Le Beauceron Maxime Vachon participera au Red Bull Crashed Ice pour une quatrième année consécutive.
L'athlète a obtenu le sixième rang lors des qualifications du dernier week-end et a fait le top 15 au Québec pour confirmer sa participation à l'épreuve d'Edmonton. « Ce n'est jamais gagné d'avance. Les épreuves de qualification restent sensiblement les mêmes, mais le calibre augmente chaque année », dit l'homme de 26 ans lorsque rejoint par EnBeauce.com.
Le Joselois est content de ce qu'il a accompli jusqu'à présent dans ce sport, mais il aimerait certes améliorer son rang mondial. « Il y a deux ans, je me suis classé à la 64e place. J'avais fait les courses finales du samedi. L'an dernier, j'étais mieux préparé, mais j'ai connu une mauvaise course. Cette année, je serai prêt et je me servirai de mes expériences passer pour gagner des rangs sur l'échiquier mondial », mentionne-t-il.
Vachon, qui évolue également dans la Ligue locale de hockey (LLH) pour l'équipe de Tring-Jonction, s'entraîne très sérieusement. « Je m'entraîne environ dix heures par semaine. Je fais beaucoup de cross fit et je joue au hockey. Je fais également de l'entraînement musculaire en salle. J'entraîne surtout le bas du corps, qui est une zone fort importante pour le Crashed Ice », affirme le joueur.
Un plus grand privilège
Le Beauceron a participé à trois événements Crashed Ice dans la ville de Québec et un à Niagara Falls. Que représente pour lui le défi d'Edmonton ? « C'est plus flatteur d'avoir été choisi dans une compétition extérieur. Pour Québec, ils voulaient mettre plus de Québécois pour attirer les gens, alors que pour celle de 2015, on m'a choisi seulement, car je méritais vraiment ma place. C'est ma vision des choses », déclare Vachon.
La compétition d'Edmonton aura lieu le 12 mars prochain avec les qualifications. Le patineur passera avant par Sherbrooke pour participer à la Riders Cup, une course ouverte à tous.
L'athlète est ouvert aux commanditaires. Les gens peuvent le contacter via
courriel ou par téléphone au 418-369-9676.
« J'ai hâte de dévaler les pentes comme un taureau », conclut Vachon avec le sourire.