L'organisation Chaudière-Appalaches Économique plus forte que jamais

Par Salle des nouvelles
L'organisation Chaudière-Appalaches Énonomique (CAE) se dit plus forte que jamais malgré une dernière année remplie d'incertitudes et de grands changements dans le paysage du développement économique.
La CAE tient donc à réaffirmer sa présence sur le territoire, de même que son soutien à ses membres et aux entrepreneurs de la région.
Une organisation renouvelée
La loi 28 pouvait annoncer certains changements pour des organismes tels que la CAE. Toutefois celui-ci croyait fermement à l'importance de maintenir une cohésion entre les différents territoires de la Chaudière-Appalaches afin de mieux promouvoir et stimuler le développement économique de la région.
Les administrateurs ainsi que l'équipe se sont adaptés et ont pris soin de repenser le modèle de l'organisation en obtenant l'appui et la participation de nouveaux partenaires. La bonne nouvelle est que la CAE compte toujours parmi ses membres et les services de développement économique des neuf territoires de la Chaudière-Appalaches. Qu'ils prennent la forme d'un Centre local de développement (CLD) ou d'un département de développement d'une Ville ou MRC, tous sont centrés sur un même objectif : développer l'économie et l'entrepreneuriat en Chaudière-Appalaches.
« L'organisation a prouvé qu'elle pouvait s'ajuster aux changements et continuer à se développer malgré les vents contraires. Nous sommes plus que jamais déterminés à continuer notre travail et à atteindre de nouveaux sommets » affirme le directeur général de CAE, Maxime Jean.
Un nouvel exploit
L'année 2015 est parvenue à dépasser les objectifs en mentorat d'affaires en obtenant 131 nouveaux jumelages. Il s'agit de la deuxième plus grande année de l'histoire de l'organisme. Depuis la régionalisation du service en 2009, ce sont près de 900 jumelages qui ont été réalisés.
Parmi les nouvelles dyades réalisées, on remarque qu'environ 50 % proviennent d'entreprises en phase de démarrage alors que la seconde moitié est composée d'entreprises en phase de croissance ou de transfert. Cette proportion démontre que le mentorat atteint de nouvelles clientèles et n'est pas seulement l'apanage des entreprises en démarrage.
« La réussite de notre service de mentorat d'affaires régional provient d'abord et avant tout d'un travail d'équipe, qui se déploie et se colore à partir des spécificités locales de notre région. Nous sommes dévoués au succès de nos entrepreneurs et c'est ce qui nous pousse à nous dépasser continuellement »,conclut le coordonnateur régional de Mentorat d'affaires, Tony Gingras.
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