Vous êtes peut-être déjà allée vous procurer une coquette paire de souliers (et un sac à main assorti) chez Mme Dallaire, de son nom de fille Thérèse Cliche. Elle était la fille d'Ernest Cliche. Mme Thérèse a débuté en 1957, non loin de l'intersection de la 2e avenue et de la 120e rue, dans l'édifice A.S. Paquet, face à la pharmacie Poliquin (photo 2). Puis en 1968, elle est déménagée et a opéré son commerce pendant 15 ans sur la 1re avenue près de l'ancien Farmer (photo 1). Et elle a fini ses activités au 2e étage du Carrefour Saint-Georges, où elle a aménagé en février 1983. Dans sa publicité, elle mentionnait que c'était un plaisir de servir la population beauceronne qui a si bien su lui faire confiance, ce qui est sûrement le cas puisqu'elle a été en affaire dans ce domaine pendant plus de 30 ans. Femme de public d'une grande élégance, elle était vraiment gentille, dotée d'une personnalité tout à fait appropriée pour opérer un commerce (photo 3). C'était une fonceuse qui a fait preuve d'audace et de persévérance. Elle est décédée le 10 juillet 2005 à l'âge de 78 ans.
Photos 1 et 2 du fonds Claude Loubier. Texte et recherches de Pierre Morin.
Fondée en 1992, la Société Historique Sartigan est un organisme à but non-lucratif, financé par les dons, dont la mission est la protection, l'interprétation, la valorisation
et la diffusion du patrimoine de Saint-Georges et de ses environs.
À part l’accession du Député de Beauce-Sud, Samuel Poulin, au Conseil des ministres, le remaniement ministériel annoncé mercredi dernier par François Legault me donne bien peu d’occasions de me réjouir.
Une nomination méritée
La nomination de Samuel Poulin à titre de ministre responsable de la Jeunesse et ministre délégué à l’Économie et aux ...
LA SOCIÉTÉ HISTORIQUE SARTIGAN
La plupart savent qu'une jeune fille, Clothilde Gilbert, a trouvé en 1846 une pépite d'or «grosse comme un oeuf de pigeon» à Saint-Simon-les-Mines (SSLM). Clothilde et son mari à la photo 5. Son père, Léger Gilbert, l’avait envoyée chercher un cheval et, en traversant la ...
De nombreuses femmes qui consultent un professionnel de la santé sortent du cabinet avec un sentiment amer : celui de ne pas avoir été entendues. Trop souvent, leurs douleurs sont minimisées, attribuées au stress ou à « l’imagination ». Ce phénomène porte un nom : le gaslighting médical. Les patientes finissent par douter de la légitimité de leurs ...