fort, c'est une femme de caractère, une femme qui s'exprime ! Par contre un homme qui parle fort, c'est un homme violent ! En terminant, je vais évoquer le personnage de 'Césaire', dans Symphorien. J'aimerais bien qu'on fasse une étude des Césaire au Québec, pour savoir combien il y en a qui font face quotidiennement à une femme tyrannique !

Hermil tu ne comprends rien de rien Je suis la logique de cette personne, il faudrait éliminer l'aide aux femmes violentées, l'aide aux victimes femmes d'agression sexuelles, mais aussi aux hommes violentés par leurs femmes, et aussi aux hommes qui ont été victimes d'agressions sexuelles. Il faudra aussi suivant lalogique implacable de Hermil, éliminer l'aide faite aux enfants victimes d'abus de toutes sortes, et de violence. Parce qu'il donne 3 -4 exemples de meutres d'hommes par des femmes ça veut dire que les aides aux femmes n'ont pas de raison d'être, que les femmes sont privilégiées. Alors je dis que parce que je peux lui donner un ou deux exemples d'enfants qui ont tué leurs parents... alors suivant sa logique il faut donc aussi arrêter l'aide aux enfants qui sont on le sait tous des tortionnaires sanguinaires en puissance. C'est ça la logique de Hermil... C'est du négationnisme primaire et unidirectionnel. Il ne comprend rien d'autre que de d'affronter des groupes avec d'autres. J'ai envie de dire que sa frustration l'aveugle au point d'oublier que d'autres humains peuvent avoir des besoins différents des siens, sans vouloir minimiser les siens. Oui les groupes d'entraide masculine ont des raisons d'être. Ce n'est pas à l'encontre des groupes d'entraide féminine, ni aux supports à des victimes enfants, femmes ou hommes; et vice-versa. Hermil donne 3 -4 exemples qui, je n'en doute pas, sont bien réels, si je donne les exemples de femmes et d'enfants qui subissent des abus de toutes sortes, ma lettre pourrait être très longue. Allume Hermil, arrête de te regarder ton nombril, tu ne fais pas partie du seul groupe qui a des problèmes, et fais preuve d'un peu moins d'égocentrisme.

Marin Dufresne est un imposteur à la solde du grand mensonge féministe qu'il s'évertue à diffuser inlassablement sur la place publique. Jugez par vous-même. En voici quelques exemples tirés du texte de l’allocution présentée par Martin Dufresne dans le cadre de la Conférence québécoise sur la violence conjugale, présentée du 26 au 28 mai 2004 à l’Université de Montréal, organisée par le Regroupement provincial des maison d'hébergement et de transition pour femmes et enfants victimes de violence conjugale http://www.maisons-femmes.qc.ca/ Les extraits qui suivent son publiés à: http://www.antipatriarcat.org/cmcs/titre.php?id=1000 'Et cela a réussi à créer un mouvement, un mouvement international très lourd, très efficace, d’hommes qui n’ont rien d’autre à faire que de dépenser tout leur argent en frais d’avocats pour harceler leur ex (...)' 'Avec l’appui de la vieille garde freudienne, ces homme ralliaient déjà il y a vingt ans les conjoints violents, les divorcés-séparés en rogne, les hommes qualifiés d’' en détresse '(...) ' 'Comme beaucoup d’autres hommes, logés ici et là dans le réseau, ces masculinistes de la première heure, les GillesRondeau, Jacques Broué (...)' 'Perte de crédibilité qui vient, entre autres, du travail des masculinistes. En effet, ceux-ci font avancer certains droits pour le moins discutables : le droit à l’inceste, le droit à la garde ou à l’accès des enfants quoi qu’aient fait les pères auparavant, le droit à ne pas payer de pensions alimentaires, le droit de violenter sa conjointe et de se voir offrir les services du CLSC plutôt qu’une peine de prison ou une perte de privilèges parentaux…' ' (...) on a vu des années récentes où tous les budgets provinciaux de prévention du suicide allaient aux hommes.' ' En ce sens, il y a un travail qui s’impose pour reconnaître chez le batteur de femmes le modèle même du masculiniste.Ce n’est sans doute pas un hasard si on trouve autant de conjoints violents dans les rangs des organisations masculinistes.' ' vous allez, par exemple sur le site de L’Aprèsrupture et vous voyez une photo de Paul Martin souriant en compagnie du président de l’Après-Rupture. Clic, clic, vous allez sur une autre page de leur site et vous trouvez une glorification de Marc Lépine' '(...) à finalement tenir tête à leurs diffamations, insultes et manœuvres de sabotage.'

