David Drouin : la sanction de quatre ans est maintenue

Par Alex Drouin, Journaliste
À la suite d’un test antidopage qu’il a échoué en 2016, le cycliste David Drouin a vu sa demande d’appel refusée quant à la réduction de sa sanction.
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C’est en décembre 2016 qu’un échantillon d’urine recueillit lors d’un contrôle antidopage hors compétition que le natif de Saint-Prosper a appris qu’il écopait d’une suspension de quatre ans qui prendra fin le 25 janvier 2021.
La présence de SARM RAD-140, un agent anabolisant interdit par l’Agence mondiale antidopage avait été décelé. L’examen d’un second échantillon avait confirmé le résultat du premier test.
« Après avoir reçu la décision de l’arbitre, l’athlète a décidé d’en faire appel en vertu de la règle 13.2 du Programme canadien antidopage (PCA). Le 8 février 2018, une deuxième audience a été tenue concernant la tentative d’appel de l’athlète. À la suite de cette deuxième audience, l’arbitre Yves Fortier a rejeté l’appel de l’athlète et confirmé le maintien de la période de suspension de quatre ans », était-il écrit sur le site du Centre canadien pour l’éthique dans le sport.
« Il est interdit à cet athlète, qui réside à Saint-Prosper, au Québec, de participer, peu importe à quel titre, à tout sport organisé signataire du PCA, y compris de s’entraîner avec ses coéquipiers. »
Lors de l’annonce de la suspension, Drouin avait mentionné qu’il avait bu dans une bouteille d’eau contaminée appartenant à son frère et ce dernier avait admis utiliser ledit produit.
Peu de temps après, David avait reconnu avoir enfreint la politique antidopage.
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