À la recherche de parrains pour les lilas de l'Île Pozer
Christian St-Pierre et Guy-Paul Côté
Les plaques qui seront disposées devant les plants de lilas
Christian St-Pierre et Gilles Bernier
L'installation de la plaque du plant parrainé par Maxime Bernier
Gilles Bernier représentait son fils Maxime Bernier
Les premiers parrains de lilas
La famille Rodrigue
Installation de la plaque de la famille Rodrigue
La famille Rodrigue devant le plant de lilas parrainé en l'honneur de leur fille
Les Georgiens pourront désormais parrainer un lilas. Les premiers parrains se sont réunis sur l’île Pozer pour installer les plaques à leur effigie devant le plan sélectionné.
Pour la somme de 300 $, ceux qui le désirent pourront choisir l’une des 750 variétés de lilas qui leur plaît. Les coûts seront destinés à l’entretien des plants, à la conception de la plaque ainsi qu’au musée. Le parrainage s’étalonne sur une durée de quatre ans.
Pour la famille Rodrigue, le parrainage d’un lilas est une manière d’honorer la mémoire de leur fille. Gilles Bernier était de passage sur l’île Pozer comme représentant de son fils, Maxime Bernier, lui aussi parrain d’un lilas. Le Musée du Lilas espère que d’autres citoyens seront inspirés à faire de même.
Le Musée du lilas se veut être un attrait d’horticulture majeur et compte bien augmenter le nombre de variétés à 1000 au courant de l’année. Claire Fouquet, qui offrait une conférence sur le musée du lilas en Russie il y a quelques mois, affirme qu’une telle concentration de variétés est chose rare.
Pour Christian St-Pierre, les lilas se veulent être un symbole du patrimoine. Il se rappelle que de nombreux plants bordaient la maison de ses grands-parents.
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