@ Mme Blais, et Martin Dufresne, Mentir pour la cause, voilà la seule manière connue d'opérer pour les adeptes de l'idéologie d'État, le féminisme extrémiste. Elles constituent un lobby financé par l'État pour promouvoir l'intérêt des membres de la caste des femmes, excluant la moitié de la population d'office. Une réalité s'impose : la violence n'a pas de sexe. LCN Montréal Une dispute conjugale tourne au drame Mise à jour : 09/03/2008 15h54 En ligne: http://lcn.canoe.ca//infos/faitsdivers/archives/2008/03/20080309-155415.html Une dispute conjugale a tourné au drame samedi soir, à Montréal. Un homme de 29 ans est décédé dimanche matin des suites de blessures à l’arme blanche subies samedi soir, dans un appartement de l’arrondissement d’Anjou. Sa conjointe a été hospitalisée après avoir subi des blessures sérieuses au thorax et aux jambes. Il pourrait s'agir d'un meurtre suivi d'une tentative de suicide. Une fillette de six ans a été témoin de la scène. Elle sera interrogée par les enquêteurs qui tentent d’éclaircir l’affaire. Meurtre d’un homme à Longueuil Sa colocataire est soupçonnée Mise à jour : 08/03/2008 06h43 En ligne: http://lcn.canoe.ca//infos/faitsdivers/archives/2008/03/20080308-064307.html Un homme d'une quarantaine d'années a été assassiné, hier soir, à Longueuil. Alertés par un voisin de la victime, les policiers ont découvert le corps de l'homme dans son appartement de la rue Saint-Georges, dans le Vieux-Longueuil. La victime a été transportée au centre hospitalier Charles-Lemoyne où son décès a été constaté. La colocataire de la victime, une femme de 35 ans, a été arrêtée comme principale suspecte. L'homme aurait été tué à l'arme blanche. Le meurtre aurait été précédé d'une violente dispute Meurtre à Saint-Hyacinthe La conjointe de la victime arrêtée 6 mars 2008 (D’après La Presse Canadienne) - Un homme de 46 ans a été assassiné, hier soir, à Saint-Hyacinthe, en Montérégie. Agressée à l'arme blanche, la victime, Sylvain Dion, a été trouvée ensanglantée dans une résidence de la rue Girouard Ouest, vers 20h. Transporté à l'hôpital, il est décédé une heure plus tard. Les policiers de la Sûreté du Québec ont procédé à l'arrestation de la conjointe de la victime, une femme de 32 ans. Elle doit comparaître aujourd’hui au palais de justice de Saint-Hyacinthe. Il s'agirait manifestement d'une affaire de violence conjugale.

Je viens de me payer la traite d'une lecture de commentaires des plus sexistes que je n'ai pu constater. Pauvre petits choux, petits trésors laissés pour contre. Vous êtes rempli d'amertume, d'agressivité, et de rancoeur. Vous avez vécue des situations difficiles mais cela n'empêche pas que plusieurs femmes par semaine sont tuées, pas par des femmes mais bien par des hommes. Plusieurs sont victimes quotidiennement de violence sexuelle, psychologique et verbale.Vous ne comprenez pas la situation parce que vous êtes aveuglé de douleur. Reconnaissez l'existence de la violence faite aux femmes et vous pourrez peut-être reconnaître aussi, que vous avez un problème de compréhension, ce qui vous fait dire n'importe quoi ou presque. Vous ne lisez pas les mêmes journaux que la pluopart de la population et ne regardez pas les nouvelles dans le même pays, pour affirmez que la violence faite aux femmes n'est que mensonge. Au lieu de cracher du vénin comme de vilain petits boas, prenez-vous en main. La mentalité des québécois chiâler et ne pas agir convenablement, constructivement, positivement. Je vous souhaite la paix intérieure et le courage de vous regarder le nombril. Une Membre de l'Afeas

