Nous joindre
X
Rechercher
Publicité

Plus de 50 pilotes inscrits pour la première journée du Funfly

Chargement du vidéo
durée 15h41
3 septembre 2016
ici

commentaires

ici

likes

 

vues

imprimante
Sébastien Roy
email
Par Sébastien Roy, Journaliste

Voir la galerie de photos

Le Funfly du Club d'aéromodélisme de Beauce, Le Phoenix, se déroule actuellement dans un champ situé en bordure du rang 2 dans le secteur de Saint-Jean-de-la-Lande.

Déjà plus d’une cinquantaine de pilotes de modèles réduits téléguidés sont inscrits alors que le président du Club, Daniel Morin, en attend une centaine au cours de la fin de semaine, provenant du Québec, du Nouveau-Brunswick et des États-Unis. « Jusqu’à présent, l’événement se passe très bien. Nous avions déjà des spectateurs ce midi alors que normalement, le samedi est plutôt tranquille comparé à dimanche », mentionne M. Morin qui n’avait pas de chiffre précis pour le moment concernant l’assistance.

Parmi les pilotes présents, il y a le jeune Kevin Saint-Cyr, 15 ans de Kingsey Falls. La jeune sensation dans le monde de l’aéromodélisme a terminé en cinquième place lors d’une compétition internationale de pilotage d’hélicoptères téléguidés à Champaign, en Illinois. Celui-ci a commencé à piloter des modèles réduits régulièrement il y a trois ans. S’exerçant même l’hiver à l’aide d’un simulateur, l’adolescent fait maintenant partie des meilleurs au monde.

Le Funfly se poursuit cet après-midi et en soirée alors qu’il y aura des démonstrations de vols de nuit. Les amateurs sont également invités à se rendre sur place demain, de 8 h à 17 h, pour la suite du programme. Mentionnons aussi qu’il est possible de manger sur place.

Pour apprendre le pilotage de modèles réduits, il faut d’abord commencer par être le copilote d’un appareil. Tout comme le pilote, ce dernier possède une manette qui lui permet de manœuvrer l’appareil. Un interrupteur permet d’alterner le contrôle de l’avion entre l’apprenti et l’expérimenté. « De cette façon, l’apprenti apprend à maîtriser l’appareil rapidement et s’il perd le contrôle, le pilote peut rapidement reprendre les commandes pour éviter l’écrasement », explique le pilote, Daniel Laliberté, membre du Phoenix depuis 1999.

L’étape suivante consiste à faire atterrir le modèle réduit. « L’atterrissage est plus dur que le décollage, mais tout pilote doit savoir atterrir avant de décoller. Il faut être sûr de poser son appareil sans heurts avant de décoller. Une fois que ces deux aspects sont maîtrisés, le copilote peut contrôler l’avion seul. On dit alors qu’il a obtenu ses ailes », ajoute M. Laliberté.

 

commentairesCommentaires

0

Pour partager votre opinion vous devez être connecté.

RECOMMANDÉS POUR VOUS


24 avril 2024

Opération Enfant Soleil soutient deux projets en Beauce

Cette année, sept projets pour le mieux-être des enfants seront implantés en Chaudière-Appalaches, dont deux en Beauce, grâce au soutien de l'organisme Opération Enfant Soleil (OES).  D'abord, l'Hôpital de Saint-Georges recevra 22 200$ pour l'achat de deux lampes de photothérapie, qui servent à traiter et à prévenir la jaunisse chez l’enfant. ...

24 avril 2024

La Société des alcools du Québec en grève pour deux jours

Les succursales de la Société des alcools du Québec (SAQ) à Saint-Georges, Beauceville et La Guadeloupe sont affectées par une grève depuis ce mercredi 24 avril, qui durera deux jours. Le syndicat SEMB-SAQ se concentre sur la lutte contre la précarité d'emploi exacerbée par la trop grande présence de contrats à temps partiel, au sein de cette ...

24 avril 2024

La ressource «Aire ouverte» dresse un premier bilan positif

Dix-huit mois après son ouverture officielle, la ressource Aire ouverte du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Chaudière-Appalaches, située à Saint-Georges, peut affirmer que les services offerts aux jeunes de 12 à 25 ans répondent aux besoins exprimés et aux problématiques qu’ils rencontrent dans leur vie quotidienne. « La ...