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La Ville de Sainte-Marie perd environ 24 000 $ en raison des alarmes incendies non fondées

durée 18h00
16 février 2018
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Par Alex Drouin, Journaliste

Selon le directeur du Service de sécurité incendie de Sainte-Marie, Claude Morin, la Ville a perdu plus de 24 000 $ au cours des derniers mois en raison des alarmes incendies non fondées dans les résidences.

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En 2016, le service de sécurité incendie a reçu 33 appels d’alarmes incendies. En 2017, cette statistique est passée à 48. Au total, le service d’incendie a reçu 157 appels de tous genres lors de la dernière année, plutôt que 129 comme ce fut le cas en 2016.

Aux dires de M. Morin, les compagnies de systèmes d’alarme ont changé leur façon de procéder depuis juin dernier et dès qu’une alarme se déclenche dans une maison, elle est dirigée au 9-1-1.

« Ça engendre des risques inutiles et personne n’a rien à gagner dans cette situation », a-t-il fait part.

En revanche, il assure que dans une ville comme Sainte-Marie, c’est très rare que les pompiers reçoivent deux appels en même temps.

Lorsqu’une alarme se déclenche, les pompiers à temps partiel sur appel doivent quitter leur lieu de travail et se rendre à la caserne. « On doit les payer trois heures minimum et dans les 24 000 $, ça n’inclut pas le gaz des camions », a précisé M. Poulin.

Peu importe la provenance de l’alarme, les pompiers se déplacent avec un camion incendie autopompe. Il faut ajouter également un camion-citerne si l’appel se trouve en zone rurale et un camion échelle s’il est en zone urbaine.

Les citoyens peuvent aider à diminuer cette hausse

Pour aider à diminuer cette statistique trop à la hausse, le directeur du service de sécurité incendie souhaite que la population soit plus vigilante.

« Il y a de la négligence de la part des citoyens et on leur demande de bien s’informer à leur compagnie d’alarme », a-t-il indiqué en ajoutant que trop souvent, certains oubliaient leur code d’identification lorsque la centrale entrait en contact avec eux pour vérifier si l’alarme était fondée ou non.

En terminant l’entrevue, il a mentionné que certaines alarmes avaient un délai de 30 secondes pour la désactiver et que cela pouvait aider à diminuer les déplacements des pompiers.

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