Je trouve très intéressante et opportune l'initiative de l'AFEAS décrite dans l'article de M. Fecteau - quel plaisir en passant de voir un homme couvrir un dossier qui aurait été laissé aux femmes il y a une décennie. Les aîné-es et les jeunes filles sont en effet des objectifs prioritaires pour qui veut traquer l'abus de pouvoir auprès des clientèles les plus vulnérables parce qu'isolées et encore trop souvent sous-informées et retenues par la culpabilité d'exprimer ce qu'elles ressentent face à la violence d'un-e aidant-e, d'un fils, un père, un ami ou un 'chum'. Les intervenantes en violence interpersonnelle nous disent depuis longtemps que ce n'est qu'une mobilisation de l'ensemble de la collectivité qui peut mettre fin une fois pour toutes au privilège des agresseurs. L'AFEAS avec sa longue tradition de rapports de confiance, tissés au sein de la collectivité, est sans doute le réseau qui est le plus en mesure de propager de tels messages pour aider aîné-es et jeunes de tenir tête aux discours culpabilisants et misogynes dont les commentaires précédents donnent un triste aperçu. Une opposition concertée En effet, le mouvement qui lutte depuis déjà trente ans pour mettre fin à la violence sexiste a permis de révéler que les agresseurs ne sont pas isolés, eux. Ils disposent d'organisations où quelques forcenés - toujours les mêmes - organisent des coups d'éclat, se mêlent de donner des conseils judiciaires mal avisés, poussent de malheureux incompétents aux recours les plus injustifiés et 'agonisent' les journaux de lettres d'insultes dès qu'on ose aborder ces questions de violence et dénoncer la tolérance sociale dont jouissent trop souvent les agresseurs. J'espère qu'En Beauce saura reconnaître la griffe de ce lobby des hommes violents et ne pas se laisser intimider dans vos efforts pour briser la loi du silence. Il importe de soutenir les victimes dans leur quête du respect et des organismes comme l'AFEAS dans leur travail essentiel à l'avenir d'un Québec sans violence. ***850 femmes et enfants tué-es par des hommes (ou par des inconnus) au Québec du 6 décembre 1989 à décembre 2007 - http://sisyphe.org/article.php3?id_article=2682

Si l'envoi massif de commentaires, pour paqueter les lignes, comme on disait dans mon jeune temps lorsque j'étais impliqué en politique, est la meilleure stratégie pour améliorer votre sort. Si de chialer contre des gestes pour protéger une partie de la population et de tout mettre dans le même panier, en taxant de tous les péchés les mouvements de protection des femmes battues ou les victimes d'agressions sexuelles. Si vous pensez que vous allez régler quelque chose ainsi, au lieu d'essayer de vous regrouper afin de vous entraider… Vous vous trompez, C’est plus de facile de se braquer contre les autres dans vos généralisations stériles, ce n’est pas une preuve de courage et ce n’est pas agir pour vous non plus.. Bien j'espère que vous n'êtes pas représentatifs de vos regroupements, sinon vous êtes pas sortis du bois. Vous êtes des nuisances à l'avancement de la cause des hommes, des femmes, des enfants et de l'humanité en général - c'est à cause des intolérants et machos au trop plein de testostérone comme vous, prêt à marquer un territoire qui n'appartient pas qu'à vous que bien des problèmes persistent. J'ai un frère qui a été victime d'agression sexuelle dans son adolescence, il a aussi violenté sa conjointe une fois ces dernières années: force est de constater qu'il n'a jamais eu le support dont il avait besoin - et ce n'est pas à cause de l'Afeas, ou des Calacs ou des organismes communautaires. Mais là actuellement il essaie de s’en sortir sans accuser la terre entière de ses problèmes, c’est ça du courage. Sortez donc de votre paranoïa et vous commencerez peut-être à vous sentir mieux, et des organismes d'aide au masculins pourraient peut-être s'activer. Vous reprochez aux Afeas et autres de faire de la victimisation et de la martyrisation, mais c’est vous en vous plaignant et attaquant de la sorte, en tirant sur des ennemies imaginaires qui faites de la martyrisation, Jean de Brébeuf ça fait au moins 300 ans qu’il est mort à cause des méchants Indiens, arrêtez donc de vous cacher la face en attaquant les autres. Vous ne l'admettrez jamais pas mais vous avez beaucoup à apprendre des femmes là dessus.

Ne pouvant croire qu'au lieu de critiquer le mouvement féministe, vous ne vous investissiez dans votre regroupement dont j'ignore le nom, dans créer vous aussi une sensibilisation 'positive' à la réalité de votre condition . On peut se battre pour sa cause, ce qui est légitime, mais si on le fait en se battant contre les autres,ca donne une bien mauvaise impression.

M. Jean-Pierre vise en plein dans le mille. Mentir pour faire pleuvoir les sous dans la cagnotte et infantiliser les femmes en les traitant de personnes inaptes à s'occuper de leurs propres affaires, voilà le résultat de 30 ans de féminisme extrémiste. Il faut sortir de cette pensée magique et avoir le courage de regarder la réalité à travers autre chose que des lunettes roses. La violence n'a pas de sexe. Et le mensonge féministe est fort lucratif.

La violence faite aux hommes Par : Jean-Marc Bessette N.D.L.R. Nous publions ci-dessous une lettre ouverte adressée à l’Aféas ( Association féminine d’éducation populaire et d’action social ) à la suite de la dénonciation par cette dernière de la violence faite aux femmes, dans le journal : Le Rimouskois. (J’ajoute que cette lettre n’a jamais eue de réponse de leur part, même si elle fût aussi adressée à ses membres de Rimouski à la maison !) Dois-je comprendre que votre position, selon laquelle vous êtes contre toutes les violences faites aux femmes, aux personnes âgées et aux jeunes, laisse de côté la violence dont les hommes et certains pères sont victimes ? Celle-là est-elle plus acceptable ? En tout cas beaucoup moins critiquée ! Car d’après moi, toutes les violences, sous quelques formes que se soit, sont inacceptables. Pour avoir eu, moi-même, un pénible et très déchirant conflit en Cour Supérieure (C.S,) pour la garde partagée de mon fils adoré. Sa mère quant à elle, cherchait à m’éliminer et de durant des années, je vous confirme qu’en tant qu’homme j’ai été très violenté ! Et c’est très souffrant dans mon for intérieur. Pour commencer, j’ai été, entre autres, accusé d’être un danger pour l’intégrité physique et mentale de mon enfant, à tort. Mon ex-conjointe a même déclaré en C.S. que j’étais trop pauvre pour recevoir mon enfant. Quoi ? Les lois ne me permettent-elles pas, à moi aussi, d’avoir de l’aide sociale, ma part des allocations familiales ainsi qu’une pension alimentaire pour notre enfant ? Est-ce du sexisme ? Une seule et unique femme séparée s’est-elle déjà fait accuser de la sorte en C.S. ? Tout ce marasme, ce « bourbier », ces accusations mensongères…durant si longtemps. Très inutilement. Évidemment qu’elle m’ont blessé dans ma personne, brisant mon cœur, me laissant presqu’entièrement démoli. J’étais diminué dans mon intégrité parentale, dénié dans ma paternité, dénigré dans mon être tout entier, Minimisant pas le fait même mon Amour paternel. Et ce faisant, mon cœur a été très décimé, peinant ma personne jusque dans mes moindres pensées, m’atteignant dans l’âme jusqu’au tréfonds des plus intimes. Pourquoi faire fi de la sorte, de l’essence même de cette belle « paternitude » ? J’ai été décrié, insulté, angoissé. À maintes reprises, seul, j’ai pleuré, pour moi, pour mon fils, en grave danger de perdre ca que nous avons de si beau, de plus précieux ; le « lien » ; la relation qui nous unit depuis bien avant sa naissance…Oui, parfois si déchiré, le visage détrempé, je n’ai trouvé le sommeil que très difficilement… Et j’en ai encore les yeux rouges, mouillés. Mais j’ai aussi un jugement, car jamais je n’ai cessé de focaliser sur l’essentiel…Et il précise très bien que « Toutes les craintes de Mme ne reposent sur aucun fait en particulier » ! Ce procès en lui même était toute une insulte, qui n’aurait même jamais dû avoir lieu. Quel beau respect de la fragilité d’un enfant en si bas âge, de sa dignité…victime incontournable de ce qui devait justement protéger son mieux-être. Car aujourd’hui, en effet, j’en ai une garde conjointe officielle et reconnue…Et l’enfant, notre enfant, s’en porte très bien merci. À l’égard des enfants, seulement leurs meilleurs intérêts devraient dicter notre ligne de conduite à nous les parents, les adultes. Au nom de qui, de quoi, les intervenants de première ligne poussent-ils donc tant ces mères à agir ainsi ? Puisque mon « ex » s’est fait dire par l’un de vous, d’après sa déclaration en C.S. sous serment en bonne et due forme : « Juste a demander la garde exclusive…les juges la donnent toujours aux femmes… » Et c’est archi-faux ! Comme si le statue de parent n’était qu’un adage strictement réservé à la gent féminine…Définitivement votre rôle, le plus grand dans de telles et si déplorables circonstances devrait être de défendre le meilleur intérêt de l’enfant. Non aux stéréotypes sexistes, non à la vengeance, non à la violence, car celle-ci atteint le cœur innocent de nos enfants, telle une empreinte…De grâce, SVP, aider ces parents à focaliser sur le mieux-être des enfants, c’est à dire à défendre leurs droits les plus élémentaires et plus particulièrement celui d’avoir ses deux parents. Et c’est en leur nom que je vous écris à vous les intervenants et intervenantes de premières lignes. Ce faisant, c’est aussi de la prévention qui vous sauvera, peut-être d’autres interventions dans 5, 10 ou 15 ans…j’espère. Quant à vous, L’Aféas, ne prétendiez vous pas, dans votre texte, être contre toutes les violences faites aux jeunes ? Or, il serait illusoire de croire que ce conflit si long, si pénible, n’a pas atteint mon enfant de façon directe ou indirecte durant ces années…Je crois qu’il est impossible aujourd’hui, dans notre société de vouloir défendre les enfants contre la violence et de passer outre à cette même violence qui cible les hommes, mais qui pourtant atteint indifféremment ces même jeunes, par ricochet, infailliblement. Et tous, nous avons de très grandes responsabilités à cet égard…Ne sont-ils pas notre avenir ? Et finalement ; je vous demanderai, tout concerné, qui que vous soyez par respect, n’encouragez jamais à tort, une personne à commettre, ce que j’espère sera reconnu un jour, comme étant un crime contre l’humanité ; car il s’agit bien d’un génocide émotif, de priver ainsi un jeune de son autre parent… Et puisqu’il y a une chance, très petite, j’en conviens, mais tout aussi réel, que ce jeune, disons un garçon qui a perdu à tort, son autre parent, soit un jour aux études avec l’unes de vos propres filles… NON…Assurément… Je ne veux prendre aucun risque, car garçon ou fille, ils auront tous un jour à apprendre à composer avec « l’autre sexe » * Assurément… *Car l’expression « sexe opposé » est toujours erronée, ici, comme toujours, puisqu’il s’agit en fait du sexe complémentaire… Jean-Marc Bessette N.B. : Le Clsc de l’Estuaire a aussi eue une copie de cette lettre qu’ils ont laissée sans réponse également.

Il y a un blocage dans certains milieux proches du pouvoir pour nier le fait qu'au Québec les seuls laissés pour compte sont les hommes. Il s'agit d'une notion certes contraire aux idées reçues. Elles sont les seules admises auprès des classes politique et médiatique. Plus forte est l'illusion que les femmes sont les seules dignes d'attention et plus forte doit être la répression pour l'imposer.

Madame Carrier perpétue la mouvance féministe des années '80 voulant que toutes femmes soient automatiquement des victimes, incapables même de réaliser qu'elles le sont. Malheureusement cette vision des choses est éculée et littéralement d'une autre époque. C'est nier non seulement l'intelligence des femmes de tous âges mais s'acharner sur des vieux clichés usés afin d'en retirer un avantage monétaire, soit le financement inutile d'organisations inutiles par des programmes gouvernementaux aussi inutiles qu'inutilement coûteux. Le Vérificateur Général du Québec a d'ailleurs sonné l'alarme concernant directement et très spécifiquement ce type de programmes de soi -disant 'aide aux femmes' qui représente plus de $500,000.00 par année versés aux organismes pratiquement 'fictifs' qui ne donnent en retour aucuns reçus ni preuves de services rendus à la population en vertu de règles comptables établies. En fait, on comparerait ceci à un 'bar open' où les féministes se servent à coeur ouvert sans justifier ni l'utilité de leurs salaires ni les dépenses qu'elles font avec leurs comptes de dépenses. Troublant. En attendant, veuillez passer à la caisse Mesdames et Messieurs payeurs de taxes et d'impôts et surtout, n'osez pas protester car vous seriez accusé immédiatement de méchant homme masculiniste alors que vous ne seriez en réalité qu'un contribuable qui saît compter.

Madame Carrier appartient au réseau féministe qui a colporté pendant des années le mensonge des 300 000 femmes battues annuellement au Québec... Elle a fait partie aussi du réseau des CALACS qui prétend que les hommes du Québec agresseraient le tiers des Québécoises, rien de moins! Une série de mensonges basés sur des chiffres frauduleux, tout ça avec la bénédiction des Agences de santé qui ne vérifient ni les chiffres, ni le nombre de véritables victimes. Des milliards en subventions au fil des ans pour des victimes inventées de toutes pièces. Une enquête publique révélerait sûrement que nos féministes professionnelles du genre de madame Carrier ont participé à un scandale financier pire que celui des commandites! Jean-Claude

M. Jean-Pierre vise en plein dans le mille. Mentir pour faire pleuvoir les sous dans la cagnotte et infantiliser les femmes en les traitant de personnes inaptes à s'occuper de leurs propres affaires, voilà le résultat de 30 ans de féminisme extrémiste. Il faut sortir de cette pensée magique et avoir le courage de regarder la réalité à travers autre chose que des lunettes roses. La violence n'a pas de sexe. Et le mensonge féministe est fort lucratif.

L'afeas et autres 'bibites'.. Une seule observation sur ce genre de service sexiste offert aux citoyens. Ce sont des parasites! Subventionnés à la hauteur de 666,625,581.18 $ en 2007 De quoi nourrir quelques centaines de milliers d'enfants martyrs dans les garderies étatiques. Ou bedon, réparer une centaine de ponts et boucher quelques millions de nids de poules en émergence sur nos routes de la 'belle province'. Ou bedon, aider des milliers de familles à faire un beau voyage au bord de la mère. Pire! La majorité de ces parasites sont des organismes de bienfaisance, cela ne paie pas d'impôt et bénéficie

Pourquoi ce sexisme ordinaire trouve-t-il écho dans votre quotidien? Les problèmes spécifiques aux hommes de cette société ne méritent-ils aucune attention? Nous sommes nombreux à être saturés d'entendre et de lire cette propagande insidieuse et mensongère, des propos d'une misandrie grotesque. Il semble ce ce soit le seul standard acceptable en vaginocratie, chier sur les hommes et se lamenter jusqu'à plus soif sur le sort de ces fragiles petites créatures sans défense triplement discriminées en raison de leur sexe! Votre article est pathétique et mériterait une plainte au conseil de presse. Les hommes aussi sont victimes de violence et de discrimination au Féministan comme le confirme l'Institut de la Statistique du Québec sous la plume de M. Denis Laroche. Quand allez vous un jour cesser de pratiquer l'aveuglement volontaire et regarder la réalité en face? Pour votre gouverne, voici un lien qui vous révèlera un aspect occulté de la réalité telle que vécue par un nombre croissant d'hommes dans cette société que l'on prétend égalitaire... Aurez-vous le courage de le lire jusqu'à la fin? http://bisbille101.blogspot.com/2007/09/petite-histoire-dun-gros-mensonge.html#links

Madame Carrier aurait intérêt à vérifier les recherches sérieuses et impartiales qui démontrent que la violence dans une relation de couple affecte autant les jeunes hommes que les jeunes femmes. De plus, madame Carrier méprise l'intelligence des jeunes femmes en affirmant qu'elles sont incapables de détecter la violence à leur endroit. Nos féministes ont développé au fil des ans une stratégie qui consiste à toujours victimiser les femmes et à rendre les hommes toujours coupables de violence et d'abus. Cette stratégie leur a permis d'empocher des millions en subventions et s'assurer ainsi des emplois lucratifs fondés sur la martyrologie à outrance des femmes. Ce sont les contribuables qui payent pour les absurdités statistiques féministes...